ALUMINIUM VACCINAL ET MALADIES CEREBRALES (myofasciite, ..)
A/ Surdosage Massif
25 vaccins couramment utilisés en France, vaccins obligatoires comme ceux contre la diphtérie, tétanos, polio, ou facultatifs comme ceux contre les hépatites A et B, font appel à l’aluminium sous forme de phosphate, sulfate ou encore d’hydroxyde à des doses de 50 à 80 fois supérieures aux doses admises par les instances européennes (15µg/l)
(cf. Dr Léry, chef du service des vaccinations à l’Institut Pasteur de Lyon).
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B/ Myofasciite, SFC, SEP, etc..
Une nouvelle maladie, la myofasciite à macrophages (MFM) liée à l’aluminium vaccinal, a été isolée en 1998. Malgré une sous-notification certainement très importante, plus de 150 cas ont été identifiés officiellement en France - dont 30% chez du personnel paramédical - chez des adultes d’âge moyen. Se manifestant essentiellement pas des douleurs articulaires et neuro-musculaires ainsi que de la fatigue chronique – comme les syndromes du Golfe (plus de 1000 cas) et des Balkans - et de la SFC (100 à 200 cas pour 100 000) ou les fibromyalgies (plus de 500 000 personnes en France), voire les diverses myosites, la MFM est caractérisée histologiquement par la découverte d’aluminium au point d’injection en moyenne trois ans après l’administration du vaccin (et parfois plus de huit ans). Dans un tiers des cas, la maladie s’accompagne d’une maladie auto-immune, le plus souvent une sclérose en plaques (1/3 des patients).
Le Comité Consultatif pour la Sécurité des vaccins de l’OMS « a conclu à un lien de causalité très probable entre l’administration d’un vaccin contenant de l’hydroxyde d’aluminium et la présence de la lésion histologique caractérisant la MFM » Ce lien irréfutable a été reconnu par les agences de sécurité sanitaire française et américaine ainsi que par la branche vaccin de l’OMS.
Dans une interview accordée au magazine Alternative Santé-L’impatient en Avril 2001, le Pr. Gherardi a dit à ce sujet :
« Cela nous a pris un an et demi. Résultat : tous les malades de notre série ont un antécédent vaccinal certain. Sur 50 malades à l'époque (150 aujourd'hui), 85 % ont reçu au moins le vaccin hépatite B avec d'autres vaccins le plus souvent, les autres ayant été vaccinés principalement avec le vaccin contre le tétanos. Cette étude rétrospective nous a révélé une nouvelle surprise : le délai moyen entre la vaccination et la biopsie était de trois ans, et dans certains cas atteignait huit ans. » (1)
(1) Gherardi et all. « Macrophagic myofasciitis : a reaction to intramuscular injections of aluminium containing vaccines »
Journal of Neurology 1999 n° 246).
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voir vaccinations : degats et non-dits
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C/ Cancers au Point d'Injection Vaccinal
On observe avec une fréquence croissante des cancers chez les animaux domestiques, de préférence au point d’injection des vaccins qui font également appel à l’hydroxyde d’aluminium. Pas moins d’une quarantaine de publications scientifiques abordent ce sujet (1)
Les tumeurs sont généralement décrites dans les revues médicales comme sarcomes félins post-vaccinaux, sarcomes dus aux vaccins, ou sarcomes à l'emplacement de la vaccination. Ultérieurement, l'augmentation de la fréquence des néoplasies a été démontrée aux points d’injection vaccinale ainsi qu’une relation épidémiologique entre les dates de vaccination, les points d’injection et l’occurrence des tumeurs. La présence de granulations comportant de l’aluminium, faisant craindre l’apparition de complications comparables chez l’homme.
Il est maintenant formellement établi scientifiquement que l’aluminium présent dans les vaccins peut déclencher - en moyenne 3 ans après l’injection, avec un délai maximum de 8 ans – une myofasciite à macrophages qui est associée dans 30 % des cas à une maladie auto-immune, le plus souvent une sclérose en plaques.
Le dommage causé par l’aluminium présent dans la majorité des vaccins « établit une absence de sécurité de ces vaccins à laquelle les utilisateurs pouvaient légitimement s'attendre et démontre la défectuosité de ces produits. »
comme l’a reconnu la Cour d’appel de Versailles pour le vaccin hépatite B par rapport à la sclérose en plaques.
(1) Smith C A. in J Am Vet Med Assoc, 15 août 1995; 15; 207(4) : 421 – 425).
+ la synthese de. Shane Ryan in Singapore Veterinary Journal, 1998, 22 : 65-73).
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D/ Vaccins moins dangereux : pourquoi faire?
Il y a près de vingt ans, alors que l’on connaissait déjà la toxicité de l’aluminium, les chercheurs de Pasteur avaient mis au point un adjuvant à base de phosphate de calcium. Mais lorsque Mérieux racheta Pasteur-Vaccins," les vaccins à base de phosphate de calcium furent mis aux oubliettes". Il est permis de se demander pourquoi, car, la toxicité du Thimérosal paraît évidente et celle de l’hydroxyde d’aluminium certaine, faisant craindre l’émergence de maladies comparables à celles qui sont observées chez les animaux domestiques avec un pronostic autrement plus sombre que pour la myofasciite à macrophages..
voir vaccins : secret defense