QUINOLONES...VACCIN DE L HEPATITE B. VACCIN H1N1. ET AUTRES
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 UN AUTRE REGARD

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dan
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dan


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MessageSujet: UN AUTRE REGARD   UN AUTRE REGARD EmptyMer 18 Mai - 1:00

Un autre regard:
Date: Mon, 30 Mar 1998 19:05:12 +0200 (MET DST) X-Sender: amcera@worldnet.fr (Unverified) Mime-Version: 1.0 To: chenardj@pyrite.uqat.uquebec.ca From: amcera@worldnet.fr (Dr LAVIGNOLLE) Subject: Une réflexion sur le tryptophane et une discussion plus clinique et plus large sur la fibromyalgie... En 1991 , 1500 observations sont connues aux USA et 22 en France ... Et nous avons ici suivi une patiente. Victimes du Tryptophane.. Un acide aminé essentiel, précurseur de la sérotonine, dans la plupart des aliments. Un produit dit "naturel", il a été commercialisé aux USA en 1974 et vendu en pharmacie et grande surface pour l'indication insomnie, dépression, syndrome prémenstruel etc...à la dose de 2 grammes /jour sur 8 semaines. Dès la fin des années 80 , les premiers cas de complications sévères au Nouveau Mexique et une nouvelle maladie baptisée le "syndrome éosinophilie-myalgie". Rapidement et en quelques semaines le tableau est dominé par des myalgies intenses et diffuses avec une impotence fonctionnelle. Il s'y associe une fièvre modérée,une asthénie,un gonflement des extrémités, des arthralgies, une toux avec dyspnée d'effort ,un éruption maculo-papuleuse et des paresthésies par neuropathie. A l'examen la majorité ont une faiblesse musculaire, un oedème de la face et des extrémités,une alopécie,une cyanose de la face et des membres, une induration cutanée avec phénomène de la peau d'orange. La biologie sanguine montre une éosinophilie à 30 000/ mm3. L'histologie de la peau montre une réaction inflammatoire de la peau , du tissu cellulaire sous-cutané, des fascias et des muscles. Cette inflammation infiltre le périnèvre avec atrophie par dénervation et la paroi des petits vaisseaux avec une lumière vasculaire rétréçie. À 24 mois de recul, malgré un traitement à base de corticoïdes, 33% des patients ont encore des symptômes à type de myalgies, myopathie, neuropathie, alopécie et lésions sclérodermiques. 86% ont encore des symptômes cutanés et vasculaires à type de cyanose. Nous avons suivi un cas en 1993 après un traitemnt en 1989 par Tryptophane , avec le même tableau résiduel : une cyanose trés sévère de la face et des membres inférieurs, des oedèmes par destruction du système capillaire.. des myalgies et des parésies des membres inférieurs. Je ne suis pas prêt d'utiliser ce produit pour les syndromes myalgiques, même si on a parlé d'impureté probablement en cause ? Quelques références . CASTOT et coll. Syndrome eosinophilie-myalgies dû à des produits contenant du L.Tryptophane.Thérapie 1991,46, 355-365. BELONGIA E.A. An invistigation of the cause of the eosinophila-myalgia syndrome associated with tryptophane use. The new England journal of Medecine. 1990,323, 357-365. PHILEN R.M. Tryptophan contaminans associated with eosinophilia-myalgia syndrome.Am. J. Epidemiology. 1993, 138, 154-159 Syndrome éosinophie-myalgies et Trytophane. Concours médical. 1991 , 113-119. Pour revenir à la fibromyalgie et au syndrome myofascial, dont la première se distingue par le caractère d'atteinte généralisée, si les praticiens sont dans deux camps selon RUSSEL, ils se retrouvent 1- dans le même journal; le Journal of musculoskeletal pain et 2- dans les mêmes congrès (San Antonio 1995) (RUSSEL I.J. Myopain 95. Journal of musculoskeletal pain vol 4,1996,11-13.) D.G. SIMMONS qui a travaillé avec TRAVELL a fondé la première clinique de la douleur myofasciale en Californie en 1986. (SIMONS D.G. Neurophysiological basis of pain caused by trigger points. Am.Pain Soc.1994, 3, 17-19.). Pour l'hypothèse de la plaque motrice , HUBBARD et BERKOFF ont montré que le point gachette actif lorsqu'il est stimulé mécaniquement est une zone comprenant de nombreux petit loci sièges d'une activité électrique spontanée caractéristique. Superposition d'une activité de fond microvolté permanente et d'une activité intermittente semblable à un potentiel d'unité motrice sous la forme d'une décharge brève d'environ 0,2 s. et atteignant O,5mV en moyenne avec un pic initial