QUINOLONES...VACCIN DE L HEPATITE B. VACCIN H1N1. ET AUTRES
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 autre toxine

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dan
Rang: Administrateur* LA SANTE DE NOS ENFANTS EN DANGER
dan


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Date d'inscription : 24/10/2004

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MessageSujet: autre toxine   autre toxine EmptyMar 19 Avr - 19:08

Association des Victimes Civiles et militaires de la guerre du Golfe.


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Cette documentation nous a été adressée aimablement par Madame la Présidente de l'association: LaMalFatigue



LaMalFatigue

14d rue Gambetta

59239 THUMERIES

Tel: 08 71 12 22 79 (prix d'un appel local).


--------------------------------------------------------------------------------


Objets : composition MESTINON
-------------------------------------------------------------------
MESTINON 60 mg comprimés
Identification
Forme : COMPRIMES ENROBES -Etat : commercialisé -Labo: PRODUITS ROCHE
Produit(s) : MESTINON
Composition
PAR UNITE DE PRISE
PYRIDOSTIGMINE BROMURE 60 mg
SILICE COLLOIDALE excipient AMIDON DE MAIS excipient POLYVINYLPYRROLIDONE
excipient AMIDON PREGELATINISE excipient TALC excipient STEARATE DE
MAGNESIUM excipient SACCHAROSE excipient AMIDON DE RIZ excipient GOMME
ARABIQUE excipient OXYDE DE FER ROUGE colorant (excipient) OXYDE DE FER
JAUNE colorant (excipient) PARAFFINE excipient HUILE DE PARAFFINE excipient
Propriétés
PARASYMPATHOMIMETIQUE (ANTICHOLINESTERASIQUE) (principale)

Indications
- MYASTHENIE;- UTILISE DANS LE TRAITEMENT DE L'ATONIE INTESTINALE.

Effets secondaires
CRAMPE ABDOMINALE

NAUSEE

VOMISSEMENT

DIARRHEE

SIALORRHEE

HYPERSECRETION BRONCHIQUE

LARMOIEMENT

MYOSIS

CRAMPE

FASCICULATION MUSCULAIRE

SOUBRESAUT

Précautions d'emploi
INSUFFISANCE CARDIAQUE

BRONCHITE SPASMODIQUE

INSUFFISANCE RENALESEVERE: REDUIRE LA POSOLOGIE.

Contre-Indications
HYPERSENSIBILITE A L'UN DES CONSTITUANTS

ASTHME

MALADIE DE PARKINSON

OBSTRUCTION MECANIQUE

Surdosage
Traitement - SYMPTOMATOLOGIE: SUEURS, NAUSEES, VOMISSEMENTS,
HYPERSALIVATION, BRADYCARDIE, REACTIONS SYNCOPALES, MYOSIS, CRAMPES
ABDOMINALES, FASCICULATIONS ET SOUBRESAUTS MUSCULAIRES, DIARRHEE. DANS LES
CAS PARTICULIEREMENT SEVERES, IL PEUT SE PRODUIRE UNE IMPORTANTE
FATIGABILITE MUSCULAIRE QUI,"""" TOUCHANT LES MUSCLES RESPIRATOIRES, PEUT DECLENCHER UNE APNEE ET ENTRAINER UNE ANOXIE CEREBRALE."
""" LE DIAGNOSTIC DE CRISE CHOLINERGIQUE PAR SURDOSAGE EN MESTINON NECESSITE L'ARRET IMMEDIAT DE TOUT MEDICAMENT ANTICHOLINESTERASIQUE ET L'UTILISATION DE SULFATE D'ATROPINE. EN RAISON DU DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL PARFOIS DIFFICILE ENTRE UNE CRISE MYASTHENIQUE ET UN SURDOSAGE EN PROSTIGMINE, EN CAS DE DOUTE, LE MALADE DOIT ETRE TRANSFERE EN CENTRE SPECIALISE.



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Objets : effets graves de la pyridostigmine. ou organ
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SYNDROME CHOLINERGIQUE

DEFINITION
Syndrome clinique résultant de la stimulation excessive des récepteurs de l'acétylcholine, caractérisé par des troubles psychiques, une faiblesse musculaire et une activité secrétoire excessive.

L'acétylcholine est le neurotransmetteur présent au niveau de toutes les terminaisons préganglionaires du système nerveux autonome (récepteurs nicotiniques), de toutes les terminaisons nerveuses postganglionaires parasympathiques et de certaines terminaisons
postganglionaires sympathiques (récepteurs muscariniques), au niveau de la jonction neuromusculaire (récepteurs nicotiniques) et de certaines synapses du SNC. L'acétylcholine subit une dégradation permanente par l'acétylcholinestérase. La stimulation excessive des
récepteurs à l'acétylcholine se produit lorsque l'acétylcholinestérase est inhibée ou par stimulation directe des récepteurs à l'acétylcholine.

