QUINOLONES...VACCIN DE L HEPATITE B. VACCIN H1N1. ET AUTRES
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dan
Rang: Administrateur* LA SANTE DE NOS ENFANTS EN DANGER
dan


Nombre de messages : 4785
Date d'inscription : 24/10/2004

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MessageSujet: infos   infos EmptyMar 29 Mar - 23:58

Avant toute vaccination, le médecin, comme « celui qui réalise la
prescription », c’est-à-dire le pharmacien, l’infirmière, voire l’inspection
académique, sont ainsi tenus d’informer le patient des complications
éventuelles liées au mode de préparation et à la composition des vaccins.

Utilisation des produits sanguins bovins et humainsEn octobre 2000, les autorités britanniques suspendaient un vaccin contre la
polio dont le sérum de veau provenait d’un pays d’origine suspecte en
matière d’encéphalopathie spongiforme (ESB) transmissible par voie sanguine
de la vache au veau, comme l’indique une étude scientifique rendue publique
le 11 février 1997 et reprise par Le Monde du 14 février 1997. Cette
décision britannique est conforme aux positions de l’OMS et de la FAO pour
lesquels aucun pays ne peut être considéré indemne d’ESB.

Les autorités françaises, qui ne perdent aucune occasion pour critiquer les
faiblesses du système sanitaire britannique - oubliant trop facilement
qu’ils n’ont pris les mêmes mesures de précaution dans l’ESB que dix ans
plus tard - n’ont évidemment pas étendu cette mesure de précaution au BCG et
à la majorité des vaccins qui font appel à la bile de bœuf ou au sérum de
veau comme milieu nutritif (SFV).

Pour éviter de tels risques, Pasteur-Mérieux, qui affirmait en 1996 prendre
toutes les précautions – que l’on sait inefficaces - en chauffant le milieu
de culture à 120°, utiliserait depuis plusieurs années du SFV provenant de
pays qui seraient, selon lui, indemnes d’ESB comme les USA, le Canada,
l’Australie ou la Nouvelle-Zélande (Cf, Le Figaro du 20 octobre 2000).
Certains pays occidentaux qui se croyaient pourtant indemnes d’ESB
présentent à leur tour, avec un décalage de plusieurs années, des cas d’ESB
(Allemagne, Espagne, Autriche…), tandis qu’une curieuse maladie de la «
vache couchée » sévit aux USA et que les bisons d’élevage américains, comme
les bovins depuis février 2001, sont par ailleurs touchés par
l’encéphalopathie spongiforme.

Très récemment, deux médecins danois ont exprimé leurs craintes face au
risque de transmission de la maladie de Creutzfeldt-Jakob,-- variante
humaine de la maladie de la "vache folle", par le vaccin contre la rougeole,
les oreillons et la rubéole, ROR (AFP du 20 août 2001). Ce vaccin contient
en effet de l'albumine humaine, produite à partir d'un mélange de milliers
de portions de plasma sanguin testé pour le VIH du sida et l'hépatite
virale, mais non pour la maladie de la "vache folle" ou le virus SV 40,
cancérigène et infectieux.

Est-ce pour ces raisons que le gouvernement français a décidé de suspendre
le don du sang pour les français ayant séjourné un an en Grande-Bretagne
entre 1986 et 1996 ?

Individualisation d’une maladie vaccinale : La myofasciite à macrophages
(MFM)

Décrite pour la première fois en 1997, la myofasciite à macrophages se
manifeste essentiellement par une fatigabilité intellectuelle, une fatigue
physique persistante et des douleurs musculaires et articulaires diffuses,
devenant rapidement chroniques et invalidantes. Des troubles digestifs et
urinaires, de la toux ou des céphalées sont également observés mais plus
rarement.

La fréquence de cette nouvelle maladie ne cesse de croître. : 93 cas en
octobre 2000, 150 cas en avril 2001, plus de 200 début 2002 – dont un tiers
paradoxalement chez la population médicale ou paramédicale - avaient été
recensés dans quatre centres de pharmacovigilance. La sous-notification est
donc certainement très importante d’autant plus que les symptômes décrits
présentent une grande similitude, sans écarter une origine multifactorielle,
avec ceux du Syndrome de la Guerre du Golfe — et des Balkans — (plus de
1.000 cas en France) ainsi qu’avec la fibromyalgie « fourre-tout » (1
300.000 cas à large prédominance féminine toutefois, dont plus de 10% de
formes aigües) et le syndrome de fatigue chronique ou encéphalomyélite
myalgique des anglosaxons (100 à 200 cas pour 100.000 habitants dans le
monde occidental). Cette terminologie cadre mieux avec le tableau clinique
de toutes ces affections qui ont en commun une atteinte des fonctions
cérébrales que la myofasciite à macrophages ne suggère pas dans sa
définition.
Apparaissant en moyenne trois ans après la vaccination, avec un délai
maximum de dix ans, les troubles sont associés dans un tiers des cas à une
maladie auto-immune, le plus souvent une sclérose en plaques, suggérant
ainsi une augmentation sensible des scléroses en plaques après la
vaccination hépatite B.

La relation de cause à effet avec les vaccins faisant appel à l’hydroxyde
d’aluminium a été formellement établie en octobre 1998 avec la découverte
systématique, après biopsie musculaire au point d’injection, de lésions
histologiques caractéristiques sous forme de cristaux d’aluminium dans des
cellules du système immunitaire : les macrophages (cf. Ghérardi et all., «
Macrophagic myofasciitis : a reaction to intramuscular injections of
aluminium containing vaccines » Journal of Neurology n° 246, 1999).

Après avoir réclamé en octobre 1999 une étude épidémiologique pour confirmer
les liens entre les lésions musculaires de la MFM, les symptômes cliniques
des malades et les vaccinations, le Comité Consultatif pour la Sécurité des
vaccins de l’OMS « a conclu à un lien de causalité très probable entre
l’administration d’un vaccin contenant de l’hydroxyde d’aluminium et la
présence de la lésion histologique caractérisant la MFM ».

Cette étude épidémiologique ne sera finalement lancée qu’en février 2002. Il
est vrai que nos autorités craignent un nombre de MFM beaucoup plus élevé.
Ne diagnostique-t-on pas 4 à 6 nouveaux cas par semaine en France uniquement
sur Paris par biopsie.

Pratiqué en Belgique, en Allemagne et en Suède, un test sanguin, beaucoup
moins traumatisant, permettrait de déterminer rapidement l’étendue des
dégâts. Il s’agit du test Melisa qui réactive la mémoire des lymphocytes qui
auraient pu être en contact avec des métaux lourds comme l’aluminium ou le
mercure. Ce test tranchera notamment pour les fibromyalgies liées à des
pesticides ou à l’aspartame en dehors d’une étiologie vaccinale.
Si la maladie a été jusqu’à présent observée essentiellement après les
vaccins Hépatite B et Tétanos, on ne peut écarter les 25 autres vaccins
commercialisés en France faisant appel à l’aluminium pour ses propriétés de
stimulation prolongée de l’immunité. Les doses d’aluminium retrouvées dans
ces vaccins, dont les vaccins obligatoires diphtérie, tétanos et polio, sont
de l’ordre de 650 µg par dose alors que les normes européennes fixent son
seuil d’utilisation à 15 µg par litre.
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