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MessageSujet: titre du sujet vaccin précaution immun à lire   titre du sujet vaccin précaution immun à lire EmptyVen 26 Aoû - 21:48

San Diego, 16-17 septembre 2000




Par Marie-Christine Destison
avec la précieuse aide technique de Jean Claude Marion


Traitements divers
Les acides gras
Différents Omegas 3
Le système immunitaire Like a Star @ heaven
Les lymphocytes B (ou cellules B) Like a Star @ heaven
Les lymphocytes T Like a Star @ heaven
Vaccination et thimerosal Like a Star @ heaven
Conseils pratiques pour une vaccination sécuritaire
Like a Star @ heaven pale À titre préventif
La vitamine A naturelle Like a Star @ heaven
L'enzyme DPPIV
Les facteurs environnementaux
Le mercure Like a Star @ heaven
Le virus de la rougeole Like a Star @ heaven


Et de six... La grande famille du DAN (Defeat Autism Now !) était donc de nouveau réunie pour son rendez-vous annuel (le troisième pour moi) avec le privilège de pouvoir concrétiser des relations internautes, aussi bien avec les parents que les professionnels.

Samedi 16 septembre

Les deux initiateurs du mouvement, le Dr Bernard Rimland et le Dr Sidney Baker, ont ouvert le congrès en insistant sur la nécessité absolue pour la médecine traditionnelle d'aller au-delà de ses limites actuelles dans le domaine de l'autisme puisqu'il n'existe pas de procédure médicale standard. Les conférenciers ont voulu dispenser une base de connaissances afin de prévenir et même soigner ce qui nous rassemble tous ici. Quant aux parents, ils devraient être en mesure de mieux faire face à l'état de leur enfant car mieux armés pour en parler avec leur professionnel de la santé... Idéalement, c'est bien ce à quoi nous aspirons tous !

Traitements divers

Le Dr Baker (bien affaibli par une grippe) nous a rappelé qu'il n'était pas question de donner une recette ou une liste de traitements miracles car nos enfants présentent une telle variété de désordres immunologiques, digestifs et cérébraux que chacun nécessite un traitement personnalisé : il faut faire appel au "gros bons sens", comme on dit au Québec, et à de nombreux tests de laboratoire. Après avoir cité de nouveau la désormais célèbre phrase de Vaclav Havel (Suivez ceux qui cherchent la vérité et fuyez ceux qui prétendent l'avoir trouvée), il a ajouté que le vieil adage médical selon lequel lorsque beaucoup de choses semblent marcher, rien ne marche ne pouvait pas s'appliquer à l'autisme. Il a passé en revue :




les traitements antifongiques (médicaments et produits naturels) : rien de nouveau sous le soleil depuis ces dernières années ;


les traitements antibactériens pour les rares enfants qui répondent positivement à ceux-ci (Vancomycine, Gentamycine ou Cipro) ;


les traitements antiparasites, en insistant sur le Blastocystis hominis, apparemment négligé par la médecine conventionnelle et traité avec le Bactrim, l'Humatin, le Yodoxin ou plus naturellement avec l'Artemisia annua, d'autres herbes ou un extrait d'agrumes ;


les antiviraux comme l'Acyclovir, le Valacyclovir, Famciclovir et le Gancyclovir, qui sont efficaces contre l'Herpes simplex/zoster ;


les traitements digestifs : tous les enzymes d'origines diverses, organique et végétal qui brisent les grosses molécules, en plus de la nouvelle génération de peptidase comme le Serenaid (Klaire Laboratory) ou l'Enzymaid (Kirkman) ;


pour les quelques enfants qui ont une brève réponse positive aux stéroïdes, les médicaments comme le Depakote, apparemment plus efficace que Clonidine, Risperidone et Prozac. Ces médicaments posent d'autres problèmes à long terme ;


les traitements éducatifs, qui ne font pas partie de son expertise personnelle mais qui lui font dire que l'accent mis sur les forces d'un enfant est la base de la confiance en soi : les meilleurs résultats découlent des plus hautes attentes et cela devrait être appliqué à chaque enfant, handicapé ou non ;


les traitements de la flore intestinale : le régime est une première approche (élimination du blé, de l'avoine et de la caséine, qui favorisent le Clostridia). Est-il nécessaire de rappeler que les levures aiment le sucre? Les fibres et les probiotiques sont plus efficaces que les antibiotiques, qui font plus de mal que de bien ;


les traitements divers comme l'oxygénothérapie, la thérapie cranio-sacrale, l'homéopathie, la sécrétine ;


SUITE....
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MessageSujet: SUITE TRAITEMENT DU SYST IMMUN   titre du sujet vaccin précaution immun à lire EmptyVen 26 Aoû - 21:51

les traitements du système immunitaire

: remarque sur la corrélation entre le système immunitaire et le système nerveux, qui forment une unité dans le processus de perception-mémorisation égale reconnaissance. Ceci se passe au niveau microscopique et chimique dans le système immunitaire. On insiste beaucoup cette année sur la prédominance des Th2 par rapport aux Th1 (deux formes de cellules T auxiliaires), qui pourrait bénéficier d'approches comme les antifongiques, les IVGG, les facteurs de transfert sanguin, le colostrum ou EPD (Enzyme Potentiated Desensitization) ;


les traitements comme la mélatonine, la thérapie cellulaire et le FGF (Fibroblast Growth Factor) ;


les suppléments alimentaires dont nous entendons parler depuis longtemps : B6, Mg, DMG, zinc, sélénium, huile de foie de morue, calcium (essentiel pour les régimes sans caséine), B12, huile d'onagre, DMAE, urocholine, glycine, MSM ; Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven


les traitements sensoriels : thérapie auditive, visuelle, tactile ;


les traitements symptomatiques au charbon actif (pour enrayer les réactions lors de l'élimination des levures), l'AlkaseltzerGold (qui "alcalinise" ou neutralise l'acidité).


Tous ces traitements ne sont pas indépendants les uns des autres, bien au contraire.

