dr Louis Bon De Brouwer

Cancériser avec le vaccin contre l'hépatite B
L'OMS recommande l'inoculation du vaccin contre l'hépatite B dans tous les pays du monde d'ici 1997 et a annoncé comme objectif l'éradication de cette maladie d'ici 2015 par la vaccination de la population totale du globe. Quand on sait quels sont les effets indésirables de l'Engerix B20, produit par les laboratoires Smith Kline Beecham, signalés par eux-mêmes, à savoir: à part les céphalées, la douleur, l'érythème, la fièvre, les nausées, les vomissements, les diarrhées sans grandes conséquences, des affections plus graves telles que arthralgies, myalgies, anaphylaxie, neuropathie, maladie sérique, paralysie, névrite, syndrome de Guillain-Barré, sclérose en plaques, névrite optique, méningite, encéphalopathie, encéphalite, arthrite, oedème de Quincke, vascularite, lymphadénopathie, on ne peut que demeurer atterré. De plus, la mise au point du vaccin par génie génétique entraîne l'introduction, dans un organisme, d'ADN et d'enzymes étrangers qui laisse envisager une altération ou un déplacement des gènes, l'activation de gènes oncogènes et donc, à terme, la cancérisation de toute l'humanité, si ce projet est effectivement appliqué. Il en ira de même avec le GenHevac produit par Pasteur-Mérieux, d'une manière encore plus conséquente, puisque ce vaccin est produit sur des cellules cancéreuses immortelles d'ovaires d'hamster!

Les vaccins nous auraient-ils transformés en reservoirs à virus?
Les dégâts provoqués par les vaccins ne se comptent plus. Du fait des vaccinations, les individus sont devenus de véritables réservoirs à virus et leurs défenses immunitaires sont tellement amoindries que de nouvelles affections incurables et gravissimes apparaissent chaque jour. La médecine allopathique institutionnelle, constituant le fer de lance des laboratoires, chargée qu'elle est de dispenser le plus largement possible les produits fabriqués par ces derniers, porte une très lourde responsabilité.

La vraie médecine a été remplacée par un système pharmacologique dont le seul objectif est le profit et non pas l'intérêt des malades.

Ceci est valable pour les médicaments, mais que dire quand la médecine, se voulant préventive, institue le système vaccinal qui pollue au plus haut point des organismes non malades, parfaitement sains!

La dictature chimique et vaccinale a pour conséquences:

la pollution des organismes vivants;
la pollution industrielle des sols, des eaux, de l'air;
la pollution aIimentaire végétale et animale;
la pollution des organismes humains en fin de cycle alimentaire;
la modification du comportement des individus, des caractères, des fonctions reproductrices;
la réapparition de pathologies anciennes répertoriées et l'apparition de pathologies nouvelles pratiquement impossibles à traiter;
l'apparition d'effets tératogènes, c'est-à-dire la mise au monde d'animaux et d'enfants qui sont des monstres ou des handicapés moteurs ou mentaux;
les effets de dépendance aux drogues (tranquillisants-antidépresseurs) faisant des gens normaux de véritables drogués, au même titre que ceux qui consomment des drogues dures;
un assujettissement à un organisme d'Etat, la Sécurité sociale, entraînant un certain état d'esprit, faisant des malades et des non-malades (les vaccinés) des assistés permanents irresponsables. Etat d'esprit qui amène les gens à ne plus se prendre en charge et constitue un tribut insupportable pour l'Etat, à l'origine d'un sérieux danger pour l'avenir économique d'une nation.
La dictature exercée présentement par les multinationales chimiques et pharmaceutiques qui ont confisqué nos droits à la santé doit cesser. Il y va de notre survie et de celle des générations futures. Toutes les révolutions ont trouvé leur origine dans l'éducation des masses populaires. Sans leur intervention, aucun régime démocratique n'aurait jamais vu le jour! C'est la raison pour laquelle il faut agir sans désemparer, agir sans cesse en tentant de convaincre le plus grand nombre qu'ils sont dans l'erreur, qu'ils sont manipulés par les trusts de la chimie, de la pharmacie et par les politiques qui leur sont inféodés. Et boycotter les vaccins et certains médicaments.

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Louis Bon de Brouwer est docteur en médecine, spécialiste en biologie moléculaire, membre du comité directeur de la Société internationale des médecins pour l'environnement en Suisse, délégué à l'Unesco. Depuis 1991, il est International Special Consultant pour la santé et l'écologie, chargé de recherches IAEWP-ONU-UNESCO. Il a fondé l'Association de défense envers la pollution alimentaire et médicamenteuse, l'ADEPAM, qui compte plus de 3000 membres en France.

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