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 L'INDUSTRIE DE LA VIANDE ET LES VACCINS

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dan
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dan


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L'INDUSTRIE DE LA VIANDE ET LES VACCINS Empty
MessageSujet: L'INDUSTRIE DE LA VIANDE ET LES VACCINS   L'INDUSTRIE DE LA VIANDE ET LES VACCINS EmptyDim 10 Juil - 23:48

L'INDUSTRIE DE LA VIANDE ET LES VACCINS [1] Liens vers d'autres sites Web
sur les vaccinations

(AHIMSA, mars 2005, Marjolaine Jolicoeur)


[size=18][color=darkblue]Du sang animal dans les vaccins et les cultures de cellules

Un lien, très souvent ignoré, existe entre l'industrie de la viande et les
vaccins. Pour les cultures de cellules, les laboratoires ont recours à des
déchets d'abattoirs ainsi qu'aux peptones, des protéines de viande de cochon
ou de boeuf.

Les domaines de la virologie, microbiologie, biotechnologie, les expériences
in vitro et la culture de cellules emploient très largement le sang et la
chair animale. Les ingrédients nécessaires à la croissance des bactéries ou
des cellules animales sont le plus souvent du sérum animal et des peptones
de source bovine ou porcine. Toute modification biologique ou génétique
nécessite une culture de cellules afin de la stabiliser et d'assurer sa
reproduction.

La fabrication des vaccins fait donc appel a des techniques de culture
cellulaire ou de fermentation bactérienne dont la multiplication exige de
gros apports nutritifs de croissance. Or, ces apports s'avèrent très
concentrés dans différents tissus ou fluides animaux. Qu'ils soient cultivés
dans des cellules animales ou humaines, les virus doivent être nourris avec
des substances de source animale puisqu'ils ne peuvent se multiplier que
dans des cellules vivantes. On a alors recours a des déchets d'abattoirs,
sang, sérum et albumine, de provenance bovine mais aussi tirés du chien,
singe, lapin, mouton, cheval et cochon. Le grand favori demeure le sérum de
foetus de veau. Il se retrouve dans bon nombre de vaccins: dans le Pentacel
- diphtérie, coqueluche, tétanos, poliomyélite et Haemophilus Influenza B,
donné aux nourrissons dès l'âge de 2 mois -, le Varivax pour la varicelle,
le Pneumonvas 12 et le BCG pour la tuberculose. Le sérum bovin n'apparaît
pas systématiquement sur la liste des ingrédients des vaccins mais son
utilisation est généralisée dans les cultures de cellules tout comme les
peptones ou l'hydrolysat de protéines. Le DPT - diphtérie, coqueluche et
tétanos -, renferme de l'hydrolysat pancréatique de porc.



SÉRUM FOETAL BOVIN


Afin de fournir les 500 000 litres de sérum bovin achetés par les
laboratoires mondiaux chaque année, plus d'un million de foetus de veau
doivent être sacrifiés. Les laboratoires s'approvisionnent en
Nouvelle-Zélande, au Brésil, au Mexique, aux États-Unis, en Australie, au
Canada , dans différents pays d'Europe, de l'Est et d'Afrique.

Les vaches proviennent d'élevages intensifs, d'autres sont parfois mises
enceinte spécifiquement pour la récolte de leurS foetus, comme en Hongrie ou
en Slovaquie. La technique pour récupérer le sang du veau peut varier et
être différente dans chaque pays, pour chaque abattoir. Elle consiste, dans
certains cas, à retirer le sang du cordon ombilical ou à faire une ponction
de la veine jugulaire du foetus. La technique la plus largement répandue
fait appel à une ponction cardiaque. Une vache enceinte est tuée. Dans un
laps de temps variant de cinq à trente minutes selon les procédures en
vigueur dans le pays concerné, le foetus est retiré de l'utérus de sa mère.
Le cordon ombilical du veau, qui peut être âgé de trois à neuf mois, est
coupé. Une longue aiguille est insérée directement dans son coeur encore
battant. Le sang est récolté par aspiration et mis dans un sac stérile. Le
veau est ensuite détruit.

Plusieurs pays et laboratoires se défendent de prendre le sang du coeur d'un
veau encore vivant. Mais selon un ancien inspecteur du département américain
de l'Agriculture: "Pour des raisons pratiques, le coeur du veau doit encore
battre afin de recueillir une quantité suffisante de sang". Un producteur
chilien du A. Cox Commercial and Industrial Aprex Ltd. est du même avis:
"L'animal est vivant quand il saigne. Le sang doit être pris par une
ponction cardiaque sur un foetus vivant. Quand l'animal meurt, le sang se
coagule immédiatement. Le coeur doit encore pomper afin de transporter le
sang liquide hors du corps".