Le Dr Rimland a rapidement dénoncé l'accueil plus que mitigé, voire défavorable, de la médecine face aux nouveaux choix proposés en autisme et ce, depuis les années 60. À l'opposé du modèle de Linus Pauling, qui parlait de psychologie orthomoléculaire (utilisation de suppléments afin de fournir les substances nécessaires à l'organisme), la psychiatrie continue de préférer l'utilisation de médicaments, même si ceux-ci contiennent des substances toxiques. Il a rappelé que 100 000 personnes meurent chaque année par suite de l'ingestion de médicaments prescrits sur ordonnance. Sur 3000 familles, 44% ont rapporté que l'état de leur enfant s'était aggravé avec le Ritalin, alors que 29% voyaient un changement positif. Quant à la vitamine B6, 46% en sont satisfaits contre 4% (ce qui est statistiquement négligeable). Le Dr Rimland nous a d'ailleurs fourni un tableau statistique sur l'effet des médicaments et des vitamines établi d'après l'information obtenue des parents.

Les acides gras

Le Dr Andrew Stoll, directeur du laboratoire de psycho-pharmacologie au MacLean Hospital de l'École de médecine de l'Université Harvard, nous a rappelé que la question de l'alimentation a toujours fait l'objet de beaucoup d'hostilité de la part des professionnels de la médecine, mais que cette situation tend à changer. La nutrition n'est pas considérée comme importante et elle n'est pas enseignée dans les facultés de médecine. Cependant, les Omegas 3 commencent à soulever l'intérêt d'un nombre grandissant de médecins.

Les différentes théories en cause dans l'autisme seraient :



Une exposition précoce aux opiacés exogènes provenant des protéines mal digérées du gluten et de la caséine (que ce soit génétiquement déterminé ou acquis à la suite de candidose, par exemple) ou le résultat d'une déficience des enzymes digestifs ou de la muqueuse en termes de perméabilité ou de la barrière sang-cerveau.


Une maladie inflammatoire de l'intestin (peu probable comme étiologie chez la plupart des patients autistes).


La théorie des lésions au corps amygdaloïde (associé à la substance grise du cerveau) : ce dernier est impliqué dans "l'intelligence des émotions et de l'humeur". On sait que des lésions spécifiques au corps amygdaloïde entraînent des changements de la personnalité tels que l'instabilité émotionnelle, l'agitation ou l'accroissement de l'agressivité, de l'appétit ou de la libido. Sa destruction chez les animaux cause d'ailleurs des troubles similaires à ceux de l'autisme. La résonance magnétique nucléaire démontre un fonctionnement inadéquat de l'amygdale (ou corps amygdaloïde) chez beaucoup d'autistes. D'autres radiographies du cerveau montrent chez certains d'entre eux un élargissement des régions temporo-pariétales (importantes dans le processus auditif entre autres) et une réduction de la taille du corps calleux postérieur (dont le rôle dans la communication est connu) ;


Une déficience en acides gras Omegas 3. Elle peut provenir du placenta pendant la période intra-utérine ou de l'allaitement. Lorsqu'un bébé présentant une tendance génétique particulière est nourri avec du lait maternisé, il peut développer des troubles autistiques. L'apport d'Omegas 3 est un des traitements proposés pour les maladies inflammatoires de l'intestin ; il y aurait donc un lien avec les troubles gastriques détectés chez certains autistes. Les Omegas 3 sont indispensables et ne sont pas fournis par l'organisme. La source doit être externe, et donc alimentaire. En Amérique du Nord, nous sommes profondément déficients en Omegas 3 et l'orientation vers les huiles végétales, afin d'éviter les problèmes cardiaques, a amené une compétition entre les Omegas 3 et les Omegas 6 au sein de notre organisme.


Différents Omegas 3 Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven



Acide eicosapentanoïque (EPA), qui est utilisé dans la maladie de Crohn et les désordres bipolaires (maniaco-dépression).


Acide alphalinoleque (ALA), que l'on trouve dans l'huile de lin.


Le Dr Stoll n'est pas très favorable à la prise de cette huile car elle peut causer des manies et des problèmes au goître et au thymus ; de plus, certaines personnes ne peuvent la transformer en de plus longues chaînes d'Omegas 3 telles que DHA, EPA et ALA, qui sont particulièrement nécessaires.

La qualité de ces huiles est importante. Elle doivent avoir une forte concentration d'EPA et devraient être préparées sous azote et non sous oxygène afin d'éliminer l'arrière-goût de poisson. Le danger de la contamination du mercure se pose également. Le poisson d'eau douce est proscrit. Quant au thon en boîte, si sa consommation hebdomadaire représente une dose toxique de mercure pour l'adulte, que dire pour l'enfant ? Le poisson d'élevage ne convient pas non plus puisqu'il ne se nourrit pas d'algues. La solution serait de choisir de petits poissons comme les sardines et les anchois, qui se trouvent à la base de la chaîne alimentaire, et qui sont donc logiquement moins contaminés.
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MessageSujet: SUITE...   titre du sujet vaccin précaution immun à lire EmptyVen 26 Aoû - 21:54

L'absence d'Omegas 3 (anti-inflammatoires) dans notre organisme favorise l'augmentation des Omegas 6 (inflammatoires) qui, à leur tour, affectent la production de dopamine. Les symptômes de cette déficience sont la peau sèche, les pellicules, de petits boutons blancs sur la face externe des bras, des coudes, des cuisses et des fesses, des ongles cassants, une soif excessive, une miction fréquente et l'énurésie, l'hyperactivité, l'asthme, le rhume des foins, l'urticaire, les démangeaisons et les écoulements nasaux. L'alimentation des autistes est souvent très limitée et caractérisée par une forte attirance pour les produits laitiers, le blé, le sucre et la nourriture contenant des Omegas 6.

Environ 40% des enfants présentant des troubles autistiques ont de multiples déficiences nutritionnelles qui rendent difficile le métabolisme des Omegas 3. Par conséquent, avant d'en donner, on doit donner de la vitamine B6, de l'acide folique, des vitamines A, C et E, du zinc, du magnésium, du calcium, du fer et du sélénium. Le Dr Hardy nous a présenté une vidéo montrant l'efficacité des Omegas 3 suivant leur concentration, particulièrement pour le problème d'énurésie (les déficiences nutritionnelles affectent les plus longs nerfs du corps et le nerf qui va du cerveau à la vessie, l'un des plus long).

Le système immunitaire

Le Dr Jane El Dahr, du Medical Center de Tulane, nous a livré un cours d'immunologie dans un temps record. Le sujet étant difficile, elle a comparé le système immunitaire à la logistique de l'armée. Elle nous a donné un grand nombre de moyens mnémotechniques pour nous aider à comprendre cette matière où le Dr Gupta nous a bien des fois perdus.

