POUR ZACK VACCIN ANTHRAX VICTIME 1

LE VACCIN DE LA MALADIE DU CHARBON: LISEZ-LE AVANT QUE VOUS NE LE PRENIEZ.

De Kevin Hoffman traduit par Alain P.

www.freetimes.com/issues/1008/features-coverstory.php3

Publié le 7 novembre - 13, 2001

Le quatrième mort de la maladie du Charbon - et les premières infections des gens non affiliés aux médias, au service du gouvernement ou de la poste - ont fait augmenter le facteur de crainte pour un public déjê nerveux. Un vaccin contre cette maladie serait la bienvenue? Il faut savoir analyser et ne pas partir en peur. L'armée connaît les effets secondaires de ce vaccin puisqu'ils l'ont inoculé ê leurs soldats pendant la guerre du Golfe. Un demi-million de soldats a reçu cette injection. Maintenant, on parle de vacciner des policiers, des pompiers, des employés postaux et d'autres qui pourraient manipuler des lettres contaminées ou être en présence de ce bacille. Mais avant que vous ou quelqu'un que vous aimez, se fasse vacciner pour la maladie du charbon, je vous conseille d'écouter ceux qui l'ont eu et qui en vivent les répercussions aujourd'hui.

Histoire complète relatée en anglais à cette page

Tom Colosimo, 29 ans, vit à Pittsfield, en Pennsylvanie à environ 100 milles à l'est d'Érié. Il est un vétéran de neuf ans de l'Armée de l'air et il a reçu quatre injections contre la maladie du charbon entre février 1998 et septembre 1999. Avant ces vaccinations, il avait une constitution assez forte pour travailler comme videur dans un club et paraissait assez bien physiquement pour poursuivre une carrière de modèle. Maintenant, son visage et sa tête sont marqués par des blessures qu'il s'est infligées en tombant par terre à l'automne et sa femme Tracy doit s'occuper de lui à plein temps.
Les problèmes de Colosimo ont commencé très tôt après sa première vaccination. Il a rapidement ressenti comme une sensation de brûlure dans son bras. Quelques jours plus tard, une fatigue très prononcée s'est manifestée avec des maux de têtes et des étourdissements. Des rougeurs cutanées sont apparues et se sont transformées en kystes gonflés, inondant son cuir chevelu et son visage. Un docteur lui a dit que les kystes pouvaient être causés par la sueur parce que Colosimo a toujours beaucoup transpiré. Comme il a dit à une connaissance dans un courrier électronique " C'est peut-être juste une coïncidence,".
Lorsqu'il s'est rapporté à sa division le 7 décembre 1999, il était en bonne santé et n'a pas rapporté ses problèmes cutanés, croyant qu'ils s'étaient résorbés. Comme il devait partir pour le Koweït, et qu'on venait de le vacciner à nouveau pour contrer les risques d'épidémie dans ce Pays, il s'engagea dans ce voyage sans savoir ce qui l'attendait. Rendu à destination, il a commencé à tousser. Des douleurs à la poitrine sont devenues évidentes. Il s'est mis ê avoir la nausée à tout moment. En huit semaines, il a perdu 40 livres. Lui qui était si athlétique, il ressemblait à un zombie. Il a commencé à avoir de plus en plus souvent le vertige et il s'est mis à s'évanouir fréquemment. Comme il correspondait par émail avec sa soeur Anne Rodgers, maintenant enseignante à Cleveland, il lui a raconté ses déboires et ses troubles physiques. "

"Quelque chose ne fonctionne pas avec moi et je suis effrayé."