Par définition le veau est toujours vivant mais ne reçoit aucune anesthésie
durant cette opération douloureuse. Il peut donc ressentir une grande
souffrance.



DU SANG CONTAMINÉ

Outre les considérations éthiques sur l'exploitation de l'animal vu comme
un produit d'expérience et une marchandise, la contamination des vaccins et
des milieux de culture par du sérum bovin est réelle et fort inquiétante. Y
a-t-il un risque dans le cas le l'encéphalopathie spongiforme bovine ou
"maladie de la vache folle"? Il a été reconnu que la mère peut transmettre
la maladie à sa descendance "in utero", et que par conséquent les tissus
foetaux sont susceptibles de véhiculer la contamination. Les pays
producteurs de sérum foetal bovin affirment que leurs techniques de
filtration évitent tout risque. Cependant, il est impossible de l'affirmer
dans le cas du prion.

Les marchands de sérum bovin ne peuvent jamais certifier à 100% la pureté de
leurs produits et sa non-contamination par des agents viraux ou infectieux.
Il existe des virus spécifiques au sérum bovin: virus de la diarrhée bovine,
herpèsvirus1, parinfluenza3, réovirus, adénovirus bovin, polyomavirus, virus
de la leucémie, etc. Selon plusieurs études scientifiques, ces virus bovins
ont contaminé des cultures cellulaires et des vaccins provoquant, entre
autres, des cas de gastroentérites, en particulier chez de jeunes enfants.
Le virus de la diarrhée bovine fut détecté dans approximativement 30% d'une
population humaine étudiée même si cette dernière n'avait eu aucun contact
physique avec des animaux infectés.

Selon les travaux du chercheur R. Harasawa (1995), plus de 75% des lignées
de cellules qu'il a examiné étaient souillées avec différents virus bovins.
Des lignées de cellules provenant de primates se révélaient elles aussi
contaminées avec des souches de virus bovins. Il est reconnu que ces virus,
en passant la barrière des espèces, peuvent muter, se recombiner entre eux
ou réactiver des virus latents. De nouvelles souches de virus ont été
isolées dans des cellules humaines et elles démontraient des ressemblances
avec des souches bovines. Certains de ces virus ont une très longue période
d'incubation, des décennies peuvent s'écouler avant qu'elles ne déclenchent
des maladies chez les humains.

Plusieurs produits biomédicaux, dont les vaccins, sont maintenant produits
sur des lignées de cellules dites "immortelles" parce qu'elles ont été
cancérisées artificiellement et peuvent se diviser indéfiniment lorsqu'elles
reçoivent un nutriment comme du sang animal. En comparaison, presque toutes
les cellules d'un mammifère en culture se divisent pendant 20 à 50
générations, après quoi les cellules vieillissent et meurent. Ces lignées de
cellules immortelles et contaminées peuvent-elles être potentiellement
dangereuses pour les humains? Plusieurs scientifiques s'inquiètent du fait
qu'elles pourraient induire du matériel provoquant le cancer.



NANOBACTÉRIES ET CALCIFICATION

Il y a une dizaine d'années, les microbiologistes finlandais Olavi
Kajander et Neva Ciftcioglu de la Scripps Institute of California, tentaient
de déterminer les causes d'une contamination qui tuait les cellules dans la
préparation de certains vaccins. Les chercheurs ont alors réussi à isoler et
à photographier une nouvelle forme de bactérie sanguine, la nanobactérie,
nommée ainsi à cause de sa petite taille; elle est dix fois plus petite que
les bactéries courantes, ce qui en fait la plus petite bactérie connue. Très
envahissante, elle peut causer la mort des cellules.

Si on la compare aux autres bactéries, la nanobactérie se développe très
lentement et se reproduit tous les 3 jours, alors que les bactéries
régulières le font en quelques minutes ou en quelques heures. Elle ne peut
se développer dans des cultures ordinaires, mais uniquement dans le sérum ou
le sang humain ou animal. En raison de sa taille extrêmement petite et de
son taux de croissance lent, la nanobactérie n'a pu être détectée par les
chercheurs scientifiques que tout récemment car elle exige de puissants
microscopes.