Nous possédons un système immunitaire inné (sans spécificité, sans mémoire : les globules blancs) et un système immunitaire acquis (hautement spécifique pour chaque élément pathogène et qui enregistre toutes les attaques pour mieux les combattre d'une fois à l'autre : les lymphocytes). Les lymphocytes comprennent les cellules B et T (B pour bone marrow ou moëlle épinière, et T pour thymus).

Les lymphocytes B (ou cellules B)

Les lymphocytes B déterminent l'immunité humorale. Ils sont chargés de produire les différents types d'immunoglobulines ou d'anticorps (petites protéines spécifiques qui s'associent aux intrus pour les détruire). On compte quatre types d'immunoglobulines : les IgA, la première ligne de défense pour reprendre le schéma militaire du Dr El Dahr (présentes dans les muqueuses, la salive), les IgM, qui se déploient rapidement pour contenir l'invasion, les IgG, des forces puissantes qui restent longtemps actives pour contrôler l'attaque (quatre sous-classes d'IgG), et enfin les IgE, qui causent les allergies et l'hypersensibilité.

Les lymphocytes T

Ceux-ci sont responsables de l'immunité cellulaire et comprennent entre autres:



les Th1, qui combattent les cellules étrangères, cancéreuses ou infectées par un virus ou un champignon;


les Th2, qui entrent en contact avec d'autres cellules immunitaires, libèrent des protéines (appelées lymphokines) qui accentuent les réactions immunitaires et inflammatoires et interagissent avec les lymphocytes B qui fabriquent et sécrètent les anticorps (immunoglobulines et allergies).


L'équilibre entre ces deux types de cellules est nécessaire. Chez nos enfants, il y a une prédominance des Th2 qui marquent un terrain allergique au détriment des Th1, ce qui les prédispose aux infections virales, au candida et aux problèmes auto-immunitaires.

Le Dr El Dahr a poursuivi en insistant sur l'autoimmunité et sur les effets du mercure sur le cerveau.

L'autoimmunité, qui concerne les cellules T et B, est souvent reconnue chez les membres de la famille du jeune autiste, particulièrement aux niveaux des anticorps "anti-cerveau" IgG et IgM (contre la sérotonine, etc.) et de la thyroïde.

La tendance chez les autistes est la suivante :



Th2 augmentés ;

IgA bas ;

IgE, IgG contre les aliments ;

perméabilité intestinale ;

un faible taux de Th1 favorisant les virus et les levures ;

diminution de l'activité des cellules NK (natural killer) ;

production de nombreux anticorps "anti-cerveau" ;

altération du processus naturel de renouvellement des cellules (apoptose) ;

inactivation de l'enzyme DPPIV causant l'excès opiacé ;

déficience en zinc ;

prédisposition génétique ;

une bonne réponse aux traitements IVIG.


Le mercure produit également des dérèglements immunitaires, les MÊMES que ceux pré-cités. Les symptômes sont : affraid



une diminution de la reconnaissance des visages ;

une vision trouble ;

un champ de vision rétréci ;

l'insomnie ;

l'irritabilité ;

l'excitation ;

l'anxiété ;

l'inaptitude sociale ;

la difficulté à verbaliser ;

une altération du goût ;

des désordres sensoriels de la bouche ;

un temps de réaction lent ;

une mémoire à court terme déficiente ;

des difficultés de concentration ;

des EEG (électroencéphalogrammes) anormaux (particulièrement les lobes temporaux). :pale Like a Star @ heaven :cette étude est très parlante pale Like a Star @ heaven


Comme le dit si bien le Dr El Dahr, "Est-ce que cela vous rappelle quelque chose ?"

Les traitements antihistaminiques, viraux et les injections d'immunoglobulines sont également passés en revue. Pour les IgA déficients, la constipation ou la diarrhée chroniques, le Dr El Dahr préconise des suppléments tels que les probiotiques. Le colostrum, les facteurs de transfert sanguin et les immunoglobulines humaines administrées par voie orale (à l'étude chez BAYGAM) sont évoqués pour aider à combattre cette déficience immunitaire du système digestif.


Dernière édition par le Ven 26 Aoû - 23:07, édité 1 fois
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MessageSujet: SUITE....Vaccination et thimerosal A LIRE   titre du sujet vaccin précaution immun à lire EmptyVen 26 Aoû - 21:56

Vaccination et thimerosal

Ce fut en suite le tour du Dr Stephanie Cave, déjà présente l'an dernier et qui exerce à Baton Rouge en Louisiane. Son sujet : la vaccination et le thimerosal. Après un historique de la vaccination depuis 1905 avec le vaccin de la variole jusqu'aux nouvelles propositions de vaccins contre les maladies sexuellement transmissibles, disponibles d'ici peu et destinés à tous les jeunes de 12 ans, le Dr Cave a rappelé que l'humain a vécu pendant longtemps avec ces maladies et que s'il a été merveilleux de se débarrasser des épidémies les plus dévastatrices, il n'en demeure pas moins que nous pêchons maintenant par excès en ce qui concerne la politique de vaccination.

spiderman Nous avons besoin de pousser plus loin la recherche avant d'imposer toutes sorte de vaccins à la population. D'autre part, il est devenu évident que nous payons le prix fort pour le succès de certains vaccins. Alors que la proportion d'autistes était de 1 pour 2000 en 1970, de 1 pour 500 en 1996, elle est maintenant de 1 pour 150 en 2000, l'épidémie croît au même rythme qu'une politique de vaccination outrancière et peu sécuritaire. La sempiternelle question concernant l'épidémie d'autisme a tout de même été posée : Serions-nous devenus de meilleurs diagnostiqueurs ? spiderman Like a Star @ heaven tout à Like a Star @ heaven fait

À cela le Dr Cave répond qu'il est difficile de croire qu'un enfant présentant les symptômes classiques d'autisme tels que le manque de contact visuel, l'absence de langage, l'automutilation et l'agressivité puisse échapper au diagnostic!

Il n'y a jamais eu autant d'enfants présentant des troubles d'apprentissage et des maladies auto-immunitaires dans toute l'histoire de la médecine. Le vaccin contre l'hépatite B a été introduit en 1991 et injecté au nouveau-né le jour de sa naissance. Or depuis les dix dernières années, on ne parle plus d'autisme, mais d'épidémie autistique. Les questions posées par le Dr Cave sont les suivantes :



Dans notre désir de vouloir éradiquer toutes les maladies, ne poussons-nous pas au delà du raisonnable les capacités d'un système immunitaire en vaccinant trop et trop tôt de jeunes enfants ?