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Les problèmes sont devenus plus graves en mars 2000 après qu'il soit retourné à la base de l'Armée de l'air dans le Utah, où il a été hospitalisé. Il s'est mis soudainement à entrer en transe sans se souvenir de ce qu'il disait ou faisait. Au travail, un après-midi, tandis qu'il se versait de l'eau dans le dans la cuisinette, il s'est effondré et un collaborateur a dû appeler le 911 pour le ranimer. Dans la première semaine d'avril, en tombant en transe, il a cessé de respirer plusieurs fois de suite. .
Il semblait évident que quelque chose n'allait pas avec Colosimo, mais personne ne croyait qu'il était malade. Les autres en étaient venus à croire qu'il faisait semblant et il s'est fait une réputation du malade imaginaire. Ses supérieurs croyaient qu'il ne voulait pas travailler et qu'il feignait d'être malade pour rester chez lui. Mais le 6 avril, le sergent répondait à un appel de secours chez Colosimo.
Selon Colosimo, le sergent a demandé à Tracy si c'était le même personnel qui répondait ê ses demandes lorsqu'il se rendait à l'urgence, parce qu'il y avait eu un cas du même genre quelques jours plus tôt à la base militaire. Quand elle a dit oui et qu'il a réalisé que c'était la même personne, il a saisi Colosimo par les mamelons et les a tordus, causant une douleur extrême. Le sergent a dit qu'il avait assez de le voir jouer la comédie. Colosimo lui répéta qu'il était réellement malade mais le sergent ne le croyait pas. ( Le sergent a, plus tard, dû répondre au fait qu'il avait pincé les mamelons de l'officier) Il a expliqué que cette tactique était courante pour voir si la personne allait avoir une réaction. C'était pour voir le niveau de conscience d'une personne souffrante. Il expliqua que cette technique était rarement utilisée mais qu'il arrivait dans des cas extrêmes qu'ils l'emploient. ")
Depuis lors, la condition de Colosimo est tombée ê son plus bas niveau. Il a souffert de la ''Goutte. Des plaies se sont manifestées sur son visage et sa mère lui a acheté un casque d'assaut militaire pour qu'il ne se blesse pas dans la maison. Il a aussi développé des sensibilités chimiques, une condition partagée de 13 pour cent d'Anciens combattants de Golfe, selon une étude. Après le nettoyage d'un four en juillet dernier, il est devenu délirant et huit heures plus tard, il a sorti du four inondé dans son sang, son vomissement et son urine, ne se rappelant de rien sauf de s'être réveiller dans le stationnement où se trouvait son auto.
En septembre de l'année dernière, la mère de Colosimo, en répondant au téléphone, a entendu une voix au débit très lent, qui avait peine à articuler, pour finalement s'apercevoir que c'était son fils. Il lui a dit : "Quelque chose ne va pas avec moi et je suis effrayé."
Justement, qu'est-ce qui ne va pas avec Colosimo? Cela reste un sujet de discussion. Lui et sa famille sont convaincus que sa maladie provient des vaccins qu'on lui a donné pour contrer la maladie du Charbon. L'armée a refusé cette hypothèse mais pourtant son dossier médical à la base militaire, parlait d'une intoxication au charbon!!!!
Le Général Randall West, le conseiller spécial au ministre de la Défense Nationale Donald Rumsfeld pour le charbon et la défense biologique, a dit dans le témoignage devant un sous-comité de la Maison Blanche que "de tous les gens qui sont ici aujourd'hui, il y a seulement une personne qui a été diagnostiqué médicalement malade après une injection du vaccin contre la maladie du charbon, et cette personne est complètement rétablie. Malheureusement, ils ont oublié Colosimo. Les problèmes du soldat sont reliés à cette vaccination, qu'on le veuille ou non." A fini par avouer le docteur de la base militaire. Mais quelques jours plus tard, Colosimo a reçu un courrier électronique d'un de ses anciens docteurs militaires. Il lui a dit qu'après enquête, ils avaient détecté qu'il était atteint de la maladie du charbon et qu'il faisait une intoxication causée par la vaccination. '"
Colosimo n'est pas seul dans sa lutte pour faire reconnaître sa maladie comme étant causé par le vaccin de charbon. Il est devenu le martyr de cette cause, car il n'est pas le seul à vivre ce genre de situation.
Cathy Hubbell, une mère du Montana de 52 ans qui travaille dans les relations publiques, a d'abord entendu parler du vaccin du charbon durant l'été 2000. Son fils, un sergent du personnel dans l'Armée de l'air qui a demandé que son nom ne soit pas utilisé, était sur le point recevoir sa première vaccination obligatoire. Sa femme a envoyé le récit de Colosimo à sa belle-mère pour qu'elle le lise. La réaction initiale d'Hubbell a été: "que pensent-ils qu'il est, un cochon ?"
Sa désinvolture peut être pardonnée parce que, à l'époque on a connu le charbon principalement comme une maladie qui affligeait seulement le bétail. L'Amérique n'avait pas vu d'humain au prise avec cette maladie, surtout celle qui afflige la respiration - la forme la plus mortelle de la maladie - depuis 1978, il n'y avait eu que 18 cas. Un vaccin pour protéger les gens contre l'infection a existé pendant plus de 30 ans, mais pendant la plupart de ce temps il a été utilisé presque exclusivement par des vétérinaires. Cela a changé quand le Ministère de la Défense nationale a commencé à vacciner des soldats contre la menace de la maladie du charbon, étant utilisé comme une arme de guerre biologique pendant la Guerre de Golfe. Le 15 décembre 1997, le département a commencé un programme pour vacciner les 2.4 millions réservistes de l'armée.
SUITE.....................

