A LIRE SVP.. pour comprendre intérêt examen

Il peut être intéressant d’ observer que réellement nous n’ avons pas trouvé trace d'uranium, sauf dans un cas. Mais l’ uranium a aussi été trouvé chez des patients qui n’ avaient pas de rapport avec la guerre ou les champs de bataille. Les biopsies de moelle osseuse, de côlon et de ganglion lymphatique ont révélé des micro - et nano - débris, agglomérés des fois, composés de métaux combinés ou simples: Le Fe-Si, Cu-Cl-Zn, Hg, Si-Ti-Fe-Al, Si-Bi, Si-Pb, Fe-Cu-Zn, Cr-Fe-Ni, Fe-Mn, et, une fois, Zr.

( Fe = Fer, Si = Silicium, Cu = Cuivre, Cl = Chlore, Zn = Zinc, Hg = Mercure, Ti = Titane, Al = Aluminium, Bi = Bismuth, Pb = Plomb, Cr = Chrome, Ni = Nickel, Mn = Manganèse, Zr = Zirconium – Note du traducteur )






Nanoparticules de mercure-sélénium trouvées dans la biopsie de rein
d’ un soldat affecté par une maladie de la guerre du Golfe.





Section d’ un ganglion lymphatique d’ un civil de Sarajevo
affecté par la maladie de Hodgkin.

La forme sphérique de tant de particules témoigne d’ une formation à une température particulièrement haute, une condition compatible avec l'explosion d'un obus à Uranium Appauvri. Quand un projectile à l’ UA atteint son but, quelque soit la cible, la température dans le voisinage dépasse 3,000 °C. A une telle condition, les matières solides subliment ( = passent directement de l’ état solide à l’ état gazeux – note du traducteur.) et sont éparpillées dans un très grand volume d'atmosphère. Pendant ce temps très court, de nouveaux alliages sont formés et les nouveaux combinés, suspendus dans l'air, prennent une forme sphérique ( à intérieur creux pour les plus grandes tailles ) l'état liquide revient sous forme de brume. Après un temps relativement court, la température redevient suffisamment basse pour avoir la matière sublimée à nouveau solide. Les particules solides sont si petites ( inférieures à 10-8 m) qu’ elles sont transportées aussi loin que le vent, la pluie ou la gravité le peuvent avant de retomber lentement au sol. Tous ces phénomènes étaient étudiés dans les années 1977-78 aux USA, à la base de l’ armée de l'air de Leglin (Fla).



Tandis qu'elles sont suspendues dans l'air, par la même voie que l’ air polluant, les particules sont respirées par quiconque se trouve dans le territoire impliqué. Une fois qu'elles ont terminé leur trajectoire, elles peuvent se déposer sur des fruits, des légumes et l’ herbe ou tomber dans un lac ou un fleuve et alors être ingérées avec la nourriture et la boisson aussi bien par des hommes que des animaux, franchissant ainsi une nouvelle étape, comme un invité importun, dans la chaîne alimentaire. Du point de vue pratique, il doit être dit que même un lavage très sérieux ne peut pas éliminer complètement cette présence superflue sur les légumes. Les choux-fleurs, par exemple, à cause de leur surface rude, sont absolument impossibles à nettoyer entièrement. Et il est aussi impossible de se débarrasser des particules emprisonnées dans les tissus d'animaux employés comme nourriture. Il est donc facile de deviner ce qui arrive alors, à la lumière de la théorie de la nanopathologie. Comme confirmation plus grande de l'applicabilité de la théorie, des micro - et nano – particules, semblables à celles détectées dans les tissus malades des patients, ont été trouvées dans le sol des territoires où ces personnes avaient contracté leurs pathologies. Dans ces mêmes territoires, des traces d'uranium ont été retrouvées en petites quantités. La raison pour laquelle nous n' avons jamais trouvé d’ uranium dans les spécimens pathologiques, ne signifie pas nécessairement qu’ il n'y a aucun. Le fait est vraisemblablement dû à la très petite quantité de cet élément ( l’ UA), comparé à la quantité énorme des matières en jeu et sublimées , au moment où le projectile atteint sa cible. Mais la possibilité ne peut pas être exclue que cet uranium soit capturé par des organes qui ne sont pas principalement impliqués dans la maladie et que, donc, nous n'avions aucune chance d’ examiner. Un scénario très similaire à celui décrit est offert par l’ Afghanistan et l’ Irak (maintenant et pendant la Guerre du Golfe de 1990 - 91), où des soldats et des civils tombaient malades avec des pathologies similaires à celles observées dans les Balkans. Il a été rapporté que certains vétérans de la guerre du Golfe de 1990 - 91 montraient des symptômes très inhabituels: la fatigue chronique, brièveté d'haleine, mal de tête, trouble du sommeil, étourderie et perte de la concentration, toutes ces conditions avaient été attribuées au stress; mais les néoplasmes ( = tumeurs – note du traducteur) , les maladies du système reproducteur, et les désordres impliquant le sang et les organes hématopoïétiques ( = organes producteurs des cellules sanguines – note du traducteur ) sont plus vraisemblablement dus à d’ autres causes. Un problème, encore plus intriguant, est celui de l’ augmentation des naissances d’ enfants mal formés chez les vétérans. Une origine nanopathologique pourrait aisément expliquer la présence de ces autres symptômes également inexpliqués et qui, à priori, extérieurement, ne sont pas apparentés. Comme pour l’ uranium, notre conclusion est que cet élément n'est pas un compagnon sain mais il n’ y a aucune évidence scientifique pour qu'il ne soit pas blâmé comme agent déclencheur, en plus de sa fonction d'induire une haute température dans la cible, phénomène responsable de ce que l’ on a appelé « syndrome » des Balkans ( ou d’ autres guerres) et qui est plus raisonnablement à classer comme une nanopathologie.

[img]URL=http://img142.echo.cx/my.php?image=image0029yf.jpg][/URL][/img][img][/img] HG MERCURE
CET EXAMEN VAUT BIEN PLUS QU UNE BIOPSIE QUI NE DETECTE PAS TOUT..MAIS IL EXISTE QU EN ITALIE ET EN ANGLETERRE.[img][/img][img][/img]