Pesticides et métaux lourds :
que nous cache-t-on ?
Autisme, hyperactivité, échec scolaire; troubles obsessionnels de comportement, dépression : la liste des effets de l'intoxication aux métaux lourds est impressionnante. Il existe désormais un protocole alimentaire spécifique pour nous débarrasser de ces poisons afin de retrouver joie de vivre et santé.
L'homme de 3ème millénaire vit dans un monde de paradoxe : il peut vivre aujourd'hui dans le confort grâce à l'avancée de la technologie car tout est à sa disposition et pourtant il est de plus en plus démuni en véritables bonnes solutions pour guérir de nombreuses maladies qui l'assaillent.
Nous croulons sous une abondance alimentaire. L'hygiène n'a jamais été aussi prépondérante., l'instruction et la communication aussi accessibles. Nous n'avons jamais eu autant de médecins et autant de spécialistes dans chaque domaine de la médecine, autant vaccinés autant de médicaments à notre disposition. Les médecins n'ont jamais eu autant de technologies médicales à leur service : scanner, chirurgie par laser... Et pourtant nous trébuchons lamentablement sur les éléments de base comme les métaux lourds qui causent de graves pathologies. Aujourd'hui nous savons que le mercure est le plus redoutable des métaux lourds et pourtant il est introduit librement et légalement dans toutes sortes de vaccins et médicaments, amalgames dentaires, industrie. Quel paradoxe ! Pourtant l'étiquette sue chaque bouteille de mercure comporte une tête de mort. On croit rêver !
Les métaux lourds
De nos jours le langage courant a vulgarisé le terme "métaux lourds", englobant à tort un grand nombre de métaux : mercure, plomb, nickel, cadmium, aluminium, bismuth, titane, cuivre, thallium, étain, etc. Le terme "métaux lourds" a été introduit historiquement au début du xxème siècle et ne comportait à l'époque que le mercure, le plomb et le cadmium. Depuis, leur toxicité a été abondamment démontrée ainsi que celle de nombreux autres métaux appelés "métaux traces" comme par exemple l'étain, le titane et l'aluminium ou le nickel qui peuvent également avoir des effets dévastateurs sur l'organisme quand ils y sont accumulés. Les métaux lourds, de part leurs charges positives, réagissent fortement avec les charges négatives des fonctions latérales de certains acides aminés des protéines, particulièrement la cystéine. Si certains autres métaux sont indispensables au fonctionnement enzymatique du corps, leur surcharge déclenche des réactions toxiques. Ces réactions les apparentent au mode d'action des métaux lourds, d'où leur classification "infidèle".
Les mélanges de métaux accentuent encore leur toxicité dans l'organisme. Les pathologies engendrées par les métaux lourds sont très souvent de nature dégénérative (diminution des facultés cognitives, Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaques, épilepsie, etc.).
Les métaux lourds perturbent l'activité enzymatique : ils sont en effet chimiquement très réactifs. Par exemple, le mercure, le plus réactif d'entre eux, prend la place des oligo-éléments essentiels aux enzymes, au niveau des cellules. Cette substitution a pour effet d'inhiber ou d'inactiver de nombreuses enzymes.
Le zinc, le calcium, le sélénium, le magnésium, le fer, comme les autres oligo-éléments, ne sont pas toxiques, sauf à des concentrationsélevées (surtout le fer) quand ils ne sont plus utilisés correctement par les cellules. Ils jouent un rôle de catalyseurs dans beaucoup de fonctions enzymatiques. Le catalyseur est le démarreur du moteur enzyme : sans le catalyseur, pas de démarrage et donc pas d'activité enzymatique. Cela devient grave quand par exemple l'enzyme en question joue un rôle essentiel dans la dégradation du gluten, de la caséine ou d'autres aliments. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'un aliment non toxique qui n'est plus métabolisé correctement devient toxique pour l'organisme.
Le MERCURE (Hg)
Le mercure s'appelait autrefois hydrargyre ("argent liquide") d'où son symbole Hg. Des gisements de mercure paraissent avoir été connus dès l'Antiquité par les Phéniciens. Ils ont été exploités ensuite par les Grecs, puis par les Romains et, au Moyen Âge, par les Arabes. Les sels de mercure répondaient à bien des indications et un certain nombre étaient utilisés en thérapeutique. Il se présentaient sous toute les formes : pilules, sirop, solutions et pommades. Au XVIIIe siècle, le cyanure de mercure était utilisé comme antisyphilitique. Au début de notre siècle, des médecins ont crié au danger et tiré la sonnette d'alarme lorsque les dentistes ont commencé à le mettre dans la composition des amalgames en bouche. Personne n'a vraiment voulu les écouter : soigner avec une bonne rentabilité était la priorité.
Les dégâts causés dans l'organisme par le mercure ont été découverts depuis de nombreuses années. Prenons, par exemple, le désastre écologique et humain de la baie de Minamata, qui a commencé en 1932 par des versements intempestifs de méthyl-mercure dans les eaux de la baie. Les premières atteintes des personnes sont sont apparues 20 ans après : les symptômes étaient de grandes fatigues, des maladies de Parkinson, d'Alzheimer. Le plus dramatique fut lorsque des mères commencèrent à mettre au monde des enfants autistes, lourdement handicapés physiquement et mentalement. Il a été démontré que le mercure causé des mutations chromosomiques à la conception, celles-ci donnant des enfants atteints de troubles physiques et mentaux. Aujourd'hui, l'emploi du mercure se trouve dans les diverses branches de l'industrie et en médecine :
Sources possibles de mercure Effets sur la santé
Combustion du charbon Troubles de fonctions cérébrales
Thermomètres Asthénie
Amalgames dentaires Troubles visuels
Accumulateurs Paralysie
Onguents et cosmétiques Convulsions
Fongicides et pesticides Albuminurie
Papier et adhésifs Lésions rénales
Pellicules de films
Antiseptiques
Cire à parquet
Peinture à l'eau
Engrais chimiques
Lampe au néon
Le mercure est souvent présent dans de nombreux médicaments (par exemple : Mercryl, Merfène, Dacryosérum). Ils sont retirés silencieusement un peu plus du marché chaque année ! Le mercure est utilisé comme conservateur dans les vaccins. De nombreux articles dans la presse, de témoignages de parents, font le lien entre l'administration de ces vaccins et, après une courte période, l'apparition des manifestations autistes post-vaccinales chez les enfants. Lors de son arrivée dans notre monde, le nouveau-né est accueilli avec une liste de différents vaccins qui va en s'allongeant d'années en années. Certains contiennent d'assez grandes quantités de Thimérosal ou éthyl-mercurithiosalicylate de sodium.
Le thimérosal est un agent de conservation à base de mercure utilisé dans le procédé de fabrication des vaccins et contenu dans certains flacons de vaccin à doses multiples afin de prévenir la croissance bactérienne et fongique et de stabiliser le vaccin de façon à en préserver l'efficacité dans le temps.
Les vaccins contenant du Thimérosal sont actuellement données avec désinvolture. Sur le marché, apparaissent des vaccins sans mercure. Il est donc très important de vous renseigner sur la composition des vaccins.