négatif. (HUBBARD D.,BERKOFF G. myofascial trigger points shows spontaneous needle EMG activity. SPINE 1993, 18, 1803-1807. SIMMONS D.G.Clinical and etiological update of myofascial pain from trigger points.Journal Musculo.Skeletal pain 1996,4,93-121. SIMMONS D.G.,HONG C.Z, and al. Nature of myofascial trigger points, active loci. Journal Musculo skeletal pain. 1995,3, 62 (Abstract.). La correspondance avec les points d'acupuncture? Dans 71% des cas selon MELZACK et un livre de BALDRY. MELZACK R. et al.trigger points and acupuncture for pain:correlation and implication. PAIN 1993, 3, 3-23. Elsevier North Holland Medical Press. BALDRY P.E. Acupuncture,trigger points and Musculoskeletal pain. 1993, Churchill Linvingstone édit. G.B. Le concept de continuum entre forme locale et généralisée du syndrome myo-fascial proné par certains auteurs? (SIMMONS, GOLDENBERG, RACHLIN, LITTELJOHN) est compatible avec la mise en évidence d'anomalies musculaires dans la fibromyalgie sur les anomalies de la glycolyse (Eisinger). Dans l'hypothèse d'une pathogénie essentiellement centrale de la fibromyalgie, les liens entre syndromes myofascial et fibromyalgie pourraient n'être qu'indirects, (RUSSEL) EINSINGER J et Coll. Glycolysis abnormalities in fibromyalgia. J. Am.Coll.Nutr.1994, 13, 144-148 EINSERGER J. Anomalies de la glycolyse au cours des fibromyalgies. Myalgie 96. Med.Sud-Est. XXXII, 5/6,1996,2180-2181. RUSSEL I.J. Neurochémmical pathogenesis of fibromaylgia syndrome. Journal Musculo skéletal pain. , 4, 1/2, 61-92, 1996. La discussion nosologique et étiopathogénique reste entière! Un certain nombre de syndrome myofasciaux rebelles au traitement et de forme régionale évolue prpogressivement vers un état de type fibromyalgique. HUBBARD parle de globalisation, LITTLEJOHN parle de généralisation (metastazing) de type fibromyalgique. BENNET estime que la généralisation s'effectue en 6 à 18 mois. Il invoque un processus biochimique dont le substratum serait la diffusion de la substance P libérée en excès au sein de la corne dorsale de la moëlle. BENNET R.M. The contribution of muscle to the generation of fibromyalgia symptomatology. Journal Musculo skeletal pain.4,1/2,35-39,1996. LITTELJOHN G.O. Clinical update on other pain syndromes. Journal musculoskeletal pain.4,1/2,61-92, 1996 Au total il reste difficile de définir les critères diagnostiques entre syndrome myofascial et la fibromyalgie , malgré le congrés mondial sur ce sujet à Copenhague en 1992 et le congrés mondial myopain de San Antonio en 1995. En France on admet le concept de fibromyalgie ou S PID depuis Marcel Francis KAHN (un patron de Paris). Il avait rapporté les conclusions de l'Américan College of Rhumatology sur les critères diagnostiques sur la fibromyalgie lors du congrés de Vancouver en 1990. Mais le concept de syndrome myofascial est pratiquement inconnu en langue française car le livre de Travell est peu connu. Un peu plus maintenant , car il a été traduit ! Personnellement je pense qu'il est difficile d'effacer le travail de Janet Travell et de son collaborateur D.G.SIMMONS à qui l'on doit la nosologie et l'étude analytique. Je crois que les termes syndromes myofasciaux ou myalgie localisée ou myalgie généralisée sont meilleurs que le terme de fibromyalgie car il n'y a pas histologiquement de lésions de fibrose. Le problème est neuro-métabolique local et secondairement neuro-medullaire... Demande à SERGE ce qu'il en pense ? En tout cas, j'aimerai savoir ce qui se passe exactement. A bientôt d'autres nouvelles . BENOIT LAVIGNOLLE Et en réponse à la première ébauche du Dr Arsenault et une discussion plus clinique mais tout aussi intéressante... Pour la fibromyalgie je suis bien d'accord avec votre collègue. La terminologie est encore très imprécise, tout comme cette maladie et le traitement difficile. (myo-fascial Sd., polyentésopathies , fibrosite, fibromyalgie, rhumatisme musculaire, Syndrome polyalgique idiopathique diffus ....). En France on parle maintenant de sd myalgique localisé ou de SPID (myalgie généralisée). C'est une priorité de recherche en France pour la ministère et il y a une association de patients qui se battent pour la reconnaissance de l'affection.. Il semble que les Anglo-saxons sont plus en avance que les Français qui ne croient pas trop à cette maladie. Comme dit justement votre collègue, il y a la forme primaire idiopathique et la forme