Le Docteur Meryl Nass pense que le vaccin de l'anthrax doit être ê l'origine du Syndrome de Guerre de Golfe.

Le fils de Kathy Hubbell était un d'entre eux. Elle avait déjê planifié de le visiter pour aller lui dire au revoir avant qu'il ne parte pour sa mission en Arabie Saoudite. La visite lui donnerait aussi une chance de vérifier si son fils avait été vacciné En se rendant à la base de l'armée de l'air, Kathy Hubbell a commencé à entendre ce qui ressemblaient plus à de la science-fiction qu'ê la réalité. "Les ragots que j'entendais, semblaient sortir tout droit d'un film d'Horreur." "Les jeunes militaires, presque des enfants, n'étaient, ni plus ni moins que des cobayes sur qui le vaccin du charbon était inoculé pour voir la réaction de chaque homme..
"Ils ne feraient pas ça à nos troupes," qu'elle s'est dit à l'époque.
La nuit suivante, elle s'est installé à l'ordinateur et est allée sur Internet pour des recherches sur le vaccin. Pendant la première heure, sa recherche a été limitée aux sites de Ministère de la Défense nationale et l'information qui était donné ê compte-gouttes, l'a quand même rassurée. Mais peu de temps après, elle a laissé les sites officiels et a commencé à obtenir de l'information différente. Sa recherche l'a amené sur http://www.majorbates.com/ dont le webmaster, le major Sonnie Bates militaire avait dû se présenter à la cour martiale pour refus de se soumettre au vaccin.
Dans une lettre à son général de chef d'équipe posté sur le site Web, Bates coche une liste de 15 membres de son escadron, le 9ème Escadron de Pont aérien à Douvres, Delaware, à la Base de l'Armée de l'air, qui sont devenus malade après avoir été vacciné. Plusieurs d'entre eux avaient développé des kystes partout le corps, y compris sur le coeur. Mike, un des membres de l'escadron a subi huit interventions. Ces os sont endommagés par la maladie et la douleur est intolérable. Cindy, est prise de vertiges incontrôlables. On lui avait permis par écrit qu'elle ne reçoive plus le vaccin jusqu'ê ce que sa santé s'améliore. Celui qui était le plus mal en point, c'était Michel qui est paralysé et qui ne peux plus communiquer que par les yeux. "Oh! Mon Dieu," que j'ai dit, se rappelle madame Hubbell après avoir lu ces horreurs sur le site :. "C'est ce qu'ils sont en train de faire à mon fils."
Le fils d'Hubbell a eu droit à seulement trois régimes de six vaccinations du charbon avant que le programme de vaccination soit temporairement arrêté pour manque de provision du médicament. Aujourd'hui, le jeune homme souffre de divers problèmes cutanés. Il a des ampoules visqueuses sur le corps et sa famille sait très bien que le vaccin est responsable. Mais il est un des chanceux d'avoir pu arrêter de recevoir ce vaccin. Docteur Meryl Nass, une experte renommée de la maladie du charbon a été la première à sonner l'alarme pour que le programme de vaccination massive aux militaires, soit abandonné. Elle avait fait des recherches sur cette maladie en 1989. Quand des gens lui ont parlé que le vaccin du charbon était sûrement à l'origine du syndrome de la guerre du golfe, elle a décidé de vérifier. Elle a constaté qu'un certain nombre d'études avaient été faites et qu'une variété de causes avait été trouvée. Mais personne n'a envisagé que c'était relié au vaccin de la maladie du charbon. "C'est très curieux," rapporta madame Nass, vous ne trouvez pas? .
En quelques heures, Nass a écrit officiellement les dessous de ce qu'elle appelait une machination pour cacher la vérité à propos de la maladie de ces militaires. Elle a rapporté toute cette histoire pour que les gens connaissent la vérité. Quand l'armée a commencé son programme pour inoculer les 2.4 millions de militaires, Nass a été inondé d'appels pour avoir ses conseils. "Au départ des gens me demandaient, ' devrais-je me faire vacciner ? '" Elle leur répondait. " Je n'ai pas de preuves que c'est dangereux mais de toute évidence, c'est dangereux. Je ne peux pas vous conseiller de vous faire vacciner. Il serait dommage que les gens se fassent vacciner et qu'on découvre par la suite, qu'il y avait un danger flagrant. ."
Bien sûr, le Ministère de la Défense nationale est allé de l'avant avec le programme de toute façon. Nass dit qu'elle a reçu des nouvelles de milliers des gens qui ont reçu la vaccination et qui sont, maintenant, malades. Les chiffres officiels utilisés par le Ministère de la Défense nationale inscrivent seulement 836 réactions défavorables causées par le vaccin du charbon. De ceux-lê, 88 réactions sont classifiées comme étant si sévères que les soldats ont dû être libéré de leur travail quotidien. Plusieurs ont dû être hospitaliser. Il est très difficile d'entendre le département de défense dire que le vaccin est parfaitement sûr. L'armée critique ceux qui se plaignent d'être malade depuis qu'ils se sont fait vacciner. Ils trouvent que des gens comme Colosimo sont des ''fakers'' qui veulent discréditer l'armée des USA. Les personnes qui ont refusé de se faire vacciner sont en court martiales. Le site Web pour BioPort, de Lansing, au Michigan est la société qui a autorisé et fabriqué ce vaccin. Mais il y a une histoire de relié à cette usine Le site se défend de dire que le vaccin est gardé dans un coffre-fort efficace. " La colère de la société irrite beaucoup BioPort lance qui veut lancer une vaste campagne sur l'expérimentation du vaccin et qu'il soit, plus que jamais à l'étude. "

"J'étais trop malade pour voler. J'étais trop malade pour obtenir un autre vaccin mais ma maladie ne peux pas être localiser," dit le Capitaine Michelle Piel.

