Il n y aurait sans doute pas autant d enfants autistes
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Ped Med : Décalage de position de recherches d'Autism ? Pression unie internationale 17 novembre 2006 Par LIDIA WASOWICZ Auteur aîné de la Science d'UPI Clic ici pour l'URL : (enregistrement requis) SAN FRANCISCO, 17 nov. (UPI) -- Tandis que beaucoup considèrent le point de droit contre des vaccins et l'autism clôturé, il y a un certain mouvement en cours de réalisation parmi des agences de santé publique et des décisionnaires qui décalent loin d'un renvoi automatique des facteurs environnementaux. Ils disent qu'ils également prêtent plus d'attention à la rétroaction parentale. Au coeur de la discussion est un préservatif de mercure appelé thimerosal qui a été employé dans plusieurs vaccinations d'enfance par la partie précédente de cette décennie -- et restes dans quelques projectiles de grippe et de propulseur. Des critiques sont également préoccupés par l'impact possible de certains vaccins, tels que le projectile de rougeole-oreillon-rubéole, et la charge cumulative des immunisations dans les enfants en bas âge. « (T) il prépondérance d'évidence uniformément n'indique pas une association entre thimerosal et l'autism, » Dr. Julie Gerberding, directeur des centres pour la commande et l'empêchement de maladie à Atlanta, dits à un briefing de nouvelles sur des vaccins et à la santé en février. « Mais je ne peux pas m'asseoir ici aujourd'hui et vous dire avec la certitude de 100 pour cent qu'il ne va absolument jamais y avoir n'importe quelle association de thimerosal et d'autism dans un ou plusieurs enfants, » elle me suis ajouté. « Quand vous traitez un problème aussi compliqué que celui-ci et comme important pour tant d'enfants et tant de familles à travers les Etats-Unis, nous en avons une responsabilité d'être ouverts et de toutes les hypothèses. » Parmi des études explorant les effets des thimerosal, un aperçu de six ans lancé en septembre 2001 par l'institut national des sciences environnementales de santé suit 2.000 enfants entre les âges 2 et 5. Le but est de déterminer comment les gènes, l'environnement et leur ajustement d'effet dans le mélange qui provoque l'autism et d'autres désordres neurodevelopmental. En outre, dans le 22 fév. 2006, la lettre a signé par la sonde. Joseph Lieberman, D-Conn., et sept membres de camarade du congrès contestant la CDC n'a pas en juste proportion exploré la question, l'agence a été invité à conduire une nouvelle recherche sur un lien potentiel de vaccin-autism. Sur un site Web fédéral, les fonctionnaires de gouvernement s'assurent de leur largeur d'esprit. La « CDC continue à soutenir la recherche liée à l'autism, y compris des études conçues pour examiner l'association causale possible entre l'autism et tout autre ambiant possible cause, y compris le thimerosal- contenant des vaccins, » des états une lettre ouverte signée par Dr. Stephen Cochi, directeur temporaire du programme national de l'immunisation de l'agence. C'est tous les plusieurs des critiques sont ensuite -- maintenir la porte entrebâillée à toutes les possibilités jusqu'aux vraies causes peut se tenir dehors et être compté. <br> " il est critique qu'il y ait un investissement d'heure et d'argent de découvrir si l'utilisation des vaccins multiples dans l'enfance tôt fait la maladie infectieuse plus que juste de élimination ou de contrôle, « ledit Fisher, le co-fondateur et le président de Barbara Loe d'avocat du consommateur du centre vaccinique national de l'information. « Nous devons la découvrir si l'empêchement de toute l'infection dans la vie tôt avec l'utilisation des vaccins multiples est installation d'un nombre significatif d'enfants pour le développement de la maladie chronique, » avons dit. « Ce qui est en jeu n'est rien moins que l'intégrité biologique de la race humaine. » Beaucoup de spécialistes, cependant, pensent que la question vaccinique a plus que son due scientifique et que le temps est venu pour prendre le conseil inclus dans un institut de rapport et de mouvement de médecine dessus « aux secteurs les plus prometteurs. » « Il ne semblerait pas plus de raisonnable d'investir en étudiant et en mettant en application des traitements comme la thérapie de comportement qui pourrait avoir une grande chance des enfants aidants plutôt qu'à une poursuite évasive d'un suspect environnemental contre lequel il y a de l'évidence scientifique très petite ? » ledit Dr. Daniel Geschwind, professeur de la neurologie et de la psychiatrie et directeur du programme de Neurogenetics au centre pour la recherche d'Autism et du traitement à l'université de la Californie, de Los Angeles, d'école de médecine, et d'auteur de « Microarrays pour les neurologies » (pression de MIT, 2002). « Il ne serait pas plus productif de concentrer plus d'attention sur l'autism régressif et les causes environnementales possibles autres que les vaccins, qui ont déjà été se sont dégagées par des quantités substantielles d'essai scientifique ? » il a ajouté. « Le foyer sur des vaccins peut prendre l'attention des chercheurs loin d'autres facteurs environnementaux qui pourraient en fait s'avérer être impliqués dans le désordre. » De nouvelles avenues de recherches sont pavées avec l'arrivée des disciplines de roman comme la génétique moléculaire et les mesures biologiques de l'effort, un examen de dix ans de la littérature autism-connexe précisé. les stratégies de Découpage-bord et les instruments rasoir-pointus commencent aux chemins multiples clairs vers le noyau des autism, les auteurs remarquables. Dans un départ aux protocoles passés, les entreprises actuelles trouvent de plus en plus des parents mouler outre de leur rôle traditionnel comme spectateurs pour jouer un rôle nettement différent. Les mamans et les papas typiquement avérés attendre dans les ailes prennent l'étape centrale, produisent l'impulsion pour une poussée pour le progrès et fournissent la direction pour la future recherche. « C'est un secteur qui prend vraiment un village -- ceci est pas allant pour être fait par un secteur, n'allant pas être fait par un laboratoire ou une part de la communauté de service, » a dit Dr. Thomas Insel, directeur de l'institut national de la santé mentale. « J'ai souvent dit, et je continue à estimer ceci, que les parents sont dans ce cas-ci certains des meilleurs experts, et nous avons appris une quantité énorme de eux au sujet de ce qui doit être fait et de ce qui peut être fait mieux, et il fait participer certainement la communauté de recommandation, qui est devenue dans ce cas-ci un effort très important de recherches d'associé à l'avenir et la manière courante d'établir des priorités de recherches. » Comme qui l'effort de collaboration démarre, la seule certitude est que toutes parties ont leur travail coupé pour elles. (Note : Dans cet acompte à parties multiples, basé sur des douzaines de rapports, de conférences et d'entrevues, Ped Med garde sur l'oeil sur l'autism, prenant un regard en arrière à son histoire et polémiques environnantes, faisant face à des faits indiqués par recherche et attendant avec intérêt des perfectionnements et des expansions de traitement. Wasowicz est l'auteur du prochain livre, « souffrent l'enfant : Comment le système américain de soins de santé échoue notre futur, » être édité par les livres capitaux.) La santé du consommateur d'UPI fait bon accueil à des commentaires sur cette colonne. E-mail : lwasowicz@upi.com[/b]
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Sujet: SI ON LAISSAIT LES BAMBINS FAIRE LEUR MALADIES INFANTILES