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 un livre

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Tandalu
chercheur confirmé*
Tandalu


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Localisation : Paris 18ème
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MessageSujet: un livre   un livre EmptyMer 22 Déc - 22:54

Juste un petit renseignement sur le livre d'un auteur qui ne mâche pas ses mots, c'est un ancien cadre d'une société pharmacologique qui dénonce les activités de son ex-employeur.

Je pense que cela devrait être lu par tous et mêmes les jeunes dans les colllèges et lycées pour qu'ils comprennent dans quel monde nous vivons !!!

Le grand secret de l’industrie pharmaceutique de PHILIPPE PIGNARRE
La Découverte, coll. « Cahiers libres », Paris, 178 pages, 14,50 euros


Voici ce qu'en pensent certains journaux :

Citation :

Au nord comme au sud de la planète, l'industrie pharmaceutique n'a pas bonne presse et semble avoir réussi à gâcher le capital de sympathie que lui avaient valu ses grandes découvertes des années 1960 et 1970. Ainsi, l'opinion publique a été choquée quand elle a appris que les plus grands laboratoires pharmaceutiques mondiaux attaquaient en justice le gouvernement d'Afrique du Sud qui voulait fabriquer et importer des médicaments génériques pour soigner les malades du sida. Et dans beaucoup de pays, les mêmes laboratoires ont réussi jusqu'à présent, de mille manières, à freiner le recours aux génériques, médicaments bon marché qui aideraient pourtant à réduire le trou de la Sécu ". En rappelant ces dérives, Philippe Pignarre, qui a travaillé dix-sept ans dans l'industrie pharmaceutique, explique comment les industriels du médicament en sont arrivés là. Et comment ils tentent de convaincre les gouvernements du caractère inéluctable de cette dérive. Surtout, il s'interroge sur les causes de ce scandale. L'industrie pharmaceutique serait-elle dirigée par des hommes assoiffés de profits et d'abord soucieux de "marchandiser" cyniquement la souffrance humaine ? Cette explication est trop simple et, surtout, elle ne correspond pas à la réalité. L'enquête minutieuse menée par l'auteur montre que l'industrie pharmaceutique a changé pour des raisons beaucoup plus profondes : elle cache un secret qui menace son existence même. L'objectif principal de ce livre est de dévoiler ce secret et de proposer des moyens d'agir pour inverser le cours actuel. " Ce livre fait peur. Il effraiera autant les grands industriels de la pharmacie, dont tous les "secrets" sont dévoilés par celui qui fut l'un des leurs, que les citoyens, usagers, malades en puissance que nous sommes.
Citation :

Philippe Pignare nous fait découvrir les dessous de l’industrie pharmaceutique mondiale et ils n’ont franchement rien d’affriolant. Aguicheurs en surface – ne sont-ils pas au service de notre santé ? –, les grands laboratoires apparaissent dans ce livre pour ce qu’ils sont : les représentants d’un secteur industriel prospère, désormais confronté à un avenir moins rose et prêt à tout pour sauvegarder ses profits.
L’industrie pharmaceutique est aujourd’hui l’activité la plus rentable du monde, avec un taux de profit moyen de l’ordre de 19 %, devant les banques (16 %). Comment obtient-elle ces résultats ? La pharmacie est un secteur où les coûts de recherche de nouveaux médicaments sont extrêmement élevés, mais où les coûts de fabrication sont très faibles : un médicament vendu 30 euros ne coûte pas plus de 2 euros à fabriquer. Cela rapporte tant que l’argent investi permet d’inventer de nouveaux médicaments. C’est là que le bât blesse, explique Philippe Pignare. Depuis 1975, alors que les coûts de conception des médicaments explosent (notamment du fait d’exigences plus fortes de la part des pouvoirs publics), le rythme des inventions diminue. Un effet de ciseaux qui se produit juste au moment où les brevets protégeant plusieurs médicaments sources de gros profits vont tomber dans le domaine public et pourront donc être copiés et vendus beaucoup moins cher.