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"Le vaccin de charbon n'est pas un vaccin expérimental. " dit le site Web. "C'est un produit qui a été testé. Il a été autorisé par l'Organisation de certification des aliments et des médicaments en 1970 et re-certifié en 1986. Il a été utilisé pour protéger des ouvriers des dangers industriels et des laboratoires pendant presque 30 ans."
Malgré la licence du rapport de sécurité de son usine, la firme de BioPort. Avant 1993, le FDA n'a pas même essayé d'inspecter les résultats de leur vaccination, parce que les inspecteurs n'avaient pas été vaccinés contre le charbon, donc ils ne pouvaient connaître les effets secondaires. Quand le FDA est allé faire l'inspection de l'usine de bio port, pour ensuite refiler le dossier au Département du Michigan de Santé publique, ils ont trouvé plusieurs problèmes qui ont mis en péril la stabilité du processus industriel. Les problèmes ont persisté et en mars 1997, le FDA a envoyé une lettre menaçant de révoquer leur licence de fabrication. BioPort a acheté l'usine et l'a rénové, mais elle n'a pas continué à faire les inspections pour la sécurité. Aujourd'hui, l'usine a fermé ses portes. Pendant ce temps, le vaccin n'est pas disponible. Heureusement...???????
Il faut se demander si le vaccin est réellement efficace. Une étude fait sur le vaccin de la maladie du charbon qui avait été inoculé antérieurement, et qui avait été fait par le Merck Pharmaceutical Corp., avait déterminé que le vaccin protégeait contre l'infection cutanée mais ils ne pouvaient déterminer s'il pouvait protéger contre la version qui est inhalé et qui est plus dommageable pour la santé. C'est cette dernière qui a eu raison du photographe d'un tabloïde de la Floride et des deux employés postaux à Washington ainsi que celui qui travaillait à l'hôpital ê New York. Jusqu'ê présent et pour des raisons évidentes, aucune étude humaine n'a été faite sur l'efficacité du vaccin contre le charbon inhalé. Dans les études qui ont été faites sur des animaux, des résultats varient différemment. Il est très difficile d'évaluer les effets du vaccin sur des animaux pour ensuite l'essayer sur des humains. Le département de la défense a dit qu'il projetait une nouvelle recherche dans ce secteur.
On pourrait soutenir qu'un peu de protection contre une éventualité de guerre biologique pourrait rassurer la population mais c'est le contraire qui se produit. Plusieurs études ont lié le vaccin de la maladie du charbon avec le Syndrome de Guerre de Golfe. Une étude d'Anciens combattants de Golfe du Kansas a constaté que 34 pour cent d'entre ceux qui ont été vaccinés, ont eu des problèmes physiques par la suite. Le Syndrome de Guerre de Golfe, 12 % des vétérans de la guerre du golfe qui ont reçu la vaccination, n'ont pu se rendre au koweit puisqu'ils étaient trop malades pour s'y rendre. Mais les autorités n'ont jamais voulu dire la vérité à propos de cette vaccination qui ressemblait plus à une expérience qu'ê une protection contre une attaque biochimique. En ce qui concerne ce fonctionnaire qui supposait que les réactions défavorables au vaccin étaient très basses, Jusqu'ê présent, plus d'un demi-million de militaires ont été inoculé par ce et 