Sommes nous réellement satisfaits des études de sécurité faites sur les vaccins?


N'essayons-nous pas de donner trop de vaccins dans un laps de temps trop court?


Connaissons-nous réellement les effets secondaires des composants des vaccins comme le thimerosal, l'aluminium et le formaldéhyde? Comme l'a déjà mentionné le Dr El Dahr, les symptômes de l'intoxication au mercure se superposent à ceux de l'autisme.


La contamination au mercure ne provient pas uniquement des vaccins. Le mercure peut aussi être transmis au bébé par la voie intra-utérine, dans le cas des mères qui consomment beaucoup de poissons, qui ont des amalgames dentaires ou qui ont reçu le vaccin Rhogam à 28 mois de gestation pour prévenir les anticorps contre le bébé dus à l'antagonisme de leur groupe sanguin (mère rhésus négatif) ou encore du vaccin contre la grippe. Dans une étude paru dans le Journal of Pediatrics, on a démontré que des enfants avaient de plus hauts taux de mercure après la vaccination, jusqu'à 237 mcg avant l'âge de deux ans. Il existe maintenant des vaccins sans thimerosal et, selon la politique de la CDC (Center for Disease Control), tous les vaccins seront d'ici peu exempts de thimerosal.

Conseils pratiques pour une vaccination sécuritaire



des vaccins sans thimerosal ;


ne pas vacciner les enfants malades ;


espacer les vaccins, ne pas donner 6 à 9 combinaisons le même jour ;


utiliser le DtaP au lieu du DPT(diphtérie, coqueluche, tétanos) ;


diviser le ROR en ses composants en commençant par la rougeole à 12-15 mois, les oreillons à 18-21 mois et la rubéole à 24-27 mois ;


ne pas donner de vaccins aux enfants immuno-déficients ;


ne pas donner de vaccins aux enfants allergiques à l'un des composants suivants : la levure pour l'hépatite B, les oeufs pour le ROR, la néomycine pour le ROR ou la varicelle ;


vérifier les niveaux d'anticorps avant de donner les rappels à 4-5 ans (ceux-ci sont souvent inutiles).


À titre préventif



donner de la vitamine A selon les doses recommandées ;


donner de la vitamine C avant et après les vaccins.


Les traitements au DMSA fonctionnent bien : on élimine ainsi le mercure et on normalise parallèlement la chimie cellulaire. Un régime sans gluten et sans caséine est instauré, la flore intestinale est rééquilibrée et le processus de détoxication du foie est rétabli.

En résumé, le Dr Cave a affirmé : "Nous ne pouvons éliminer toutes les infections. Nous avons besoin de recherches plus poussées sur les vaccins, mais nous devons avoir la liberté de choisir". Son mot de la fin fut "Priez".

L'après-midi, le Dr Bock a parlé des transferts de facteurs sanguins (TF). Il croit qu'une prédisposition génétique est bien à l'origine du problème autistique et que l'atteinte neuro-immunotoxique pré ou périnatale est à considérer chez certains enfants présentant un comportement régressif après la vaccination. Il a rappelé l'importance de la vitamine A et du zinc pour une bonne réponse du système immunitaire, ceux-ci pouvant également améliorer les problèmes gastro-intestinaux, eux-mêmes reliés à des infections virales chroniques atypiques et à des réactions auto-immunitaires.

Souvenons-nous que nos enfants présentent souvent une prédominance de la réponse immunitaire Th2 et que les facteurs de transfert sanguin (TF) favorisent la production de Th1. Cela devrait donc aider théoriquement. Ces TF sont constitués de petites molécules à structure peptidique dérivées soit des leucocytes d'un donneur, soit du colostrum bovin, et peuvent transférer l'immunité du donneur à un receveur. Le TF contient un résumé des expériences immunitaires vécues par le donneur et peut être administré oralement sans être détruit par l'acide gastrique ou les enzymes du transit digestif. Ce n'est pas, encore une fois, une cure miracle, mais plutôt une pièce du puzzle. Son apport donne de bons résultats quant au contact visuel, à la propreté et à la régression de maladies infectieuses.


Dernière édition par le Ven 26 Aoû - 23:09, édité 1 fois
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MessageSujet: SUITE MERCURE PRECAUT.. DE VACCINATIONS   titre du sujet vaccin précaution immun à lire EmptyVen 26 Aoû - 21:58

Par ailleurs, le Dr Bock a dit n'être pas convaincu de l'utilité des tests concernant l'évaluation des cytokines, des titres (concentration du virus) de la rubéole et des niveaux de rétinol. Il préfère que les enfants soient testés avant et après le traitement au TF (200 mg trois fois par jour) avec le GARS (Gilliam Autism Rating Scale).

Un mois avant et après la vaccination, le Dr Bock préconise l'apport de vitamine A, C, E et de zinc, en plus du TF.

Et l'on revient au problème du mercure et de la vaccination avec le Dr Woody Mac Ginnis. Le document "Autism: A Unique Type of Mercury Poisoning" (Bernard, Enayati, Roger, Binstock, Redwood and Mc Ginnis), qui représente 80 pages de faits et de recherches, est à nouveau mis à l'honneur car il a permis, lors d'une récente audience au Congrès américain sur le problème du thimerosal dans les vaccins, de faire réagir positivement les autorités compétentes, qui promettent dans un avenir proche des vaccins exempts de mercure. Des scientifiques de la National Academy of Sciences ont fait une mise en garde publique au sujet du méthyl-mercure, un problème persistant et répandu dans notre environnement qui pourrait causer des lésions neurologiques chez 60 000 nouveau-nés chaque année aux États-Unis (ABC News, July 2000). On a mis en évidence l'année dernière, dans la région de Chicago, des taux de mercure dans les précipitations pluviales 42 fois plus élevés que les normes fédérales pour l'eau potable. Le mercure, le cadmium et le plomb sont de plus en plus présents dans les légumes arrosés avec des eaux usées.

