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 MARC GIRARD ET LA VACC HEPATITE B

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dan
Rang: Administrateur* LA SANTE DE NOS ENFANTS EN DANGER
dan


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Date d'inscription : 24/10/2004

MARC GIRARD  ET LA VACC HEPATITE B Empty
MessageSujet: MARC GIRARD ET LA VACC HEPATITE B   MARC GIRARD  ET LA VACC HEPATITE B EmptyMer 27 Avr - 23:40

Marc GIRARD

Dix ans exactement après le lancement d’un grande campagne par M. Douste-Blazy, la fin de l’année 2004 aura été marquée par une accumulation de données suffisantes pour imposer une ré-évaluation de la politique française en matière de vaccination contre l’hépatite B. Ce, dans le contexte d’une « Tempête sur l’industrie pharmaceutique mondiale » (Le Monde, 21/12/04) où le public voit avec effarement les plus grands quotidiens afficher avec une impudeur rare les aveux de ce qu’il soupçonnait depuis longtemps malgré les dénégations obstinées de cette même presse : que « les experts des agences sont trop souvent liés à l’industrie pharmaceutique » et que dans les affaires de médicaments, « la faute n’est pas à rechercher du côté des laboratoires qui recherchent leur intérêt financier. Le problème est au niveau gouvernemental et paragouvernemental ».

Pour s’en tenir à la vaccination contre l’hépatite B, ce fut d’abord une étude épidémiologique montrant un triplement du risque de scléroses en plaques (SEP) chez les sujets vaccinés et qui, réalisée par une équipe américaine sur une base de donnée britanniques, a définitivement ruiné l’argument classique que les soupçons sur la tolérance du vaccin renverraient à un simple paradoxe franco-français. Compatible avec la survenue de dizaines de milliers de complications neurologiques dans notre pays, la portée de cette étude a été encore renforcée par les statistiques de l’assurance maladie sur les affections de longue durée (ALD), qui attestent une impressionnante élévation des pathologies neurologiques et neuro-musculaires graves depuis l’élargissement de la vaccination, en 1994-95 (cf. Les chiffres sur le présent site). Puis, dans le contexte d’une plainte déposée devant la Cour de Justice de la République à l’encontre des trois ministres de la santé les plus impliqués dans la campagne et visant notamment le chef « d’escroquerie », les premières statistiques de l’Institut de veille sanitaire, qui font état seulement de quelques centaines d’hépatites B chaque année en France, ont conforté ceux qui soutenaient que la promotion de la vaccination avait reposé sur une importante exagération des risques liés à cette maladie virale (on évoquait alors jusqu’à 100 000 cas annuels[1]). Enfin, des éléments convergents ont confirmé un accroissement préoccupant du nombre de SEP pédiatriques dans notre pays : compte tenu de la rareté attendue des SEP à cet âge, l’existence d’antécédents vaccinaux chez nombre de ces enfants est un argument fort pour une neurotoxicité spécifique du vaccin contre l’hépatite B.Ces circonstances ont conduit l’administration sanitaire à organiser une nouvelle « conférence de consensus » subrepticement rebaptisée « audition publique » en réponse aux objections justifiées de ceux qui connaissent les modalités incontournables qui auraient normalement dû présider à l’organisation d’une telle conférence. Arguant notamment de cette gabegie organisationnelle et de l’opacité des liens entretenus avec les fabricants par les experts de l’administration, la principale organisation de victimes (REVABH) ainsi que divers experts ont refusé l’invitation qui leur avait été adressée, estimant que l’équilibre des débats ne pouvait être respecté dans les conditions d’une telle précipitation et d’un tel manque de transparence.

Emises préalablement à l’audition (et à ce titre peu suspectes d’avoir été conçues à simple fin opportuniste), ces objections de principe se renforcent a posteriori des circonstances suivantes.

v Malgré l’acuité du débat portant sur les conflits d’intérêts des experts consultés par l’administration (cf. Experts et conflits d’intérêts sur le présent site), la liste des liens publiés à l’occasion de cette audition publique est grossièrement incomplète et, souvent, en désaccord flagrant avec celles, pourtant bien partielles, normalement disponibles à l’AFSSAPS. Pis : le seul « expert » ayant accepté de participer à la demande d’une association de victimes a, lui, carrément omis de transmettre sa propre déclaration…

v Malgré les dénégations effrontées de ses experts, relayées de façon complètement irresponsable par certains journaux (Libération 27/09/04, Le Monde 01/10/04 et 11/11/04), l’administration sanitaire s’est vue obligée de révéler l’existence d’une cohorte de scléroses en plaques pédiatriques suivie dans le plus parfait silence depuis maintenant près de 15 ans et qui atteste une impressionnante augmentation des cas, étrangement corrélée à la campagne vaccinale.

v Invitée pour désamorcer l’impression désastreuse causée par la diffusion des chiffres de prise en charge ALD depuis la généralisation de la vaccination dans notre pays (cf. Les chiffres), la CNAM n’a pas pu faire mieux que reprendre, au titre d’une simple éventualité théorique, l’argument pourtant bien facile à réfuter d’une augmentation des ventes d’interféron (cf. Ré-évaluation) : en tout état de cause, que l’assurance maladie française ne soit même pas en mesure de produire les statistiques précises des médicaments qu’elle rembourse (à un prix d’ailleurs exorbitant) en dit long sur la fiabilité des « expertises » sur lesquelles l’administration s’obstine à fonder sa politique sanitaire…

Inattendu compte tenu de cette accumulation récente d’alertes graves, le verdict du « jury » reprend, presque à l’identique, des recommandations vaccinales fondamentalement inchangées depuis de longues années : cette sidérante imperméabilité aux données nouvelles conforte ceux des experts qui avaient a priori disqualifié l’audition publique comme « simple mystification visant à maintenir le statu quo », exaspère les victimes, et finit par intriguer les professionnels de santé les moins suspicieux, comme attesté par ce titre provocateur du Moniteur des Pharmacies : « L’Afssaps s’emmêle » (20/11/04).
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