10% ont dû être hospitaliser à la suite de l'inoculation. Les réactions étaient trop sévères pour ne rien faire. Ceux qui ont critiqué cette vaccination ont dû subir les foudres des autorités militaires qui ont toujours défendu avec fermeté que la vaccination n'était pas responsable de ces malaises. Le VAERS qui prend les plaintes à propos d'actions défavorables au bien-être humain ont rassemblé toutes les données depuis les premières dénonciations. Ils demandent ê ceux qui ont eu des réactions négatives de se plaindre à eux mais plusieurs n'osent pas dénoncer leur maladie de peur de subir un mauvais traitement de leur employeur, l'armée. En outre, le département de défense semble avoir envoyé un signal clair aux troupes qu'il ne voulait pas entendre quoi que ce soit qui aurait pu contredire leurs conclusions, à savoir qu'ils n'étaient nullement responsables des maladies de leurs militaires. Prenez, par exemple, le cas du Capitaine Michelle Piel, une des 15 membres de l'escadron de Sonnie Bates qui revendiquent avoir été diminué par le vaccin. Dans un témoignage écrit, Piel a raconté que lors de la deuxième vaccination, son bras a commencé à engourdir. Cela pouvait durer une vingtaine de minutes. Quelques semaines plus tard, tandis qu'elle volait dans un avion en provenance de l' Honduras, elle commença à avoir mal à la tête. Elle sentait presque comme un liquide dans sa tête. C'était comme s'il y avait eu un robinet dans ma tête et qu'on l'avait ouvert pour laisser l'eau l'emplir Après l'atterrissage en Caroline du nord, un chirurgien de vol lui a dit qu'il avait un rhume de cerveau et une infection moyenne de l'oreille.
En novembre, elle a reçu sa deuxième dose de vaccination à raison de six inoculations. Ses bras sont devenus plaqués de blessures causées par les piqûres Les jours suivant, une fatigue extrême l'a retenu au lit. Après un examen chez son médecin, il a conclu qu'elle souffrait d'une inflammation de l'oreille interne. Ils ont cessé de lui administrer le vaccin. Les symptômes de Piel ont empiré en décembre quand les étourdissements l'ont empêché de conduire sa voiture. Elle avait des nausées et était toujours fatiguée. Son mari et sa mère se sont occupés d'elle. Elle a pris un congé de maladie. Des mois plus tard, sa condition s'est améliorée, mais la fatigue est toujours lê. Elle n'a jamais pu s'en débarrasser. En mai 1999, Piel est entrée en contact avec le VAERS. Elle savait qu'elle pouvait faire elle-même un rapport mais elle s'est dit que l'opinion de quelqu'un d'en dehors fortifierait ses conclusions. Quand elle a remis son rapport à ses supérieurs, elle s'est aperçue qu'il était très réticent à étudier les dessous de ses symptômes. Ils étaient même fâchés. Un de ses supérieurs lui a dit que son rapport ne pouvait être classer puisqu'il ne pouvait être rapporter à plus haute autorité. Ils lui ont dit que sa maladie était en fait un choc d'anaphylactique qui pouvait causer des nausées, une difficulté de respirer, des éruptions cutanées, de la transpiration, de la fièvre. "Cela n'avait aucun sens," rapporte-t-elle. "J'étais trop malade pour voler. J'étais trop malade pour obtenir une autre vaccination. Mais ma maladie ne pouvait pas être localiser. ?"SUITE....

