Le ROL'autisme est une maladie auto-immuned'origine vaccinale
Par Pierre PICARD
L'autisme a été multiplié par trente, entre 1978 et 1999, aux Etats-Unis et à Londres. Cela correspond aux campagnes de vaccination (ROR) dans ces deux pays. Le hasard n'existe pas.
L'autisme débute, avant trois ans, par un retard ou une absence totale de développement du langage parlé avec souvent des mouvements répétitifs. L'enfant présente une soif excessive, des troubles intestinaux (hyperplasie iléo-colique lymphoïde nodulaire et colite), une tendance à l'automutilation et, très souvent, un terrain atopique et une fragilité des voies respiratoires, ce qui nous situe dans le terrain tuberculinique.
Les trois vaccins contre la rougeole, les oreillons et la rubéole sont dangereux
Selon Mary Megson, qui travaille sur une anomalie de la protéine G alpha, l'autisme pourrait être lié à la toxine du vaccin coquelucheux qui sépare la protéine G alpha des récepteurs de l'acide rétinoïque dans le cerveau, rendant la vitamine A inefficace sur le plan fonctionnel. La toxine pertussique entraîne une infiltration monocytaire auto-immune de la lamina propria du côlon (avec excès d'expression des antigènes HLA de classe Il).
Chez un certain nombre d'enfants autistes, le tissu lymphoïde de l'iléon montre une protéine du virus de la rougeole et une élévation des anticorps contre la rougeole.
Ce processus de rupture de liaison entre la vitamine et son récepteur implique une absence de régulation du métabolisme des lipides, du glucose, des protéines de régulation hormonale, de la suppression d'oncogène et de l'auto-immunité.
Hilleman, en 1992, rapporte un nombre élevé de pathologies intestinales et de décès, liés à des diarrhées, pendant deux ans après la vaccination contre la rougeole (avec vaccins à titre élevé ou avec vaccins associés contre la rougeole, les oreillons et la rubéole), chez les très jeunes enfants des pays en voie de développement.
Montgomery et Wakefield ont constaté que plus la mortalité infantile était faible, plus la maladie de Crohn avait une incidence élevée, vingt à quarante ans plus tard. C'est le jeune âge auquel l'enfant est exposé aux infections virales de la rougeole et des oreillons qui entraîne un fort risque d'autisme ou de maladie de Crohn plus tard.
La réunion, sur un court délai, de ces deux affections est rare. Ce qui est plus courant c'est l'association vaccinale des deux virus accompagnée de celui de la rubéole.
La présence concomitante des virus de la rougeole et des oreillons, avant 7 ans, soit par infection soit par association vaccinale, accroît le risque de rectocolite hémorragique, puis, à un âge plus avancé, de maladie de Crohn. Plus les conditions socio-économiques s'améliorent et plus l'infection virale est faible (ce qui est le cas avec le vaccin), plus on risque de faire une maladie de Crohn plutôt qu'une rectocolite hémorragique.
L'entérocolite de l'enfant autiste entraîne une anomalie de la muqueuse intestinale qui rend l'enfant concerné hypersensible à des produits de dégradation des produits laitiers animaux et des céréales (dérivés alimentaires de type morphinique).
La vaccination contre la rougeole est proposée pour soi-disant éviter le risque d'une affection gravissime appelée panencéphalite sclérosante subaiguë. Or, dans sa conférence, Wakefield dit que la disparition quasi complète des cas de panencéphalite sclérosante subaiguë semble plus liée aux améliorations des conditions matérielles qu'au vaccin contre la rougeole, puisqu'il place un point d'interrogation avant la phrase "lorsque la vaccination antirougeole permet de réduire la fréquence de l'exposition" (au virus de la rougeole).