Le Dr Bock nous a rappelé d'autres intoxications au mercure désignées sous diverses appellations dans le passé, notamment la maladie rose (due à une poudre pour calmer la douleur à l'apparition des premières dents et qui contenait un produit, le calomel, à base de mercure) qui, dans les années 1920, a affecté des milliers d'enfants en Australie, et la maladie de Minamata, due à la consommation de poisson contaminé ou de céréales traitées aux fongicides, qui est apparue au Japon entre les années 1950 et 1960.

Les symptômes de ces deux maladies sont similaires à ceux de l'autisme : extrême sensibilité aux sons et à la lumière, insomnie, anorexie, mouvements répétitifs de balancement du corps et de la tête, aversion pour le toucher, problèmes d'élocution, ataxie. Aucune anomalie tangible dans les tests de laboratoire n'avait été mise en évidence à l'époque. Les problèmes de restriction du champ visuel, évoqués par le Dr Megson, sont similaires à ceux de l'empoisonnement au mercure. Il en est de même pour les problèmes gastro-intestinaux comme la diarrhée et la constipation.

Le mercure inhibe la fameuse enzyme DPPIV, censée détruire la caséomorphine pendant la digestion, et qui est considérée par Shattock et Reichelt comme déficiente chez nos enfants (ce qui explique le régime sans caséine pour les autistes). D'autres anomalies mises en évidence dans l'autisme et dans l'intoxication au mercure sont les taux anormaux de sulfates urinaires et de bicarbonates sanguins. Le manque de potassium, associé à une acidité générale, inhibe le transport des sulfates dans la fonction rénale. Mentionnons également la prévalence du candida et d'autres levures, qui auraient une action destructrice sur un mucus intestinal riche en sulfates, la mucine. Un autre phénomène serait le blocage de la transmission du calcium qui affecterait la production d'énergie de la cellule, la neurotransmission et la survie de neurones immatures. Le système cholinergique est également atteint. Enfin, au sujet de l'auto-immunité, la majorité des autistes (80%) présentent des marqueurs positifs, tout comme dans l'exposition au mercure.
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MessageSujet: SUITE PRECAUTION DE VACCINAT MERCURE   titre du sujet vaccin précaution immun à lire EmptyVen 26 Aoû - 22:00

On recommande maintenant le gluthation, un antioxydant qui se lie directement au métal, et la métallothionéine, une protéine qui enveloppe les métaux tout en respectant l'équilibre entre le cuivre et le zinc. La méthionine, un acide aminé que l'on trouve dans la viande et les haricots, se transforme en cystéine qui, à son tour, devient du gluthation, de la métallothionéine et de la taurine, excellents pour la détoxication et l'absorption du calcium. Pour favoriser le processus de désintoxication, la vitamine B6 (sous sa forme P5P), le magnésium, le zinc, la vitamine B12, l'acide folique et la taurine sont efficaces. Une mise en garde cependant à l'égard de la cystéine : en se liant au mercure, elle peut favoriser le déplacement du métal vers le cerveau. Elle peut aussi aggraver les candidoses. Son emploi requiert donc une supervision médicale. La vitamine C, E, le sélénium et le calcium sous forme de citrate sont également de bons agents de détoxication.

La thérapie par chélation peut être dangereuse et faire plus de mal que de bien. On doit être patient, aller lentement et fournir un support nutritionnel adéquat.

Malgré ses efforts évidents pour simplifier son discours hautement scientifique, le Dr Gupta a encore laissé beaucoup de monde derrière lui. Comme l'a fait remarquer la première intervenante pendant la période de discussion, "Nous sommes flattés que vous nous serviez un discours de cette qualité, mais nous aurions seulement aimé pouvoir le comprendre !". Le Dr El Dahr ayant déjà fait une présentation du système immunitaire, il a été dispensé de le faire à son tour. Il a donc commencé son exposé en insistant sur le fait que si de nombreuses anomalies chromosomiques ont été notées chez les autistes, les gènes ne font cependant que conférer une susceptibilité à une maladie. Ils ne la causent pas. C'est l'environnement qui concrétise l'expression de la maladie.

La déficience immunitaire chez les autistes étant une évidence (infections respiratoires, allergies, prolifération du candida, etc.), le Dr El Dahr s'est longuement attardé cette année sur le rôle que pourraient jouer les IgA comme agents thérapeutiques. Ce traitement existe en Europe sous forme orale et nasale et serait bien plus puissant et efficace que les traitements aux IgG. Le rôle des IgA est primordial puisqu'ils sont les anticorps les plus répandus. On les retrouve dans la salive, dans le lait maternel, et ils recouvrent toutes les parois des muqueuses. Ils contrôlent les infections (ce qui n'est pas le cas des IgG), particulièrement les infections virales (par exemple en empêchant les toxines du "Clostridium difficile" de s'attacher aux cellules réceptrices) en supprimant la réponse inflammatoire. Mon fils en est l'exemple vivant : importantes infections aux clostridia et taux quasi inexistants d'IgA.

Les récentes recherches du Dr Gupta l'ont amené à se demander si, comme pour la sclérose en plaques, les "sodium channels" (chemins de transport du sodium) pourraient être bloqués chez nos enfants. L'autisme serait-il un désordre des "ions channels" (échanges ioniques) et de la mitochondrie ? La production d'énergie (faites dans les cellules par les mitochondries) et les structures dépendantes de cette énergie seraient au centre du problème biochimique.

En ce qui concerne les injections d'immunoglobuline, une étude en double aveugle va être menée d'ici six mois sur 24 sujets, à raison de 400 mg/kg pendant quatre semaines.

Dimanche 17 septembre

Le Dr Baker a ouvert la séance en reprenant les grandes lignes des exposés de la veille :



les transferts de facteurs sanguins favorisent l'immunité des Th1 ;


le rôle des IgA serait bien plus intéressant que la thérapie avec les IgG ;


la mitochondrie (production d'énergie) serait en cause dans les troubles autistiques ;


vaccination : c'est l'intérêt public face à l'intérêt privé ;


levures : depuis 20 ans, la médecine refuse de les prendre en considération et mésestime leurs efforts ;


la pharmacologie nutritionnelle est à l'opposé du carnet d'ordonnances ;


soigner une maladie ne veut pas forcément dire soigner une personne en particulier.