Il n'est pas étonnant que le sous-comité de la Maison VAERS n e se soucient pas des réactions de leurs troupes. Le rapport du sous-comité, intitulé "la Protection de Force Non prouvée," fait état de rapports défavorables. Le Ministère de la Défense nationale a indiqué qu'ils étaient plus qualifier à la protection des forces ennemies qu'ê la pratique de la médecine. "
Depuis la tragédie du 11 septembre, le site Web d'anti-vaccin de Kathy Hubbell - anthraxvaccine.net - a vu une hausse du trafic "Je pense que, jusqu'ê présent, les gens ne se sentent pas proches des militaires" dit Hubbell. "C'est vraiment triste, j'aurais voulu dévoiler cette chose ê un autre moment mais, il faut battre le fer pendant qu'il est chaud. Mais beaucoup de nouveaux visiteurs semblent croire que toutes ces histoires sont fausses. Plusieurs ont quand même demandé à être vacciner contre la maladie du charbon. Qu'est-ce que je peux faire de plus?C'est leur choix mais ils auront été avertis. BioPort, a tellement reçu des demandes civiles de vaccins, qu'ils ont mis des répondeurs qui disaient aux gens : "Toute la réserve qui existe actuellement appartient au Ministère de la Défense nationale. Actuellement il n'y a aucune possibilité pour que le produit devienne commercial et soit disponible pour les civils." La société a promis de faire en sorte que le vaccin soit disponible pour le publique. Il est fort à parier qu'éventuellement, il y aura un programme obligatoire de vaccination et que la société bioport fera d'énormes profits avec l'aide de son gouvernement.
À toutes ces demandes des civils pour avoir le vaccin, Hubbell dit, "Même si vous pouvez l'obtenir, vous ne l'aurez pas." En réponse à l'après 11 septembre, pour la demande de vaccin, Hubbell dit : " Nos troupes ne sont pas protégées avec ce vaccin, pas plus que les civils qui se le feront inoculer. Je crois qu'il faut prier pour que le monde n'entame pas de guerre bactériologique et chimique" .

De Nenki: un gros merci à Alain P pour sa collaboration inconditionnelle. " border="0" alt=""/>URL=http://imageshack.us] POUR ZACK VACCIN ANTHRAX VICTIME 1 Batmenu014002ge

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