secondaire plus rare qui accompagne d'autres maladies: Il y a un rapport avec le Sd d'asthénie post viral où on trouve des myalgies (VIH,hépatite, maladie de Lyme...) et donc avec le système immunitaire probablement mais aussi avec la pathologie inflammatoire (Polyarthrite rhumatoïde) qui est probablement auto-immune. On le voit avec des arthralgies réactionnelles à des infections urinaires (Chlamydia) et j'ai vu un malade hier complètement SPID avec des arthralgies et une infection instrumentale lors d'une endoscopie pour la prostate... La femme d'un collègue avait un tableau de SPID et son mari lui disait que c'était la ménopause ! Finalement, elle avait été piquée par une tique et avait une forme larvée de maladie de Lyme.Elle a été guérie par les antibiotiques et les myalgies ont disparues mais très lentement. Il faut donc se méfier de l'étiologie possible sous-jacente et ne conserver la forme idiopathique que comme un diagnostic d'exclusion. Le médecin doit faire l'enquête.. Mon père a travaillé dans les année 50 sur la maladie de Bornholm (île danoise) où sévissait une myalgie épidémique causée par le virus cocksackie . Il est vrai maintenant que pour les neurobiologistes ,tout est lié (système neuro-endocrinien et immunitaire). Je comprends que Serge s'intéresse à ce problème très complexe. Il y a le stress aussi que vous connaissez bien, vous les canadiens depuis SELYE ! En tout cas ces malades empoisonnent la vie des médecins. Ils demandent beaucoup du médecin ! C'est l'exemple même d'une maladie dans sa forme primaire somato-psychique et non pas psycho-somatique, car le point de départ est physique avec un retentissement important sur la personnalité et le comportement. Ils sont rejetés comme des "psy" par beaucoup de nos collègues et pourtant l'invalidité est bien réelle. L'école du dos interactionnelle me semble bien adapté à ce type de patient avec une prise en charge globale et pluridisciplinaire. J'ai vu sur les derniers congrés qu'on retenait une forme localisée, sorte de contracture d'origine nociceptive, que les anglo-saxons appelle "spasm" (qui ne veut rien dire) et une forme généralisée, extensive. C'est une maladie de la plaque motrice selon les derniers travaux en électrologie mais il y a aussi des mécanismes centraux mal élucidés. Je te donnerai des références récentes. Je ne sais rien sur la mélatonine! En France c'est interdit pour le moment. Pour le Tryptophane, il me semble qu'il y a eu des accidents. J'ai fait faire un mémoire l'an dernier sur ce sujet dont je te donnerai les conclusions. COMMENTAIRES AU SUJET DU SYNDROME FIBROMYALGIQUE Pierre Arsenault M.D, Ph.D 16 avril 1998 1) DÉFINITION Au sujet du texte sur la fibromyalgie de Docteur Lavignolle, je vois que la compréhension du syndrome fibromyalgique est un peu plus nuancée de ce côté-ci de l'Atlantique. En effet, en Amérique, on n'associe pas spontanément la fibromyalgie aux syndrômes myofasciaux de Travell (1, et tableau joint). Une distinction est parfois faite entre les deux entités. Les points "sensibles" du fibromyalgique sont distingués des points "gachettes" de Travell. Ces points gachettes de Travell sont palpables, se présentent comme des indurations musculaires bien localisées, qui provoquent une douleur loco-régionale. Dans la fibromyalgie, c'est toute la musculature qui est spastique et on ne retrouve pas ces fameux "noeux" musculaires isolés pour emprunter une expression locale.De plus, certains auteurs émettent l'hypothèse qu'il y a plus que la musculature qui est endolorie chez le fibromyalgique, mais aussi les zones sous-cutanées (2). Il existe aussi une controverse sur la validité des points sensibles reconnus dans la fibromyalgie (1,3).Il pourrait en exister plusieurs autres qui ne sont pas encore reconnus et peut être même qu'une fluctuation de ces points existe dans le temps. L'abondance des points sensibles fait de la fibromyalgie une maladie à douleur généralisée. Le terme "généralisé" prend tout son sens lorsque le patient en devient par surcroit "dépressif". Il est d'ailleurs courant de distinguer la fibromyalgie primaire de la fibromyalgie secondaire et des "désordres psychiatriques" avec symptômes de type fibromyalgie" (1). Je me demande personnellement si la fibromyalgie et le syndrome myofascial pourraient appartenir à un même spectre de maladie musculo-squelettique, peut-être même à un continuum