Une stratégie de rentee
Ce livre décrit par le menu l’ensemble des stratégies mises en œuvre par les laboratoires pour continuer à gagner beaucoup d’argent. Il y a d’abord eu les fusions, censées permettre des économies d’échelle et qui se passent moins bien que prévu. Puis le recours à de petites entreprises de biotechnologies branchées sur la recherche universitaire. Mais le grand bond en avant thérapeutique attendu n’a pas eu lieu. Il y eut aussi le rêve de la génétique : faire croire que les maladies d’origine microbienne ou virale pour lesquelles les labos ne trouvent pas de médicaments sont d’origine génétique. C’est vrai pour quelques-unes, mais elles touchent des populations limitées et ne pourront servir de planche de salut en termes de sources de profits. Et là aussi, les résultats thérapeutiques ont été minces.
Et puis il y a les solutions plus « originales » : par exemple, miser sur la notoriété d’un médicament pour décliner des produits cosmétiques associés. Il y a également les comportements illégaux : truquer les résultats des essais, payer des chercheurs pour qu’ils publient tout le bien qu’ils pensent de tel médicament afin d’influencer les médecins, se servir des populations du Sud comme cobayes…
Mais le dossier qui fait aujourd’hui l’actualité est celui des brevets protégeant les médicaments existants. L’industrie pharmaceutique fait remarquer que la durée de vie des brevets est trop courte. Par rapport à quoi ?, questionne à juste titre Philippe Pignare. Et la réponse est : par rapport au rythme d’invention insuffisant de nouveaux médicaments, ce qui incite les laboratoires à vouloir conserver le plus longtemps possible le monopole des anciennes innovations. D’où la féroce bataille autour des médicaments génériques.

Tout faire pour verrouiller le marché
Pour les médicaments dont la formule tombe dans le domaine public, les laboratoires cherchent toutes les stratégies permettant d’éviter le développement de la concurrence. La première consiste à devenir eux-mêmes producteurs de génériques de leurs propres médicaments. En fabriquant un générique vendu 10 % moins cher que l’original, un labo réduit le bénéfice qu’un outsider aurait pu obtenir en le vendant 30 % à 40 % moins cher ; dans ces conditions, engager des capitaux devient moins rentable pour celui-ci. Quant au laboratoire, il ne fera bien sûr aucun effort pour commercialiser son générique… Une autre stratégie consiste à multiplier les batailles juridiques et politiques. Ainsi, le dossier de l’accès aux médicaments des pays les plus pauvres est aujourd’hui bloqué à l’Organisation mondiale du commerce, les puissants laboratoires américains étant relayés par leur gouvernement.
Jusqu’ici, les laboratoires ont pu sauver leurs profits… au détriment de la Sécurité sociale. Des solutions existent et plusieurs pistes précises sont préconisées par Philippe Pignare. La bataille est politique : elle repose sur la capacité et la volonté des Etats à définir, au niveau national et international, des priorités en termes de santé publique et à ne soutenir que les laboratoires qui acceptent de les respecter.

Bonne lecture
Marie-Laure

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fanfan
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fanfan


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Date d'inscription : 14/12/2004

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MessageSujet: Re: un livre   un livre EmptyJeu 30 Déc - 9:45

.... et en surplus, Marie-Laure, combien de souffrance animale pour rien!!!!!toi qui a un chien comme moi, tu me comprends.

Pour la vaccination hepatite B elle a ete testee aussi et l'animal a-t-il pu decrire les symptomes que nous avons, deja les docs ont mis un foutu temps pour reagir, en passant par toutes sortes de maladies( problemes rhumato, psychiatriques, veineux, zona et neurologiques..) pour toi Dan je crois que c'etait aussi tuberculeux. et il a fallu du temps pour developpé certaines pathologies. IL ne garde pas les animaux 10 ans pour voir l'evolution. Les souris vivent pas tres longtemps.
Pour l'argent que de souffrance pour rien, c'est comme les produits menagers, Que Choisir met en allerte les consommateurs, sur les risque de developper des cancers et toutes les pathologies, comme les allergies, qui ont ete testé sur les animaux, ce n'est pas un modele fiable, puisque nous sommes differents.
Dailleurs ils ne peuvent pas testé les aliments, donne du chocolat a ton chien et tu le conduis a la mort. Je ne supporte plus ces comportements et je fais fait parti d'une asso pour le respect de l'animal, nous sommes a la traine parmi les pays europeens. Je suis une ecorchée vive parfois, surtout depuis cette vaccination.

Fanfan
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