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 article presse 2003 vaccin H B

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dan
Rang: Administrateur* LA SANTE DE NOS ENFANTS EN DANGER
dan


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MessageSujet: article presse 2003 vaccin H B   article presse 2003 vaccin H B EmptyDim 2 Oct - 20:08

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Que choisir - Mensuel n° 401 - février 2003

Vaccin hépatite B : la politique de l'autruche

En novembre dernier, un rapport d'expertise sur le vaccin contre l'hépatite B défraie la chronique. Il s'agit d'un réquisitoire en règle contre l'attitude des pouvoirs publics dans les campagnes de vaccination massive lancées en 1994 et 1995.

Demandé au Dr Marc Girard, pharmacologue, par la juge Marie-Odile Bertella-Geffroy, en charge des plaintes de huit familles de victimes décédées, un prérapport fait la lumière sur la façon dont a été décidée la campagne de vaccination généralisée et surtout dont ses conséquences ont été surveillées. Le travail du Dr Girard ne porte pas que sur le passé, mais projette une lumière très préoccupante sur la situation actuelle. On se souvient que le vaccin fut rapidement soupçonné de provoquer des troubles neurologiques, en particulier des scléroses en plaques. Au fil des années, plusieurs décisions de justice ont admis la responsabilité du vaccin dans différentes affections. Entre 1995 et 2002, soixante-dix-huit offres d'indemnisation ont été faites par l'État à des personnes vaccinées de façon obligatoire.

L'État a, par ailleurs, été condamné à deux reprises pour sa responsabilité dans le déclenchement, par la vaccination, de polyarthrite et de sclérose en plaques. En 1998, Bernard Kouchner, alors ministre de la Santé, donne une conférence de presse d'un genre un peu particulier. Études épidémiologiques et enquêtes de pharmacovigilance à l'appui, il affirme qu'il n'y a pas de lien entre le vaccin et les affections démyélinisantes (1), mais que l'«on ne peut pas exclure que la vaccination puisse révéler ou faciliter le développement de ces affections chez certains vaccinés.» Pour ajouter à la confusion, il annonce que la vaccination des préadolescents est suspendue, tout en recommandant de vacciner les nourrissons. Après un message aussi peu clair, on comprend que le taux très élevé des vaccinations se soit effondré au cours des années suivantes. Nous avions montré, il y a sept ans déjà, que l'argument massue avancé pour justifier la nouvelle politique de vaccination généralisée - à savoir la montée de la maladie en France - était fausse (QC n° 323). Comme l'était celui de la contamination par la salive. Mais, lancée sur des bases aussi inquiétantes que fallacieuses, la campagne réussit au-delà des espoirs de ses instigateurs (voir «témoignage»). Reste la question cruciale qui est posée à l'expert par la juge : le risque de la vaccination a-t-il été correctement évalué? Oui, répondent les pouvoirs publics, affirmant que l'enquête de pharmacovigilance menée depuis 1994 par le Centre régional de pharmacovigilance (CRPV) de Strasbourg montre l'absence de risque. Non, insiste Marc Girard, qui a examiné les pièces de ladite enquête. C'est ainsi que le «suivi intensif» de la campagne scolaire de vaccination mis en avant par l'administration semble un bien grand mot si l'on se réfère à une présentation du CRPV de Strasbourg. Ce dernier reconnaît n'avoir pu obtenir de données à trois ans que chez 100 des 10000 lycéens initialement inclus dans le programme de surveillance. 99% de perdus de vue, on ne peut pas vraiment parler de «suivi intensif».

