Maladie de Lou Gehrig (Sclérose Latérale Amyotrophique) et Guerre du Golfe :
confirmation d’un lien certain.
Suite à une étude épidémiologique menée à l’hôpital des vétérans situé à Durham (North Carolina) à partir des archives de 2,5 millions de vétérans, les Départements de la Défense et des Anciens Combattants (aux USA) ont confirmé qu’il existait un lien entre la maladie de Lou Gehrig (Sclérose latérale amyotrophique) et la Guerre du Golfe.
Le risque de développer cette maladie serait en effet deux fois plus élevé chez les vétérans directement engagés dans le conflit du Golfe, que chez leurs collègues militaires qui ne sont jamais allés sur des zones de combat. Parmi les 700 000 soldats envoyés au combat entre août 1990 et juillet 1991, [color=red]le risque était en effet de 6,7 soldats sur un million, alors [color:61430a5a33=red:61430a5a33]qu’il ne s’élevait qu’ à 3,5 soldats sur un million pour les autres. En outre, ce risque est différent selon l’affectation des soldats.
Ainsi, les vétérans de l’Armée de l’Air ont 2,7 fois plus de risque de développer cette maladie, alors que ce risque est moins élevé chez leurs collègues de l’Armée de Terre et qu’il est identique à celui des soldats n’ayant pas participé au combat, chez les vétérans de la Marine et du Marine Corps.
La maladie frappant le plus souvent des personnes âgées de plus de 45 ans, le fait que quatre vétérans encore jeunes aient été atteints (dont certains sont déjà morts) inquiète les épidémiologistes qui cherchent à savoir quels facteurs pourraient expliquer cette observation, tout comme les autres symptômes du dit « syndrome du golfe » dont de nombreux vétérans se plaignent.
Sur leur carnet de vacciantion lhépatite b n est pas mentionné alors il est sur que d autre vaccinations sont incriminés dans la SLA.