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 AVIGOLFE (le Quotidien du Médecin)

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dan
Rang: Administrateur* LA SANTE DE NOS ENFANTS EN DANGER
dan


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Date d'inscription : 24/10/2004

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MessageSujet: AVIGOLFE (le Quotidien du Médecin)   AVIGOLFE (le Quotidien du Médecin) EmptyMer 9 Mai - 11:58

Objet : AVIGOLFE (le Quotidien du Médecin)


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Le Quotidien du Médecin du 03/05/07.(www.quotimed.com) Page informations
générales.
Syndrome de la Guerre du Golfe DES TROUBLES OBJECTIFS à L’IRM. Une étude
présentée lors du congrès annuel de l’Américan Académy of Neurology révèle que
chez les soldats de la guerre du Golfe, le nombre de symptômes est associé à
des anomalies structurelles à l’imagerie cérébrale (IRM). Ces anomalies sont
corrélées à une moindre performance aux tests de mesures de l’apprentissage et
de la mémoire. Des anomalies qui, selon les chercheurs, seraient la conséquence
d’une exposition à des substances toxiques. DE NOMBREUSES études
épidémiologiques ont montré que les vétérans de la première guerre du Golfe
sont plus susceptibles de souffrir de problème de santé que les soldats
déployés sur d’autres conflits. Le termes de « syndrome de la guerre du Golfe
», proposé pour décrire ces symptômes multiples et mal définis, est parfois
contesté. Une enquête britannique indépendantes avait conclu en 2004 qu’aucune
raison médicale ne s’opposait à ce que ce les troubles observés soient
regroupés sous le même syndrome (« le quotidien » du 23 novembre 2004 et du 4
novembre 2005). Une nouvelle étude présentée lors du 59e Congrès de l’Américan
of Neurology apporte encore des arguments en faveur de l’existence de ce
syndrome. Elle a inclus 36 anciens combattants (dont 5 femmes) du conflit de
1990-1991. La moitié d’entre eux se plaignaient depuis leur retour de nombreux
symptômes, plus de 5, tels que des troubles de la mémoire ou de la
concentration, des maux de têtes, des éruptions cutanées, des nausées ; l’autre
moitié souffrait d’un nombre de symptômes peu élevés (moins de 5). L’examen IRM
a mis en évidence des différences significatives entre les deux groupes. Chez
les vétérans polysymptomatiques, le volume de certaines structures cérébrales
était significativement diminué par rapport à celui du groupe
paucisymptomatique : une différence de 5% a été observée pour le cortex
cérébral ; de 6% pour la partie rostale du gyrus cingulaire antérieur. La
tendance existe aussi, même si elle est moins significative, pour le gyrus
cingulaire postérieur et le noyau caudé. Performances en baisse. Plus encore,
les anomalies de structure observées sont significativement corrélées aux
performances obtenues aux test d’apprentissage et de mémoire (cvlt, Carolina
Verbal learning Test). Le Test comporte la présentation successive de la
liste(A et B). Lors de la présentation de la liste A (16 mots de 4 catégories
sémantiques) qui mesure l’habileté à se rappeler, les performances de sujets
polysymptomatiques sont moins bonnes de 15% que celles des sujets
paucisymptomatiques ; lors du test avec la liste B, la différence est de 12%.
Plus le volume des structures est faible, moins bonnes sont les performances.
L’origine des différences de volumes des structures cérébrales parmi les
soldats reste à déterminer, mais les chercheurs avancent l’hypothèse d’une
exposition à certaines substances lors du conflit. « De nombreuses troupes ont
été exposées à des substances telles que des pesticides et des études ont déjà
montré qu’elles avaient un effet délétère sur le système nerveux central », a
déclaré Robeta White, un des auteurs de l’étude, professeur à l’école de santé
publique (université de Boston) Dr LYDIA ARCHIMEDE.
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