Le Dr Baker a insisté sur ce dernier point : l'aspect le plus important pour la compréhension de la maladie n'est pas le diagnostic ou l'étiquette, mais bien les examens de laboratoire et les symptômes. Les idées et les classifications ne sont pas des entités. Depuis déjà longtemps, le Dr Baker recense tous les symptômes autistiques et les résultats d'analyses afin d'utiliser ces données concrètes comme un outil de démocratisation de l'information médicale. En d'autres termes, nous sommes tous invités à consigner nos observations grâce à un questionnaire qu'il a mis au point afin d'élaborer différents portraits types chez nos enfants, avec les traitements appropriés.

La vitamine A naturelle

Le Dr Megson a commencé son exposé avec une question : "Est-ce que la déficience en protéine G alpha dans l'autisme peut être compensée par la prise de vitamine A naturelle ?"

Pour elle, les enfants autistes présentent des blocages au niveau du cerveau, ce qui les empêchent, par exemple, de faire le lien entre l'objet qu'ils voient et le mot désignant l'objet. Elle parle de nombreux antécédents familiaux qui prédisposent ces enfants à l'autisme: cholestérol, allergie au lait, vision nocturne altérée, certains cancers (colon, poumon, sein, prostate) et diabète. Ce sont les signes d'une déficience en protéine G et l'ajout d'une autre anomalie comme la toxine de la coqueluche (dans le vaccin diphtérie- tétanos-coqueluche) chez ces enfant génétiquement prédisposés pourrait être la cause de leur autisme.

Les bébés nourris au sein reçoivent la forme naturelle de vitamine A (cis), tandis que ceux qui sont nourris avec des laits maternisés la reçoivent sous une forme altérée (trans). Le Dr Megson s'est dite particulièrement outrée du fait que des enfants présentant des taux de vitamine A très bas soient quand même vaccinés contre la rougeole (un vaccin qui diminue la réserve de vitamine A). La conséquence entraînée se situe principalement au niveau de la vision (les cônes et les bâtonnets sont touchés). Les enfants vivent comme dans un monde de peinture abstraite ; ils préfèrent s'en tenir à un espace limité, qu'ils appréhendent mieux que le reste de leur environnement immédiat qui n'est qu'une masse de couleurs. Les enfants qui fuient le contact visuel direct nous regardent de biais parce qu'ils utilisent une autre partie de la rétine. Beaucoup d'attitudes curieuses chez nos enfants sont explicables si nous essayons de comprendre leur perception. La vitamine A n'est pas la seule réponse au problème, ce n'est qu'une pièce du puzzle, mais une pièce importante. Le Dr Megson a peu parlé du béthanécole qu'elle utilise aussi dans sa pratique puisque, souvent, la prise de vitamine A lui paraît suffisante.

L'enzyme DPPIV

Le Dr Jon Pangborn, lui, nous a parlé de la fameuse enzyme DPPIV. Cette enzyme est une protéine de liaison importante dans le métabolisme des purines, dans la transformation des lymphocytes sous leurs formes cellulaires T, B et NK (natural killer ou tueuses). Elle est responsable de la digestion d'une partie de la molécule caséine (la béta caséine compte 209 résidus d'acides aminés). On la retrouve dans de nombreux tissus, en particulier sur la partie ciliée de la membrane épithéliale et dans les lymphocytes. Certains patients souffrant de phénylcétonurie sont autistes, certains présentant l'X fragile sont autistes, d'autres, atteints du syndrome de Rett, sont autistes, mais leur nombre reste constant. Le groupe d'autistes qui augmente dans des proportions alarmantes est celui qui présente une déficience de l'enzyme DPPIV/CD26. La question importante consiste donc à comprendre ce qui a causé cette déficience.

Certains antibiotiques, une flore intestinale anormale, l'inhalation de gaz naturel (éthyle mercaptan), les fluorures, les pesticides, le mercure et le plomb inhibent l'action de la molécule DPPIV. Heureusement, selon notre individualité, nous ne souffrons pas tous également de ce problème au point d'en être handicapés. En fonction des mécanismes de dysfonctionnement du DPPIV, les traitements vont de la prise d'un support digestif à base de peptidase au régime sans gluten et sans caséine, ou encore à des moyens pour éviter les agressions immunologiques. Certains suppléments peuvent aider le processus, comme les vitamines B6, B12, le folate (sel de l'acide folique) et la serine ainsi que la DMG et le zinc. Ce dernier doit cependant être pris loin des repas car il inhibe l'enzyme DPPIV. Des essais cliniques de quatre semaines ont montré une amélioration de la socialisation, du langage et de la compréhension. Les tests préconisés pour identifier cette déficience sont les peptides urinaires, les acides aminés, l'analyse des cheveux pour déceler les éléments toxiques, l'analyse des selles pour les facteurs digestifs et les dysbioses, les acides organiques, les allergies alimentaires, le stress oxydatif, etc.
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MessageSujet: SUITE ET FIN Les facteurs environnementaux   titre du sujet vaccin précaution immun à lire EmptyVen 26 Aoû - 22:01

Les facteurs environnementaux

Le Dr Paul Shattock a traité des facteurs environnementaux comme déclencheurs de l'autisme. En Angleterre, on a noté une forte augmentation des cas d'autisme chez les enfants nés en 1984-1985. Il relie ce constat à un facteur environnemental. Les autorités reconnaissent qu'il y a une augmentation de cas d'asthme, de cancer, d'allergies, de diabète, etc., mais, pour une raison que l'on ignore, elles réfutent l'augmentation des cas d'autisme. Toute personne sensée serait effrayée de constater que dans certains endroits, un garçon sur 69 est maintenant autistique.

Cela ne semble pas inquiéter le gouvernement, qui alloue 90% du budget de recherche sur l'autisme à la génétique. Mais, pour le Dr Shattock aussi, l'explication se trouve bien dans une combinaison de fragilité génétique et de facteurs environnementaux. Les cartes génétiques ne changent pas rapidement, mais les éléments extérieurs oui, comme l'introduction de nouveaux vaccins, les pesticides, les métaux lourds ou les parfums toxiques. L'hypothèse déjà émise est que les peptides dérivés de la nourriture passent dans le flux sanguin et atteignent le cerveau, affectant ainsi la neurotransmission qui, à son tour, affecte la perception et la cognition. Ceci peut se produire si un vaccin crée une "brèche" dans la paroi intestinale ou si tout autre facteur détériore la barrière sang-cerveau. Le profil des peptides urinaires varie selon la sévérité des cas d'autisme; les Aspergers présentent souvent un seul pic d'élévation alors que des cas plus sérieux présentent plusieurs pics. Le protocole de traitement proposé à l'Université de Sunderland est le suivant:



1) "cessez le feu", c'est-à-dire éliminer la source du problème : supprimer la caséine pendant trois à quatre semaines et, s'il n'y a aucune amélioration chez l'enfant, réintroduire la caséine. Éliminer le gluten pendant trois mois et utiliser la même approche que pour la caséine ;


2) prendre les devants : rechercher les autres aliments qui pourraient être en cause (maïs, soya, tomate, avocat, boeuf), tester les vitamines, minéraux, acides aminés, allergies (IgG, IgE), vérifier les levures, parasites, virus, bactéries et apporter des suppléments en fonction des résultats (zinc, calcium, magnésium, vitamines A, C, B1, B3, B6) ;


3) phase de reconstruction : problèmes de sulfatation (sel d'Epsom, MSM) ; activité enzymatique (betaïne hydrochlorique) ; acides gras (huile d'onagre, huiles de poisson) ; perméabilité intestinale (L-glutamine) ; aides digestives (Bromeline, Serenaid, Enzymaid).


D'autres traitements possibles mais moins fréquents sont : un régime sans pigments ou sans salycilates, la sécrétine, des suppléments comme le DMG, l'hydroxytryptophane 5 ou des mégadoses de vitamine B6, magnésium Mg.

Karen Seroussi et Lisa Lewis nous ont donné leurs petits "trucs" pour arriver à instaurer un régime sans gluten et sans caséine. Les enfants les plus susceptibles d'y répondre positivement sont ceux qui ont présenté des symptômes autistiques assez tard, ceux qui sont insensibles à la douleur, ou encore ceux qui ont des problèmes de diarrhée ou de constipation et une alimentation très limitée. Ce qui ne veut pas dire que les autres n'y répondraient pas...

Il faut absolument essayer de créer une ressemblance avec les aliments aimés pour qu'au moins la présentation ne change pas trop. La Pâque juive est une bonne occasion de faire le plein d'aliments sans gluten et sans caséine (aliments de marques Parve ou Pareve). Il faut également bien comprendre que la présence de peptides opiacés ne constitue pas une ALLERGIE ALIMENTAIRE, donc les traitements pour les allergies ne seront d'aucune utilité. Si le régime fonctionne, l'interrompre ou permettre une petite exception aura des conséquences sur le comportement. Il y a une grande différence entre suivre le régime à 98% et le suivre à 100%.

Le mercure

En remplacement du Dr Candace Pert, excusée, le Dr Holmes a fait une présentation sur le mercure et sur le traitement qu'elle propose. Elle a dirigé une discussion avec différents intervenants, en particulier le Dr Vera Stejskal qui a parlé d'un nouveau test sanguin, le MELISA (ME pour Memory, L pour Lymphocyte, I pour Immuno, S pour Stimulation, A pour Assay), qui évalue la sensibilité des lymphocytes au mercure. Son étude démontre trois fois plus de sensibilité aux métaux lourds chez les autistes que chez les sujets normaux. Le test permet également de différencier les formes de mercure (inorganique Hg, éthyl Hg, méthyl Hg, thimerosal, thiosalicylate Hg chlorure) plus le nickel, le cadmium et l'aluminium.

Le Dr Boyd Haley, un biochimiste réputé également présent au forum, a expliqué qu'il n'avait pas l'intention de convaincre qui que ce soit que le mercure causait la maladie d'Alzheimer ou que le thimerosal présent dans les vaccins causait l'autisme, mais qu'il voulait plutôt démontrer la nécessité absolue de comprendre l'action du mercure. Il est parfaitement possible d'intoxiquer un cerveau avec du mercure et de faire croire que la personne souffre de la maladie d'Alzheimer. Il a publié cette information en pensant qu'elle était intéressante pour tout le monde ; le résultat a été que l'association américaine des dentistes l'a poursuivi. Il a déclaré que la quantité de mercure provenant d'un amalgame dentaire est de 43 mcg par cm2 et par jour (sans abrasion ni pression supplémentaire). Ce taux est bien évidemment toxique. Quant au thimerosal, il est bien plus toxique pour l'activité enzymatique que le mercure de base, et il l'est encore plus s'il a été exposé à la lumière.

Il y a 50 mcg de thimerosal dans un vaccin. Si on utilise l'équation suivante : 50 mcg par 6 livres de poids pour un bébé, cela équivaut à une dose de 1,5mgr pour un adulte de 180 livres. Y-a-t-il un seul adulte recommandant le thimerosal pour les enfants qui se mettrait en ligne pour recevoir une injection contenant 1,5mg de mercure ?

Le Dr Holmes a fortement insisté pour que chacun de nous lise le document intitulé "L'élimination du mercure pour le traitement de l'autisme" (sur le site de l'Autism Research Institute : www.autism.com/ari). Elle affirme que la majorité des cas d'autisme sont dus à un empoisonnement au mercure au stade prénatal ou postnatal. Un mois après une exposition au mercure, celui-ci se fixe dans les cellules, tant et si bien qu'il est difficilement décelable. On n'en trouve pas de traces dans l'urine, le sang ou les cheveux à moins que l'exposition soit récente. Les médecins qui préconisent ces tests recherchent une intoxication au plomb, ce qui est complètement différent. Pour réellement mettre en évidence le mercure, il faut examiner son impact sur les enzymes et les autres processus biochimiques (acides organiques urinaires, porphyrines urinaires fractionnées, tests du système immunitaire, tests de cheveux pour les oligo-éléments). On doit également faire des observation cliniques : pupilles dilatées, mains et pieds moites, strabisme, marche sur la pointe des pieds, éruptions cutanées, eczéma, rythme cardiaque élevé. Le protocole qu'elle utilise avec succès pour son fils est le suivant :



1) éliminer toute source de mercure, enlever les amalgames dentaires, ne plus manger de poisson. Si un enfant doit être vacciné, exiger un vaccin sans mercure. Éviter les gouttes pour les yeux et les oreilles qui contiennent du thimerosal ;


2) éliminer le mercure en libre circulation dans le corps. Le produit utilisé, le DMSA, est donné toutes les quatre heures (y compris la nuit) pendant trois jours, puis on fait une pause de quatre jours. Si le processus convient à l'enfant, on le répète pendant un à six mois. En donner moins fréquemment est dangereux car le mercure ainsi libéré dans le système de l'enfant va aller se re-déposer sur d'autres tissus avant d'être excrété. Attention : notons que ce protocole a été légèrement modifié au récent congrès d'Orlando (dosage et fréquence);


3) enfin, évacuer le mercure fixé dans les organes (par exemple dans le cerveau). Pour ce faire, continuer le DMSA et ajouter de l'acide alpha-lipoïque selon le même horaire que précédemment, et ce, pendant six mois à deux ans. Les effets secondaires sont des comportements indésirables plus marqués mais temporaires, de possibles diarrhées, des nausées ou de la fatigue.