Selon les chercheurs, il y aurait un lien entre la présence de nanobactéries
puis l'apparition d'une calcification de l'organisme chez l'humain. Cette
pathologie de calcification serait impliquée dans le processus d'une foule
de maladies: pierres aux reins et dans les glandes salivaires,
épaississement des artères, bursite, tendinite, cancer des os, du cerveau et
de la prostate, psoriasis, désordres du système nerveux, syndrome de
Parkinson, etc. Dans presque tous les cas de cancers du sein on dénombre la
présence de dépôts calcaires. Les nanobactéries bâtissent autour d'elles une
coquille riche en calcium, constituant ainsi ces fameuses calcifications.
Les scientifiques ont trouvé la bactérie dans chacune des 30 pierres rénales
analysées. Elle a également été identifiée dans le sang de 5,7% des 1000
sujets humains étudiés et chez 80% des milliers de vaches testées. "Une
personne peut l'avoir sans s'en douter et ne développer des problèmes que
bien plus tard. Environ 20% de toutes les maladies affectant les êtres
humains présentent des phénomènes de calcification", pense Neva Çiftçioglu.

Comment la nanobactérie s'infiltre-t-elle dans l'organisme humain?

Plusieurs hypothèses sur cette bactérie propre aux mammifères ont été
avancées. Elle pourrait se retrouver lors des transfusions sanguines, dans
le lait de vache, la viande crue ou être assimilée par les voies digestives
des humains. Plus certainement elle pourrait venir de la contamination des
vaccins et des cultures de cellules effectuées dans du sérum animal, sur des
tissus animaux et humains puisque la nanobactérie échappe aux processus de
filtration. En 2001, une étude scientifique a démontré que 100% du sérum
provenant d'un troupeau de la Caroline du Nord contenait des nanobactéries.
Une autre étude, européenne cette fois-ci, concluait pour sa part que 80%
des lots de sérum bovin commercialisés étaient contaminés aux nanobactéries.
Lors de la 101ème réunion générale de la Société Américaine pour la
Microbiologie en 2001, cette contamination des vaccins et des cultures de
cellules a été confirmée: la nanobactérie est un contaminant dans des
produits médicaux supposés stériles. Sur 3 lots de vaccins pour la
poliomyélite, 2 étaient contaminés par des nanobactéries venant d'un sérum
bovin utilisé dans les vaccins et les cultures de cellules.

Une tendance actuelle se dessine pour l'élimination du sérum et de tous les
produits d'origine animale du milieu de culture de cellules destinées à
produire des vaccins ou autres produits biomédicaux. Plusieurs milieux de
culture sans sérum sont déjà commercialisés mais rien n'est encore
disponible pour certaines cultures spécifiques de cellules. Pour le moment,
tout demeure à un stade expérimental
.
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dan
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Date d'inscription : 24/10/2004

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MessageSujet: SUITE....AUTRES CONTAMINATIONS DES VACCINS   L'INDUSTRIE DE LA VIANDE ET LES VACCINS EmptyDim 10 Juil - 23:48

[color:ef28=darkblue:ef28]AUTRES CONTAMINATIONS DES VACCINS

Les vaccins ont besoin de sérum bovin pour nourrir leurs virus tout comme
un milieu vivant pour les cultiver. C'est ici qu'entrent en jeu les cellules
animales du singe, chien, souris ou embryon de poulet. Les cellules
humaines, comme dans le vaccin de la rougeole, rubéole, rage ou varicelle,
proviennent de tissu foetal humain d'avortements.

Pendant la "purification" du vaccin, a l'aide de produits hautement toxiques
comme le formaldéhyde, les compagnies pharmaceutiques affirment que la
totalité du sérum bovin et des cellules, animales ou humaines, sont
retirées. Elles ne nient pas cependant que des traces de protéines en
provenance de ces cellules peuvent demeurer dans le vaccin. Assez
curieusement, inoculer et ingérer des vaccins contenant des tissus humains
ne revient-il pas, dans un certain sens, à une forme de cannibalisme, une
pratique pourtant défendue et tabou dans nos sociétés modernes?

La mise au point de différents vaccins antirotavirus illustre bien cette
manipulation problématique des virus et des tissus animaux. Le rotavirus est
la cause la plus fréquente de maladie diarrhéique grave chez le nourrisson
et chez le jeune enfant, partout dans le monde, notamment dans les pays en
développement. Plusieurs groupes de rotavirus peuvent être pathogènes. En
août 1998, un vaccin antirotavirus, comportant à la fois 1 rotavirus de
singe rhésus, 3 virus rhésus humain, des cellules diploïdes de rhésus foetal
et du sérum foetal de boeuf, a été autorisé sur le marché aux États-Unis.
Après inclusion de cette mixture virulente dans le calendrier vaccinal des
nourrissons américains et la vaccination de près d'un million de sujets,
plusieurs cas graves d'invagination intestinale postvaccinale ont été
signalés. Les 3 à 10 jours qui ont suivi la première des trois doses orales
semblaient être ceux où le risque d'invagination devenait maximal. Le
fabricant du RotaShield, les laboratoires Wyeth-Ayerst, a retiré le vaccin
du marché des États-Unis 9 mois après son introduction mais dispose toujours
de son autorisation de mise sur le marché. En Chine, un vaccin avec un
rotavirus ovin est autorisé sur le marché. Un vaccin ayant une souche bovine
de rotavirus et comportant les gènes communs aux rotavirus humains est à
l'essai tout comme plusieurs autres vaccins expérimentaux: l'un d'eux
utilise une souche humaine de rotavirus et deux autres sont réassortis
humains-bovins.