Témoignage : Onze ans, paralysée à vie

«Pour moi, raconte Jean-Marie Petit, président du Revahb (Réseau vaccin hépatite B), si en 1994-1995 on faisait cette campagne massive pour la vaccination contre l'hépatite B, c'est qu'il y avait un danger pressant et permanent. Toute la famille s'est fait vacciner. On parlait de la contamination par la salive. Ma fille Sabine était alors en sixième, l'âge des flirts, j'ai pensé qu'il fallait la protéger. En octobre 1995, alors âgée de onze ans, Sabine reçoit son rappel de vaccination contre l'hépatite B. Trois mois après, en rentrant des courses de Noël avec sa mère, elle s'est écroulée devant la maison. Pour ne plus se relever.»
Pendant deux ans et demi, ses parents vont consulter de nombreux spécialistes. Le diagnostic de lupus neurologique est confirmé en 1998 par le Pr Lyon-Caen, neurologue réputé à la Salpêtrière (Paris), le premier à avoir écrit sur le lien entre cette affection auto-immune rarissime et le vaccin. Entre-temps, les parents de Sabine ont adhéré au Revahb et se battent pour que le cas de leur fille soit déclaré. M. Petit est très sévère à l'encontre de l'Afssaps. «J'ai assisté à la troisième réunion commune du Revahb et de l'Afssaps, dit-il, et j'ai eu nettement l'impression que l'on se foutait de nous. Nous avons dû faire plusieurs lettres recommandées pour obtenir une liste des cas transmis par le Revahb, totalement inexploitable. Finalement, nous avons demandé à chaque personne, qui nous interrogeait pour savoir si leur fiche avait été prise en compte, d'écrire à l'Afssaps. Tout cela pour obtenir un document tout juste utilisable...» Aujourd'hui, Sabine, paraplégique, n'a rien récupéré de sa mobilité et de sa sensibilité. Il y a un an et demi, ses parents ont assigné le fabricant au tribunal civil et attendent toujours le jugement. Jean-Marie Petit se dit révolté de voir que l'Académie de médecine tente de relancer la vaccination des adolescents.

Une pharmacovigilance indigente

De la même façon, dès 1998, le ministère de la Santé a fait grand cas de la collaboration de l'Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) avec une association de victimes du vaccin, le Revahb (Réseau vaccin hépatite B), qui lui transmet les cas de séquelles vaccinales présumées. Selon l'expert, le Revahb a servi d'alibi au ministère. Ce que confirme le Dr Le Houézec, pédiatre et membre du comité médical du Revahb (voir «Effets secondaires»). À la fin 2001, sur les 1 329 fiches analysées par l'Afssaps, 36% n'ont pas été retenues. Les cas signalés sont envoyés au CRPV, qui écrit au médecin traitant. Si ce dernier ne répond pas, le cas tombe aux oubliettes. S'il répond en niant tout lien entre la pathologie observée et la vaccination, le dossier n'est pas retenu. Le médecin se substitue, en quelque sorte, à la pharmacovigilance. Dans son expertise, le Dr Marc Girard dit avoir relevé «un nombre considérable de notifications d'événements parfois gravissimes purement et simplement exclues de l'enquête sans motif clairement explicité.» Quant à la façon dont les données recueillies ont été saisies, l'expert parle à ce sujet d'«âge de pierre informatique». Jolie formule qui recouvre une incompétence ahurissante. «Manque total de maîtrise des fonctions les plus élémentaires d'un tableur, analyses faites à la main, ratures manuscrites...» Résultats : des cas oubliés ou encore celui d'une petite fille vaccinée cinq mois après son décès.