ETIOLOGIES TOXIQUES
Inhibition de l'acétylcholinestérase
Pesticides de type carbamate
Insecticides organophosphorés
Toxiques de guerre de type organophosphorés :
Sarin
Soman
Tabun
Néostigmine
Physostigmine
**Pyridostigmine**
Stimulation directe des récepteurs de l'acétylcholine
Arécholine
Bétanéchol
Carbachol
Choline
Métacholine
Champignons :
Bolets
Clitocybes
Inocybes
Pilocarpine

ETIOLOGIES NON TOXIQUES
Aucune

SIGNES CLINIQUES
Les manifestations cliniques de l'activité cholinergique excessive
peuvent être classées en 3 catégories : signes muscariniques,
signes nicotiniques et signes centraux. La gravité relative de
ces effets diffère selon les cas.
Les signes muscariniques révèlent une hyperactivité parasympathique :
bradycardie, myosis, sueurs, vision trouble, larmoiement, hypersecrétion bronchique, sibilants, dyspnée, toux, vomissements, crampes abdominales, diarrhée, incontinence urinaire et fécale.

Les signes nicotiniques révèlent une hyperactivité sympathique et un dysfonctionnement neuromusculaire : tachycardie, hypertension, mydriase, fasciculations musculaires et faiblesse musculaire.
Effets centraux : agitation, état psychotique, confusion, coma et convulsions.

DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL
Le syndrome clinique complet ne présente habituellement pas d'ambiguité diagnostique. Lorsque certaines manifestations prédominent, on peut envisager :

Asthme bronchique
Gastroentérite
Crise myasthénique
Oedème pulmonaire
Etat de mal épileptique d'origine autre

EXAMENS
Gaz du sang artériel
Radiographie pulmonaire
ECG
Ionogramme sanguin, urée et créatinine sanguines
Glucose
Oximétrie
Activité cholinestérasique sérique et/ou érythrocytaire
La diminution de l'activité cholinestérasique permet de confirmer le diagnostic d'une intoxication par les carbamates ou les organophosphorés mais ce dosage n'est pas utile au traitement de la phase aigüe du syndrome cholinergique.

TRAITEMENT
Dans les cas graves il faudra d'abord s'assurer de la liberté des voies aériennes, maintenir une ventilation et une oxygénation correctes, mettre en place une voie d'abord veineuse et traiter les convulsions par diazépam intraveineux.

Pratiquer une décontamination appropriée, selon le toxique en cause et la voie d'exposition.

L'atropine constitue l'antidote spécifique des effets muscariniques et elle doit être administrée dès que le diagnostic est suspecté. Elle n'a aucun effet sur les récepteurs nicotiniques. La dose initiale est de 1 à 2 mg (0.05mg/kg chez l'enfant) par voie intraveineuse, à renouveler toutes les 5 à 10 minutes jusqu'à assèchement des secrétion bronchiques.



Les cas graves peuvent nécessiter l'utilisation de doses très importantes d'atropine (jusqu'à 100 mg). L'administration de doses excessives d'atropine se manifeste par une agitation et une tachycardie. Le patient devra être surveillé étroitement et si besoin on pourra renouveler l'administration d'atropine. Lorsque l'accès intraveineux n'est pas possible, l'atropine peut être injectée par voie intramusculaire, sous-cutanée, intraosseuse (enfant) ou instillée par voie endotrachéale.

Dans les syndromes cholinergiques modérés à sévères provoqués par les organophosphorés ou les neurotoxiques de guerre, on administrera un réactivateur des acétylcholinestérases (si disponible) après l'atropine : pralidoxime ou obidoxime. La posologie de la pralidoxime est de 30 mg/kg par voie intraveineuse, puis relais en perfusion à la dose de 8 mg/kg/heure jusqu'à guérison clinique et pendant au moins 24 heures. On peut aussi remplacer la perfusion de pralidoxime par des injections intraveineuses ou intramusculaires à la dose de 30 mg/kg toutes les 4 heures. La posologie de l'obidoxime est de 4 mg/kg par voie intraveineuse, puis relais en perfusion à la dose de 0.5 mg/kg/heure jusqu'à guérison clinique et pendant au moins 24 heures.
On peut aussi remplacer la perfusion par des injections intraveineuses ou intramusculaires d'obidoxime à la dose de 2 mg/kg toutes les 4 heures. Dans les intoxications graves, des doses supérieures peuvent être nécessaires pour réactiver les enzymes.