VACCINS POLIOMYÉLITIQUES

Une multitude d'animaux payent de leur sang et de leur chair pour cette
folie vaccinale. Sur l'autel de la vivisection des millions de singes
meurent pour l'élaboration, le contrôle et la mise sur le marché des
vaccins. Ils sont les cobayes les plus recherchés pour tester la phase
finale des vaccins, ce qui ne garantit en rien l'innocuité d'un vaccin
lorsqu'il est injecté dans l'organisme d'un nourrisson humain.

Le vaccin pour la poliomyélite est un exemple tragique, parmi tant d'autres,
de cette histoire de la vaccination jonchée de souffrance animale, humaine,
d'augmentation de maladies, de manipulations et de contaminations mortelles.

1934: les expérimentateurs développent un vaccin provenant de la moelle
épinière infectée de singes. 20'000 enfants sont vaccinés, six en meurent;
douze autres demeurent gravement paralysés. Le vaccin doit être retiré.

1954-1963: on produit un vaccin pour la polio à partir de cultures de
cellules de reins de singes ou cellules Vero. Des dizaines de millions de
cobayes-humains, aux États-Unis, en Union Soviétique, en Europe et au Canada
reçoivent ce vaccin poliomyélitique. Cela prendra des années à la communauté
scientifique pour admettre que le vaccin était bel et bien contaminé par un
virus provenant du singe, le SV40. Plus de 60 études récentes ont découvert
sa présence dans des cas de cancer du cerveau et des os, de tumeurs
intracrâniennes chez l'enfant et de leucémie.

1999: le Journal of National Cancer Institute confirme l'implication du SV40
dans un certain type de cancer du poumon.

2002: une équipe de chercheurs publie dans le Lancet une étude portant sur
le lien entre des cas de lymphome non Hodgkinien et le SV40. Ce virus a été
détecté dans 42% des cas étudiés. Les lymphomes non Hodgkiniens sont un
groupe de cancers prenant naissance dans les cellules du système lymphatique
et qu'on retrouve souvent chez les malades infectés par le virus du Sida
VIH.

Des théories, fort controversées, indiquent qu'il est possible que le VIH
ait été transmis des singes aux humains à la suite des vaccinations de masse
pour la polio menées en Afrique entre 1957 et 1959 avec des vaccins obtenus
à partir de cellules Vero et contaminés par un virus du sida du singe
similaire au VIH. Rappelons qu'en Afrique, le Sida touche 24,5 millions de
personnes ou 71% de toutes les victimes connues.

L'industrie pharmaceutique et les autorités médicales prétendent que les
vaccins pour la polio disponibles au Canada et aux États-Unis et obtenus à
partir de cellules de reins de singes, sont exempts de virus de singes.
Pourtant, les primates hébergent un nombre considérable de rétrovirus,
d'herpèsvirus et autres agents infectieux. Jusqu'à ce jour, seulement 2% de
tous les virus de singes ont été identifiés. Il est toujours possible que
des virus de singes inconnus soient transmis aux humains par les vaccins. Le
transfert d'un virus simien à l'humain peut en modifier la virulence et
avoir des conséquences pathologiques et catastrophiques insoupçonnées. La
recherche se continue tout de même aveuglément et toute une panoplie de
vaccins est toujours mise au point avec des cellules de singe: variole,
diphtérie, rage, grippe, SRAS (Syndrome Respiratoire Aigu Sévère), Sida,
etc.



POUR EN FINIR AVEC LE MYTHE DE LA VACCINATION

Pour valider le bien-fondé de l'expérimentation animale, les partisans de
la vivisection parleront immédiatement des "miracles" des vaccins. Pourtant,
en fouillant la littérature scientifique, une montagne de preuves s'accumule
contre cet argument absurde. Sans grande difficulté, il devient évident que
les vaccins présentent d'énormes risques pour la santé, qu'ils sont tous,
sans exception, potentiellement contaminés et dangereux. Le "risque zéro", à
court et à long terme, n'est jamais garanti en matière de vaccination.
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