Effets secondaires : L'Afssaps sape les stats

Membre du comité médical du Revahb (Réseau vaccin hépatite B), le Dr Dominique Le Houézec, pédiatre à Caen, a constaté à maintes reprises le manque de sérieux de l'enquête de pharmacovigilance officielle. Il cite, entre autres, le cas de Raphaël, un nourrisson de quatre mois, vacciné une première fois par le Pentacoq (diphtérie, tétanos, polio, coqueluche et hæmophilus influenzæ) et, à un mois d'intervalle, par un rappel assorti du vaccin contre l'hépatite B. Le bébé devient alors grognon, pleure et perd l'appétit sans raison apparente. Un mois plus tard, on lui fait une troisième injection du Pentacoq et une deuxième du vaccin hépatite B. C'est alors la catastrophe, l'enfant est victime d'une sorte d'épilepsie propre au nourrisson, encore appelée spasmes en flexion dont il gardera des séquelles lourdes. Âgé aujourd'hui de sept ans, il souffre d'épilepsie, présente des troubles d'équilibre ainsi que du langage. «À l'examen par résonance magnétique nucléaire, on voit très nettement la destruction de la myéline, dit le Dr Le Houézec. Le cas est transmis deux fois à l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) par le Revahb et par l'hôpital. L'expert, nommé par l'Afssaps, un neuro-pédiatre très connu, conclut en 2000 à une leuco-encéphalite, une encéphalite qui atteint spécifiquement la substance blanche. Il évoque le vaccin en déclarant avoir déjà observé cette réaction après une vaccination.» En novembre 2002, après moult courriers recommandés, le Dr Le Houézec obtiendra la fiche de l'Afssaps sur le cas de Raphaël. «La mise à jour du dossier datait de 1998, s'indigne-t-il. Le rapport de l'expert, que l'agence a nommé, est passé sous silence puisque postérieur à cette date. Dans ces conditions, rien d'étonnant à ce que les conclusions de la pharmacovigilance soient : "imputabilité douteuse". Facile ensuite pour l'Afssaps de dire qu'on n'a jamais observé d'effets secondaires chez l'enfant de moins de deux ans.»

La réalité sous-estimée

Pour toutes ces raisons, on comprend que le nombre de cas observés est certainement très en dessous de la réalité. Les pouvoirs publics se basent néanmoins sur la comparaison entre les cas observés et les cas attendus de sclérose en plaques pour affirmer que la différence, non significative, ne permet pas de conclure à une augmentation du risque. Étant donné la sous-notification, non chiffrée, cette comparaison est «une mystification», s'insurge l'expert. Le deuxième volet de l'argumentation officielle concerne les études épidémiologiques dites cas témoins, dans lesquelles on a comparé la fréquence des vaccinations chez des personnes atteintes de sclérose en plaques et chez des personnes en bonne santé. «Ces études ont englobé un nombre trop faible de sujets», déclare l'expert. Elles manquent de puissance statistique.» En ce qui concerne celle d'Ascherio, largement médiatisée (2), qui compare deux populations d'infirmières, l'expert remarque qu'il est pour le moins étrange d'avoir choisi comme population témoin, théoriquement en bonne santé, des infirmières. Chez ces dernières, en effet, la vaccination contre l'hépatite B a toujours été fortement recommandée. Si les infirmières n'ont pas été vaccinées, il est très vraisemblable qu'elles présentaient alors des contre-indications, en particulier sur le plan neurologique. On ne peut donc pas les assimiler à la population en bonne santé. Dans son expertise, Marc Girard se réfère à des études effectuées à partir de la pharmacovigigance officielle américaine par deux chercheurs (3). Malgré la sous-notification, indiscutable aux États-Unis comme en France, les auteurs ont trouvé un taux plus élevé de nombreux effets secondaires après vaccination contre l'hépatite B qu'après d'autres vaccinations.

Des enjeux de profits évidents

Le constat de carence, tant de la pharmacovigilance que des études épidémiologiques officielles, fait par le Dr Marc Girard trouve un écho singulier dans l'interview récente donnée au Figaro (18/12/02) par le Pr Lucien Abenhaim, directeur général de la santé. À propos de l'incidence de l'hépatite B au début des années quatre-vingt-dix, il déclare: «Les chiffres de l'époque ne sont pas validés statistiquement. On a parlé de 10000 morts par an, ce qui était sans doute très exagéré...» Il reconnaît plus loin qu'il existe des sous-notifications et que l'absence d'aspect statistique significatif des études épidémiologiques «peut s'interpréter soit par le hasard, soit par le manque de puissance des études.» L'expert ne dit rien d'autre. Pourquoi, dès lors, relancer la vaccination ? En avril dernier, la Direction générale de la santé recommandait de vacciner systématiquement tous les enfants et, fin décembre, l'Académie de médecine soutenait haut et fort la vaccination dont «l'arrêt ferait courir des risques graves à la population». L'analyse du Dr Marc Girard reste malheureusement toujours d'actualité: «Sur un terrain de laxisme chronique par rapport aux évaluations rigoureuses, l'administration sanitaire française s'est retrouvée sans défense par rapport à un projet pionnier sous-tendu par des enjeux de profit évidents, mais recouverts de tous les signes extérieurs de la scientificité.»

