La preuve est faite
La preuve du lien de causalité entre le vaccin contre l'hépatite B et ses effets secondaires néfastes est établie par une équipe de chercheurs français. C'est un dérivé de l'aluminium, l'hydroxyde d'aluminium, ajouté au vaccin pour stimuler les défenses immunitaires, qui provoque la grande fatigabilité des personnes vaccinées, leurs douleurs musculaires et articulaires chroniques, les maladies de leur système immunitaire (sclérose en plaques, lupus, etc.). Ce n'est peut-être pas la seule cause des problèmes post-vaccinaux, mais c'en est une. Établie, vérifiée, scientifiquement prouvée. Les juges qui auront à apprécier les situations dramatiques de santé suite à la vaccination ne pourront plus ignorer cette nouvelle pièce au triste dossier du vaccin.
Ces informations, dont nous publions le détail, sont d'une importance capitale pour toutes les victimes qui cherchent à se faire indemniser. Si jusqu'à présent les défenseurs des labos, le monde médical et jusqu'au secrétariat d'État à la Santé pouvaient oser affirmer, au mépris de la souffrance des victimes, que la preuve du lien de causalité n'était pas faite, désormais c'est faux.
Bien sûr, les chercheurs qui ont vérifié ce lien sont d'une prudence extrême. Ils le savent, leur découverte est une bombe. Ils affirment qu'il faut encore des confirmations et des études complémentaires. Il demeure qu'ils ont prouvé que l'hydroxyde d'aluminium est à l'origine d'une nouvelle maladie qu'ils ont appelée la myofasciite à macrophages. Or l'hydroxyde d'aluminium est présent dans le vaccin hépatite B, mais aussi dans d'autres vaccins : hépatite A, fièvre jaune, diphtérie, tétanos, polio, etc. Dans tous les cas observés par les chercheurs, les personnes avaient été vaccinées.
Cette information sur les effets de l'aluminium n'est pas absolument nouvelle. Notre collaborateur Régis Pluchet, dans notre hors-série le Guide des vaccinations, titrait déjà : " Alerte à l'aluminium et au mercure dans les vaccins " et, il montre que le débat hydroxyde d'aluminium - choix d'un autre adjuvant à base de phosphate de calcium existe depuis longtemps. Les laboratoires ont finalement tranché… pour la plus mauvaise solution.
La communauté scientifique va-t-elle pouvoir minimiser longtemps cette découverte ? Le secrétariat d'État à la Santé va-t-il prendre les décisions qui s'imposent ? Nos confrères journalistes vont-ils avoir l'audace d'en informer le public ?
Répétons-le, c'est là une information sans précédent. Même si, comme nous le révélons, elle n'est pas inconnue des pouvoirs publics et si le comité consultatif pour la sécurité des vaccins de l'OMS a validé les travaux des Français, ainsi que l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé.
Mais les journalistes médicaux informent-ils ? C'est la question que pose avec courage l'un de nos confrères, Eric Giacometti, du Parisien, dans un livre qu'il faut absolument lire : La Santé publique en otage, les scandales du vaccin contre l'hépatite B. Point par point il démonte l'engrenage économico-politico-journalistico… fétide de l'affaire du vaccin hépatite B, la stratégie uniquement mercantile des labos, la complicité - désormais bien connue - du politique, le mutisme des journalistes qui en reçoivent les dividendes, le consensus mou à la française face à la liberté de pensée américaine.
Comment interpréter la volonté délibérée des Français de ne pas informer sur les effets secondaires ? Sans doute par la peur d'affronter le courant pro-vaccinaliste majoritaire, parce que le courage est la chose du monde la moins partagée dans les " élites " ! Mais certainement aussi parce que les " responsables " se disent à mi-voix qu'on ne fait pas d'omelette sans casser des œufs, que la vaccination étant " bonne " globalement, il ne faut surtout pas affoler la population en lui révélant ses bavures.
La maman d'une jeune femme atteinte de myofasciite après vaccin hépatite B nous a contactés récemment. " Les médecins ne veulent pas savoir. Les spécialistes ont peur que nous parlions. Ma fille Rébecca a aujourd'hui 21 ans. Elle a été vaccinée en 1994 contre l'hépatite B, après ses premiers troubles en cours de l'année 2000, les neurologues ont affirmé que c'était "dans la tête", mais une biopsie en août dernier a révélé qu'elle était atteinte d'une myofasciite due à l'aluminium. Ma fille est invalide. Je suis très inquiète, il n'y a pas de traitement à cette maladie. " Les victimes ont peur, elles craignent que ça ne dégénère en maladie du système immunitaire…
Maintenant que tout est sur la place publique, personne ne pourra dire " On ne savait pas ". Que l'État, les médecins, les labos et les juges disent la vérité. Ne pas le faire serait criminel.
Abonnement Gratuit à la News Letter
SANTE ALTERNATIVE 2001