Ces adjuvants sont en fait redoutables en tant que poisons et allergènes.
Les plus fréquemment utilisés sont l’HYDROXYDE d’ALUMINIUM, l’ACIDE PHéNIQUE, certaines SAPONINES, le FORMOL...
1. Leur action est simple à expliquer : ils modifient le terrain BIO-ELECTRONIQUE du patient[3], l’éloignant de celui qui correspond à la maladie dont on veut le protéger par le vaccin... Les maladies étant par essence un problème de terrain, et non d’inoculation extérieure, il est bien évident qu’elles ne peuvent se développer dans ces conditions. (Il serait tellement plus simple de se contenter de modifier ce terrain bio-électronique par la prise de vitamine C, par exemple ! Mais ce n’est pas toxique, et insuffisamment rentable, même si c’est encore bien cher à mon sens...)
2. Le vaccin est, nous l’avons vu suffisamment, totalement inefficace la plupart du temps pour assurer une réelle protection. Ce qui explique que l’efficacité d’un vaccin ‑ si elle existe ‑ n’est jamais très durable, puisqu’elle repose essentiellement sur l’inoculation de ce poison. Ce qui explique la nécessité des rappels : fréquents... et rentables, bien sûr !
Tout cela est bel et bon, en apparence... Sauf que...
1. Sauf que l’hydroxyde d’aluminium, le plus utilisé de nos jours, correspond au terrain bio-électronique de la FOLIE, de l’AUTISME et des névroses profondes[4]...
2. Sauf que ce poison ‑ à la dose de 60 microgrammes par litre de sang, commence à nécroser le tissu nerveux noble, le transformant progressivement en « éponge », avec des lésions strictement comparable, sur le plan anatomique, à ce que l’on observe dans les encéphalites dites à prions.
3. Sauf que chaque dose vaccinante renferme environ 1250 microgrammes d’aluminium[5].
4. Sauf que personne ne tient jamais compte de l’état rénal du patient, qui permettrait éventuellement une élimination plus ou moins complète de ce poison.
5. Sauf que même sur un individu dont la fonction rénale serait en excellent état, ce poison se comporte comme un leurre du FER (indispensable à l’intérieur de l’hémoglobine des globules rouges pour le transport de l’oxygène). Ce qui fait que la plus grande partie de l’ALUMINIUM inoculé vient prendre momentanément la place du FER dans les globules rouges, ce qui lui permet de transiter en toute impunité vers le cerveau... Où il va pouvoir commencer les lésions de nécrose irréversibles...
Mais qu’à cela ne tienne, il suffira d’inventer un nouvel agent causal, le PRION, pour expliciter la flambée de ces encéphalites. Il suffira d’inventer un nouveau syndrome, celui de Alzheimer, pour justifier la flambée des cas de démences séniles précoces. Il suffira d’inventer quelques nouveaux noms à donner à telle ou telle maladie, scléroses en plaques, syndromes de West (sclérose en plaque de l’enfant agrémenté de crises d’épilepsie), pour redorer le blason du dogme de la Médecine Officielle...
Oui mais...
La communauté scientifique ne se résume plus aujourd’hui aux seuls membres du Prestigieux Institut Pasteur.
Alors, les vérités indésirables fusent un peu partout... Prouvant que les catastrophes étaient prévisibles depuis bien des années déjà.
Prouvant que le fameux PRION ne risque pas de tout expliciter...
En conclusion :
La pratique des vaccinations pourrait bien être responsable de l’empoisonnement de la population animale et humaine de la planète. Et elle pourrait être à l’origine, en particulier :
1. de l’éclosion des encéphalites et autres dégénérescences,
2. de la plupart des cancers et autres maladies dites de civilisation,
3. des cas de tératogenèse (monstruosités) des enfants nés d’individus vaccinés,
4. de la montée du stress et de la violence.
Le scandale du sang contaminé et de l’hormone de croissance sont de faux scandales.
Le seul vrai scandale, ce sont les vaccins, outils générateurs de mort et de maladie, véritable pactole financier tant pour les trusts pharmaceutiques et vaccinaux que pour le corps médical dans son ensemble. Ce qui explique aisément la pérennité du dogme pasteurien, pourtant sans le moindre fondement scientifique sérieux. Et les prétendus mécanismes de contagion s’expliquent bien facilement par la présence systématique de poisons dans les aliments animaux, par la montée du stress, par l’inoculation des horreurs vaccinales.