Transmission : Essentiellement par voie sexuelle

Si la décision de vaccination généralisée prise en 1994 par les autorités sanitaires n'était pas fondée, la relance actuelle ne l'est pas davantage (1). «Il n'y a actuellement plus d'hépatite B détectée en population générale par le réseau Sentinelles, déclare Antoine Flahault, qui dirige cette structure médicale destinée à surveiller les maladies infectieuses, le nombre de cas est devenu trop bas.» La contamination se fait essentiellement par voie sexuelle car la voie sanguine est prévenue par le dépistage systématique des dons de sang. Lorsqu'il s'agit d'un nourrisson ou d'un enfant, la vaccination contre l'hépatite B n'apporte aucun bénéfice. Cette dernière devrait donc être parfaitement sans danger, ce qui n'est pas le cas. En outre, la durée de l'immunité conférée par le vaccin n'est pas connue avec certitude. La vaccination précoce peut aussi donner un faux sentiment de sécurité à un jeune adulte qui, il ne faut pas l'oublier, peut utiliser le préservatif pour se protéger non seulement de l'hépatite B mais aussi du sida.
(1) Attention, les fabricants - Aventis Pasteur et GlaxoSmithKline - ont récemment commercialisé des vaccins tout en un, mélangeant vaccins obligatoires ou non, dont celui de l'hépatite B. Si vous ne souhaitez pas que votre enfant reçoive ce dernier, signalez-le nettement à votre médecin.

Expertise : Un acharnement judiciaire

Tout avait bien commencé pour le Dr Marc Girard, désigné comme expert à la fin 1999 dans plusieurs affaires civiles concernant les complications de la vaccination contre l'hépatite B et deux fabricants. Ayant averti toutes les parties de ses liens professionnels passés avec l'un des deux laboratoires, il s'était vu féliciter pour sa transparence et avait même reçu un courrier du laboratoire SKB précisant son absence d'objection. Les choses se gâtent lorsque l'expert demande les rapports périodiques de tolérance (les laboratoires sont tenus d'y consigner les effets secondaires des vaccins et des médicaments). Jusqu'alors, aucun des 84 autres experts désignés auparavant n'avait jugé utile de le faire. Quelques jours après, les fabricants demandent sa récusation. À neuf reprises, les juges du contrôle (chargés des affaires d'expertise) déboutent les fabricants de leur demande. Mais, en appel, les cours de Versailles et d'Orléans infirment les décisions précédentes tandis que celle de Paris la confirme. Et en dernier ressort, la Cour de cassation annule la décision de la cour d'appel de Paris. Condamné aux dépens, n'ayant pas été payé pour ses expertises, ayant vu son contrat résilié par son assureur, Marc Girard estime son préjudice financier à plus de 150 000 euros. Pour l'avocate Gisèle Mor, qui a en charge de nombreux dossiers de complications du vaccin contre l'hépatite B, cette situation est inadmissible. «Si un juge fait l'objet d'une récusation, on l'entend, dit-elle, on ne lui demande pas de payer, de prendre un avocat pour se défendre, à la différence de ce qui se passe pour le Dr Girard. La justice ne prend pas ses responsabilités envers l'expert. C'est elle qui le désigne, c'est à elle de supporter les conséquences de cette décision..»
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MessageSujet: enrgistre   article presse 2003 vaccin H B EmptyDim 2 Oct - 21:11

je suis enregistre a la pharmacovigilence ,il est note , 1 ere poussée de de sclérose en plaques apres vaccin hepatite b ( engerix b) , et maintenant on me dit le contraire je n ai jamais eu de poussée de Sep, mais une fibromyalgie, ce qui m étonne c est que je me suis battue pour etre enregistrée ,apres plusieurs courriers la declaration a quand meme ete enregistrée , j ai la copie de mon enregistrement , a la pharmacovigilence , malika
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