dan Rang: Administrateur* LA SANTE DE NOS ENFANTS EN DANGER
Nombre de messages : 4785 Date d'inscription : 24/10/2004
| Sujet: Hormone de croissance : "On nous tue nos enfants une Mer 14 Jan - 19:11 | |
| http://www.lepoint.fr/actualites-societe/ecoutez-hormone-de-croissance-on-nous-tue-nos-enfants-une/920/0/306627 honte à la justice ceux qui ont distribué l hormone de croissance aux enfants savaient très bien le prob de stérilisation, les hormones étaient prise sur des morts en Russie dans les morgues par de simples employés qui n utilisaient même pas de gants ils enlevaient les hypophyses avec des tringles. et on en vient toujours au même point pour LE FRIC 'institut avait pignon sur rue PASTEUR tout est permis donc. | |
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dan Rang: Administrateur* LA SANTE DE NOS ENFANTS EN DANGER
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| Sujet: le parquet fait appel pour trois relaxés Jeu 15 Jan - 15:27 | |
| http://www.viva.presse.fr/Hormone-de-croissance-le-Parquet_11285.html il faut une justice finalement comme le sang contaminé les instituts labos ont droit à empoisonner les citoyens. je ne comprends même pas que l on puisse avoir donné de l hormones de croissance contaminés sans moyens de stérilité, c est incroyable - Code:
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de croissance Hormone de croissance : 7 personnes devant la justice
* Sur les 2000 enfants traités entre 1983 et 1985, 110 ont succombé à la maladie de Creutzfeldt-Jakob contenue dans plusieurs lots contaminés. * Dès 1980, le professeur Luc Montagnié avait pourtant alerté l'Institut Pasteur sur les risques de contamination infectieuse lié à l'utilisation de l'hormone d'origine humaine.
Sept prévenus comparaîtront fin 2007 devant le tribunal correctionnel de Paris pour leur responsabilité dans le scandale de la fabrication et de la diffusion d'hormones de croissance contaminées par la maladie de Creutzfeldt-Jakob entre 1983 et 1985. Durant cette période, plus de 2000 enfants avaient été traités, et 110 sont décédés entre 1990 et 2007.
L'enquête, ouverte en 1991, a mis en évidence la contamination de plusieurs lots d'hormones et des dysfonctionnements en France dans la collecte sur des cadavres d'hypophyse, une glande située à la base du cerveau, utilisée dans la fabrication de l'hormone de croissance dite "extractive". La collecte était centralisée par l'association France-Hypophyse, qui détenait le monopole en France. L'hormone était ensuite fabriquée dans le laboratoire URIA de l'Institut Pasteur à Paris où la justice également relevé des anomalies.
[color=red]Prélèvements dans les morgues[/color]
Dès 1980 pourtant, le professeur Luc Montagnié avait alerté ce laboratoire sur les risques de contamination infectieuse liés à l'utilisation de l'hormone d'origine humaine. Or, l'instruction a montré que la fabrication et la diffusion de l'hormone a continué de la même façon jusqu'en mai 1985. L'Inspection Générale des Affaires Sociales (IGAS) avait également révélé en 1992 que des prélèvements s'étaient faits au mépris des précautions les plus élémentaires, dans certaines morgues de services de maladies infectieuses.
Parmi les personnes renvoyées figurent des dirigeants de France-Hypophyse, de l'institut Pasteur, ou encore des médecins collecteurs des hypophyses. Tous devront répondre des chefs d'"homicide involontaire" et "tromperie aggravée", à l'exception d'un prévenu, qui devra répondre uniquement de la première qualification. | |
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