Ce traitement se fait bien sûr uniquement sous la supervision d'un médecin (le DMSA n'est fourni que sur ordonnance) qui vérifiera pendant le traitement la formule sanguine, le fonctionnement du foie et la rétention de cuivre. Les améliorations constatées chez le fils du Dr Holmes (qui, par ailleurs, reçoit 35 heures par semaine d'encadrement éducatif du genre ABA!) et les autres enfants en traitement chez elle sont un meilleur langage, une plus grande autonomie et plus d'interaction avec les autres. En 13 mois, son fils a gagné 20 mois pour le langage et 21 mois pour la cognition.

Liz Birt, cette maman avocate qui tente d'organiser une campagne de financement pour soutenir le travail de recherche du Dr Wakefield, nous a dit qu'elle serait à Washington dans un mois environ pour exiger de la FDA (Food and Drug Administration) qu'elle rappelle immédiatement tous les vaccins contenant du thimerosal.

Elle dit qu'elle apportera toutes les données rassemblées sur ce sujet, tant les recherches que les preuves concrètes, et que cela suffira pour convaincre la FDA de l'ampleur du problème. Un court extrait percutant et sans appel de la plus récente audience sur les vaccins, présidée par le sénateur Burton (grand-père d'un garçon autiste), a aussi été présenté. D'ailleurs, le représentant du gouvernement qui devait répondre aux questions a bredouillé et est finalement resté sans voix, les bras ballants devant un tel déluge de preuves incriminant une politique de vaccination aberrante. Rick Rollens nous a dit que le MIND Institute était sur le point d'envoyer à tous les pédiatres américains ainsi qu'aux législateurs concernés les résultats des recherches faites sur les vaccins. Espérons que l'information sera assimilée et que la prise de conscience suivra.

Le virus de la rougeole

Pour finir, le très charismatique Dr Wakefield nous a parlé de sa recherche du virus de la rougeole dans l'intestin de certains autistes. Sans doute l'avait-on gardé pour la fin pour nous tenir en haleine jusqu'au bout, mais malheureusement nos neurones n'étaient plus très réceptifs.

Il nous a parlé de l'étude menée sur 385 enfants autistes examinés par lui-même et parmi lesquels 46 % présentaient des indications cliniques de problèmes gastro-intestinaux contre 10% dans la population contrôle (95). Les problèmes allaient de la perméabilité intestinale à l'hyperplasie lymphoïde nodulaire. Sa plus récente étude en double aveugle sur 40 cas a été publiée en septembre dans le Journal of Gastroenterology.

Il parle également du développement d'une nouvelle technique basée sur la similarité de l'ADN (celle des virus comparée à celle des échantillons), appelée TAQ man, qui permet une étude rapide et minutieuse des échantillons de sang et de divers tissus, et qui pourrait servir à mettre en évidence, entre autres, le virus de la rougeole dans le déclenchement de l'autisme. Les japonais ont également amplifié le gène à partir du sang et non des tissus. De même, le Dr Vijendra Singh (Utah State University) a abordé le problème sous un autre angle et arrive à la même conclusion que Wakefield. Il démontre qu'à la suite de cette même vaccination, la réaction qui s'en suit est la destruction d'une protéine (la myéline) qui gaine les nerfs du corps et qui joue un rôle dans la transmission des influx nerveux. Bref, différentes techniques et différents chercheurs arrivent au même résultat : la souche vaccinale de la rougeole se retrouve vivante dans la paroi intestinale de certains enfants.

Le vaccin MMR ne répond pas à l'équation 1+1+1=3. En effet, lorsque un enfant est soumis à plusieurs virus en même temps, les interférences entre les 3 virus sont très complexes et on assiste souvent à une réponse amplifiée (par synergie). Cela a été démontré dans un étude menée en 1969 et confirmée en 1974, mais aucune suite n'a été donnée a ce constat..

Le Dr Wakefield a conclu en mentionnant qu'un facteur de transfert spécifique contre ces virus serait idéal et en abordant l'action bénéfique et protectrice de la mélatonine dans le traitement par chélation du mercure.

Cette année, j'aimerais finir sur une note plus optimiste et, sans être outrageusement confiante, je mentionnerai des contacts positifs avec la direction de la recherche du Ministère de la Santé et des Services sociaux. Après deux rencontres, le désir d'entreprendre une recherche en autisme sur le modèle du protocole DAN existe. Il s'agirait d'une phase de recherche pure (en continuité avec ce qui a déjà été fait), et d'une phase plus pratique de mise en application du protocole afin que nos enfants bénéficient d'examens médicaux le plus rapidement possible. La prochaine étape de cette collaboration sera une prise de contact avec les divers organismes qui seraient les principaux acteurs de cette recherche. À suivre, donc, et gardons espoir....


Toute vérité passe par trois stades : d'abord elle est ridiculisée,
ensuite elle est attaquée, enfin elle est admise
comme la plus pure évidence.
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dan
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MessageSujet: Institut de recherche De Recherche D'Autism   titre du sujet vaccin précaution immun à lire EmptyVen 26 Aoû - 23:25

Institut de recherche De Recherche D'Autism Avenue De 4182 Adams
San Diego, Ca 92116
LES Etats-Unis
fax: 619-563-6840
L'institut de recherche de recherche d'Autism (ARI), une organisation à but non lucratif, a été établi en 1967. ARI est principalement consacré à la recherche de conduite, et à disséminer les résultats de la recherche, sur les causes de l'autism et sur des méthodes d'empêcher, de diagnostiquer et de traiter l'autism et d'autres désordres comportementaux graves d'enfance. Nous fournissons des informations basées sur la recherche aux parents et aux professionnels dans le monde entier.





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MOM Arrow TU TAPES LE TITRE DS GOOGLE ET TU TRADUIS EN FRANCAIS;
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