La surveillance sera poursuivie après l'arrêt du traitement par les oximes. En cas de réapparition des manifestations cliniques, on réadministrera les oximes.

EVOLUTION ET SURVEILLANCELa gravité et la durée du syndrome clinique dépendent du toxique en cause et de la dose. Ce syndrome est habituellement court et relativement bénin après un surdosage avec un médicament à propriétés cholinergiques. Les intoxications plus graves surviennent habituellement avec les carbamates et les organophosphorés, surtout par ingestion. Le tableau clinique de l'intoxication par les carbamates pesticides est habituellement moins grave et de plus courte durée que dans les intoxications par organophosphorés.

Les cas graves nécessitant le recours aux mesures de maintien des fonctions vitales ou au traitement antidotique requièrent une surveillance étroite et doivent être traités si possible en milieu de réanimation. La surveillance hospitalière devra être poursuivie jusqu'à guérison stable du patient pendant 24 heures au moins après l'arrêt de tout traitement antidotique, sans réapparition des symptÔmes.

Le terme "syndrome intermédiaire" désigne la faiblesse musculaire réapparaissant plusieurs jours après l'intoxication. Il peut être dû à un traitement par oxime mal adapté.

L'activité des cholinestérases reste souvent abaissée pendant plusieurs semaines après l'intoxication aiguë, malgré la régression complète des signes et symptÔmes d'intoxication.

COMPLICATIONS A LONG TERME
Neuropathie périphérique............ Séquelles neuropsychiques...........

, J.
Szajewski.
Traduction : MO Rambourg Schepens, 9/99



Neuropathies périphériques -------------------------------------------------------------------
Neuropathies périphériques d’origine médicamenteuse
Plusieurs médicaments favorisent la survenue de neuropathies périphériques qui peuvent être de type sensoriel, moteur ou mixte. Les symptômes débutent généralement par des paresthésies*** et des myalgies****. Nous reprenons ci-dessous les principaux médicaments pour lesquels une neuropathie périphérique est décrite dans l’ouvrage de référence Davies’s textbook of adverse drug reactions " [ Ed.: D.M. Davies et al. 5 , ième edition (1998 ) ].

Antibactériens: fréquemment, nitrofurantoïne et isoniazide; rarement, amphotéricine, éthambutol, métronidazole, streptomycine et sulfamidés (y compris sulfasalazine).
Antitumoraux: chlorméthine, cisplatine, vinblastine et vincristine.
Antidépresseurs tricycliques: amitriptyline et imipramine. Vaccins contre l’hépatite B, contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche, et contre la fièvre typhoïde.
***************************************************
Divers: amiodarone, captopril, chloroquine, colchicine, ciclosporine, cimétidine, disulfirame, indométacine, interféron alfa-2a, labétalol, pénicillamine, phénytoïne, pyridoxine (à dose élevée), sels d’or et thalidomide.
Les cas de neuropathie, rapportés au Centre Belge de Pharmacovigilance depuis 1990 et pour lesquels un lien de causalité a été suspecté, ont été recherchés. Seuls ont été retenus les médicaments pour lesquels cet effet indésirable a été rapporté au moins deux fois au centre ou est décrit dans la littérature ou mentionné dans la notice. Il s’agit des médicaments suivants.

Antitumoraux: carboplatine, cisplatine, fluorouracil, oxaliplatine, paclitaxel et vincristine,
Nitrofurannes: nitrofurantoïne et nifurtoïnol, Statines: atorvastatine, pravastatine et simvastatine [voir Folia de septembre 2000 ]


Vaccins contre l’influenza et contre l’hépatite B,
Autres: amiodarone, disulfirame, itraconazole et ornidazole.
Certains médicaments qui figurent dans la liste ci-dessus pour lesquels des notifications de neuropathie périphérique ont été reçues par le centre sont absents de la liste du Davies’s textbook of adverse drug reactions, laquelle ne reprend que les principaux médicaments responsables de neuropathies.

. Pour beaucoup de ces médicaments neurotoxiques, une détection précoce de l’effet indésirable augmente les chances de récupération après arrêt du traitement.

Le décodeur

Une neuropathie ou ** neuropathie périphérique** est une maladie des nerfs périphériques. Un nerf est périphérique par opposition au système nerveux central qui comprend l’encéphale (cerveau, cervelet, bulbe rachidien) et la moelle épinière. Le nerf périphérique est constitué en réalité d’une racine nerveuse qui est issue de la moelle (corne antérieure de la substance grise) et d’un ou plusieurs troncs nerveux ou nerfs proprement dits. Les neuropathies périphériques comprennent toutes les atteintes des nerfs périphériques, atteintes qui peuvent être isolées ou diffuses, tronculaires (nerfs) ou radiculaires (racines), symétriques ou non.
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