Objet : TR: je fais suivre
Peut-être êtes-vous déjà au courant, en tout cas ça peut servir me
> semble-t-il.
>
> Et oui ! Depuis le 3 avril, le 12 est mort.
>
> Maintenant vous avez le choix entre une multitude de numéros à 6 chiffres :
>
> 118 000, 118 008, 118 007, 118 712, 118 218, etc.
>
> En principe, France Telecom a perdu son monopole pour permettre d'ouvrir ce
> « marché du renseignement » à la concurrence, et donc faire baisser les
> prix.
> Donc en théorie, le consommateur est gagnant : grâce à cette concurrence, on
> doit payer moins cher qu'avant quand on appelle pour un renseignement . En
> théorie seulement.
>
> Car voilà : savez-vous combien vous payez réellement ? Une enquête a montré
> que les tarifs des compagnies sont complètement opaques et qu'ils varient
> suivant qu'on appelle d'un fixe ou d'un mobile, qu'on demande à être mis en
> relation ou non, etc. (voir l' émission « Capital » sur M6).
> En général, quand on appelle pour avoir un renseignement, on n'a pas le
> temps d'aller vérifier les tarifs, car on a besoin de
> l'obtenir rapidement.
> La solution existe : France Telecom a été obligée de garder un numéro d'
> appel à bas prix : le 118 711.
> Forcément, vous ne verrez jamais de pub pour ce numéro, car France Telecom
> possède aussi le 118 712, qui lui procure des marges beaucoup plus
> importantes. Pas question de se tirer une balle dans le pied !
>
> Donc si vous voulez payer le prix le plus bas pour vos renseignements, n'
> hésitez pas : 118 711. C'est le moins cher !
>
> Vous éviterez ainsi de vous faire pigeonner par des compagnies qui vont se
> faire du beurre sur votre dos, grâce aussi à leurs centres d'appels basés à
> l'étranger (Maghreb souvent), où la main d'ouvre est moins chère, et moins
> regardante sur les conditions de travail.
>
> N'hésitez pas à diffuser ce mail ! Plus nous serons nombreux à utiliser ce
> numéro, plus les sociétés qui nous abreuvent de
> publicités pour débiles (où la petite musique sert à vous matraquer la tête
> pour que vous ayez leur numéro incrusté à vie), se sentiront obligées de
> baisser vraiment leurs prix.