Tiré de: Bissonnette,Bernard. 1995."J'ai mal partout docteur qu'est-ce que j'ai?" Congrès sur la fibromyalgie. Hopital du Sacré-Coeur. Montréal.


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dan
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MessageSujet: TRYPTOPANE   UN AUTRE REGARD EmptyMer 18 Mai - 1:12

Les Acides Aminés


On dénombre 20 acides aminés dont 8 sont essentiels : Isoleucine, Leucine, Lysine, Valine, Méthionine, Tryptophane, Phénylalanine, Thréonine. Ils sont dits essentiels car ils ne peuvent pas être synthétisés par l'organisme et c'est donc notre alimentation qui doit nous les apporter.

C'est grâce aux acides aminés que notre organisme (sous les ordres de l'ADN et de l'ARN) fabrique dans les cellules les protéines, indispensables à notre existence. Les protéines sont après l'eau, les substances les plus nombreuses rencontrées dans notre corps. On les trouve sous forme d'enzymes, d'hormones, d'anticorps ou comme constituants de muscles, de tissus....elles servent à notre développement, à réparer les dégâts subits par l'organisme, ou encore comme source d'énergie.

Les autres acides aminés sont : Acide aspartique, Acide glutamique, Glutamine, Asparagine, Glycine, Histidine, Proline, Sérine, Tyrosine, Cystéine, Alanine, Arginine.

Les acides aminés présentent tous (mis a part la glycine) un carbone asymétrique et peuvent donc exister sous deux formes (D et L). Les acides aminés présents dans les organismes vivants sont tous de la série L.

La formation d'une protéine, s'effectue par l'association de très nombreux acides aminés entre eux. Lorsque que 2 acides aminés se lient, une liaison peptidique se forme entre un groupement aminé de l'un et un groupement carboxyle de l'autre acide aminé avec élimination d'une molécule d'eau.



Isoleucine (Ile, I) :



Leucine (Leu, L) :




Lysine (Lys, K) :
Elle participe à la formation des anticorps et dans la régénération de tissus endommagés.








Valine (Val, V) :


Méthionine (Met, M) :
Elle participe avec l'acide glutamique, la cystéine et la glycine à la synthèse d'une enzyme, le glutathion, un puissant anti-oxydant qui neutralise les radicaux libres et qui possède donc un effet anti-vieillissement. La présence d'un atome de soufre lui permet d'être un excellent chélatant et de s'associer avec des métaux lourds comme le mercure ou le plomb et de servir comme agent de détoxication. Elle intervient également dans la synthèse de la phosphatidylcholine qui tient un rôle primordial dans le maintien de la fluidité de la membrane cellulaire.






Tryptophane (Trp, W) :
Le tryptophane est transformé par l'organisme en sérotonine qui est une substance chimique du cerveau qui a des effets antidépresseurs, anxiolytiques, qui agit comme somnifère, augmente la tolérance à la douleur et combat la dépendance à l'alcool, la cocaïne et les amphétamines.




Phénylalanine (Phe, F) :
C'est un antidépresseur naturel. En effet il est transformé par l'organisme en dopamine, noradrénaline et adrénaline qui sont des molécules essentielles dans beaucoup transmissions nerveuses.




Thréonine (Thr, T) :




Acide aspartique (Asp, D) :
C'est un neuromédiateur dont la synthèse chute fortement lors de l'utilisation régulière de drogues. Il augmente la résistance à la fatigue.





Acide glutamique (Glu, E) :
C'est un neuromédiateur qui améliore la mémoire et la vivacité d'esprit.





Glutamine (Gln, Q) :
Elle est utilisée dans le traitement de l'alcoolisme : elle est le précurseur de l'acide gamma-aminobutyrique (neuromédiateur) qui diminue fortement lors de la consommation d'alcool.
Asparagine (Asn, N) :





Glycine (Gly, G) :








Histidine ( His, H) :
Elle a un effet calmant sur le système nerveux et stimule la sécrétion gastrique. Elle est un précurseur de l'histamine dans l'organisme.









Proline (Pro, P) :





Sérine (Ser, S) :



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Tyrosine (Tyr, Y) :
C'est un antidépresseur naturel et un puissant anti-stress. Comme la phénylalanine, c'est un précurseur de la dopamine et de la noradrénaline et de l'adrénaline. Elle est également utilisée par la thyroïde pour produire la thyroxine, hormone qui contrôle entre autres le métabolisme des graisses et la croissance des tissus.







Cystéine (Cys, C) :
Elle participe avec l'acide glutamique, la méthionine et la glycine à la synthèse d'une enzyme, le glutathion, un puissant anti-oxydant qui neutralise les radicaux libres et qui possède donc un effet anti-vieillissement. La cystéine entre en grande partie dans la composition des cheveux (dans les permanentes, ce sont les ponts disulfures formés entres deux cystéines qui permettent de donner une forme à la chevelure).








Alanine (Ala, A) :



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Arginine (Arg, R) :
Elle stimule la sécrétion de l'hormone de croissance, hormone qui renforce le système immunitaire, accélère la cicatrisation, permet d'augmenter très fortement le métabolisme des graisses (et tonifie donc indirectement les muscles).
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