texte traduit...
Les temps de LA 22 décembre 2006 Par Richard A. Epstein, RICHARD A. EPSTEIN est un professeur de loi à l'université de Chicago et à un camarade aîné à l'établissement d'aspirateur qui a souvent consulté pour l'industrie pharmaceutique. Son livre récent est « surdosage ». Clic ici pour l'URL : L'industrie PHARMACEUTIQUE obtient à mauvaise pression les livres récents par Marcia Angell, l'ancien rédacteur du journal de la Nouvelle Angleterre de la médecine, et Jerome Kassirer, un autre ancien rédacteur du journal, ont durement condamné l'industrie pour l'imprudence, l'insensibilité et l'avarice tout-consumante. Elles gagnent des ventes par l'épice vers le haut de leurs titres avec des expressions inflammatoires au sujet de « déception, » « complicité » et comment les compagnies de drogue « mettent en danger votre santé. » J'adopte une approche différente. Je ne défends pas chaque décision économique prise par les grandes maisons pharmaceutiques de recherches. À l'effet contraire, le commentaire beaucoup récent suggère que beaucoup de telles compagnies se soient commises à un modèle de bombe de grosse calibre-drogue - dans ce que le succès ou l'échec d'une compagnie dépend de quelques essentiels, haut-vendant des drogues que peut prouver insoutenable au-dessus du long-courrier. Si oui, je crois que ces sociétés devraient souffrir les conséquences financières de leurs choix erronés d'affaires. Les renflouements de gouvernement sont plus appropriés pour Merck et Pfizer qu'ils sont pour Chrysler ou Ford. Néanmoins, les critiques comme Angell et Kassirer ont absolument tort pour dépeindre les grandes compagnies de drogue de la nation en tant que behemoths cruels et avares dans lesquels agir quelque façon ils choisissent et obtiennent toujours leur manière. La vérité est, l'industrie pharmaceutique est trop fortement réglée. Son grand problème n'est pas aujourd'hui qu'il est libre de courir aciéré au-dessus des besoins des consommateurs, mais qu'il fonctionne dans un environnement de normalisation hostile et excessif qui frustre la prise de décision saine d'affaires et réduit des cours d'actions de compagnie pharmaceutique au marché boursier. Considérer ce qui suit : des règles Jamais-dures être en conflit- interest dans les instituts nationaux de la santé et de tels centres médicaux d'universitaire comme l'université de la Pennsylvanie, de Stanford et de Yale ont réduit des occasions pour la collaboration fructueuse entre l'industrie, le gouvernement et les universités. Des conditions plus rigoureuses pour les épreuves cliniques de drogue - comprenant des règles qui exigent de plus grandes populations d'essai et une documentation plus étendue - ont ramené l'écoulement de nouvelles drogues au marché. (Entre 1996 et 2000, la FDA a fait la moyenne d'environ 153 nouvelles approbations de drogue. Entre 2001 et 2005, le nombre était en baisse à 55, avec seulement 15 en 2005 et 29 de 2004.) En outre, l'industrie fait face à des risques de responsabilité principaux. La législation de fraude du consommateur adoptée dans beaucoup d'états a produit des réclamations massives et oeil-sautantes souvent pour des remboursements du prix d'achat d'achat original - dans certains cas même des drogues qui ont fonctionné comme promis ou de la part des personnes qui n'ont pas pris les drogues du tout. Tous ces développements orthographient des coûts plus élevés pour les compagnies. Simultanément, les attaques de normalisation sur le modèle de prix de l'industrie, y compris des propositions récentes pour faire négocier le gouvernement des taux pour tous les vieillards couverts sous la partie D d'Assurance-maladie, menacent son jet de revenu. L'industrie pharmaceutique fonctionne dans un environnement de haut-fixe-coût et de bas-marge. Elle coûte, en moyenne, plus que milliard de dollars pour obtenir la première pillule pour lancer sur le marché. Toutes les pillules suivantes, cependant, peuvent être faites et lancées sur le marché pour seulement quelques dollars ou cents additionnels. Naturellement, aucun utilisateur ne veut jamais payer la grande facture cette première pillule. Au lieu de cela, chacun espère ardamment payer comme près du coût marginal pour les pillules suivantes. Le problème avec celui est qu'à moins que quelqu'un paye se développer que la première pillule, là n'est aucune deuxième pillule à prendre. Le défi central à l'évaluation de drogue est de figurer dehors, tout à fait littéralement, qui avale (et dans quelles proportions) que coût d'entrée énorme. Malheureusement, aucune compagnie n'a une méthode précise assez, assigne raisonnablement et agréable au goût le coût de développement de drogue parmi les classes diverses des consommateurs suivants - grand HMOs, hôpitaux, pharmacies de plein-service et Medicaid pour des démarreurs. Chaque acheteur a un véritable motif pour pousser l'autant de de ces coûts comme possible sur quelqu'un d'autre. Le résultat est rugueux-et-dégringolent le jeu de négociation dans lequel les prix de drogue changent sensiblement à travers différents segments du marché. Mais la pharmacie faisante le coin n'a pas la même admission des fonds de tiers pour jouer un fabricant de drogue au loin contre des autres, ainsi elle paye habituellement des prix plus élevés ses articles qu'un grand HMO. La confusion résultante mène aux appels forts pour des contrôles des prix équitables et à l'échelle industrielle. Mais les contrôles des prix auraient les mêmes grandes conséquences qu'ils dans n'importe quelle autre industrie. Les dollars d'investissement se déplaceront rapidement ailleurs si le système de normalisation ne permet pas à des fabricants de maximiser leurs revenus au cours de la vie utile de la drogue (qui, par ailleurs, n'excède jamais les 11 environ les années de la protection de brevet). Les études répétées, domestiques et étrangères, ont prouvé que des contrôles des prix mats les incitations des compagnies pharmaceutiques pour développer de nouvelles drogues. Même l'entretien des contrôles des prix diminue l'investissement. En raison de sa structure haut-fixe et bas-variable de coût, l'industrie de drogue n'atteindra jamais l'équilibre concurrentiel parfait. Mais en notre deuxième-meilleur monde, considérer soigneusement les différentes conséquences de deux stratégies. Le premier cherche à augmenter l'approvisionnement en évitant réglementaire et en encourageant l'entrée de nouvelles compagnies dans les affaires. La seconde cherche à maintenir des prix par des commandes directes. La deuxième approche mène à de bas prix aujourd'hui mais à manques systématiques demain, alors que la première mène à une plus grande innovation aujourd'hui et à un plus grand choix demain. Nous devons faire attention à ne pas confondre des contrôles des prix avec un traitement quand ils sont en fait une maladie. Laisser notre nouveau congrès réformiste prendre garde. ************************************************************* Centre vaccinique national de l'information email : news@nvic.org voix : 703-938-dpt3 Web : http://www.nvic.org Les E-Nouvelles de NVIC sont un service libre du centre vaccinique national de l'information et sont soutenues par des donations d'adhésion.
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Sujet: INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE LIVRES QUI DENONCENT