Encéphalites Spongiformes et Maladies de Alzheimer :
PRIONS, maladies génétiques
ou bien empoisonnement ?
A l’heure actuelle, la Médecine attribue à chaque maladie ou presque un agent causal particulier, venant de l’extérieur. On a parlé en premier lieu de microbes, puis de virus, maintenant de prions...
Et comme dans certains cas, il n’est pas possible de retrouver ce type d’agent causal, on parle maintenant de maladie génétique. Il y aurait une déficience d’un gène, en d’autres termes une anomalie du capital héréditaire.
Ces conceptions font suite aux idées de Mr Louis PASTEUR et ont pris un caractère très dogmatique, que personne n’a intérêt à discuter. Elles impliquent l’existence d’un système immunitaire défensif... Et par conséquent la mise en oeuvre de moyens visant à renforcer ce système immunitaire, en particulier les vaccins.
Restent à expliciter les maladies auto-immunes, les cancers et les dégénérescences des tissus et des organes.
Mais ces explications sont-elles sérieuses, peut-on s’y fier vraiment ?
C’est la question que l’on peut se poser aujourd’hui, face au scandale de la Vache Folle, de la Tremblante du Mouton, des encéphalites abiotrophiques des humains (Maladie de Kreutzfeld Jacob).
Que la vache et le mouton soient rendus fous par les pratiques anti-naturelles de l’homme, cherchant le rendement plutôt que la qualité, c’est une évidence.
Après les horreurs du nazisme, comment peut-on aujourd’hui justifier les élevages en batterie, avec des animaux herbivores de nature qui ne voient jamais l’herbe ou le soleil, qui sont stockés dans des espaces de béton et d’acier, sans pouvoir seulement se retourner ?
Comment peut-on justifier toute cette récupération de carcasses d’animaux malades, pour en faire des « farines » dites « complément nutritionnel » !
On a attribué au prion la cause de ces maladies. Pourtant, la cause première, la plus évidente, est bien évidemment le stress et la souffrance, imposés par la folie de l’homme.
Et il y a une deuxième cause, tout aussi claire et évidente, liée la pratique des vaccinations qui touche hommes et bêtes !
Car l’homme veut stimuler l’immunité en inoculant aux animaux et aux hommes - ses enfants en particulier - des « soupes » de ces agresseurs, de ces miasmes... Soi-disant pour faire fabriquer par l’organismes de magiques anticorps, que l’on prétend capables d’annihiler leur intrusion ! Mais ces soupes ou vaccins ne sont pas sans problèmes...
1) Ils nécessitent pour leur fabrication une véritable « cuisine » qui relève de l’invraisemblable :
1. usage de cellules cancérisées,
2. usage de produits bovins pouvant - théoriquement - être contaminés par d’autres bébêtes,
3. usage d’outils de manipulation génétique...
4. risque continu de contaminations étrangères imprévisibles.
Le produit fini inoculé n’étant par hypothèse jamais pur, on peut se demander - si l’on dispose encore d’un minimum de sagesse - quels sont les risques que l’on fait encourir aux patients...
2) Ils provoquent une spécialisation indéniable du système immunitaire dans le sens de la fabrication de ces magiques anticorps... Or, depuis quelques années, tout le monde sait qu’effondrement immunitaire (SIDA) rime avec « matelas » d’anticorps - au détriment des moyens efficaces de lutte contre virus, germes et cancers (lymphocytes CD4 et CD8, Interféron, Tumor Necrosis Factor...)
3) Leur inefficacité est tellement patente que les grands promoteurs du Dogme vaccinaliste trichent en ajoutant à leurs « soupes » des substances chimiques toxiques... les Adjuvants de l’Immunité !
L’aventure date de Pouilly le Fort - juillet 1881 - et de Mr Louis Pasteur en personne !.Ce monsieur met en route une expérience célèbre qui va consacrer sa gloire,... et son imposture. Il use de deux lots d’animaux en ce village, vaches et moutons, et inocule à chaque bête le germe sauvage de la maladie du CHARBON. L’un des deux lots était bien sûr préalablement vacciné. Curieux et journalistes n’en croient pas leurs yeux, le lot des vaccinés survit à peu près, malgré quelques animaux mal en point, alors que le lot des non-vaccinés est décimé. La victoire est apparemment éclatante... Voire...
1. Le vaccin utilisé n’est pas celui de Pasteur mais bien celui de ses concurrents, le Dr TOUSSAINT (médecin et vétérinaire) pour l’idée originale, les Drs ROUX et CHAMBERLAND, pour la mise au point. Ce sera pourtant Pasteur qui empochera la légion d’honneur peu de temps après. Le Dr Toussaint meurra oublié de tous.
2. Il faut savoir que Toussaint avait usé d’un ADJUVANT de l’IMMUNITÉ, à savoir une substance chimique additionnée secrètement au vaccin en lui-même. (Bichromate de Potasse dans le cas précis).
3. De multiples chercheurs de par le monde ont réitéré l’expérience de POUILLY le FORT, et ce fut chaque fois l’échec total. Les questions posées à Pasteur en ces occasions n’ont eu comme réponse que des invectives hautaines quant au mode de préparation du vaccin. Il s’est toujours refusé à admettre le rôle de cet adjuvant.
A l’heure actuelle, ces adjuvants de l’immunité sont toujours et systématiquement employés pour tous les vaccins, quels qu’ils soient. Certes, il n’est plus possible d’en nier l’existence, mais ils sont mentionnés « en cachette », dans la rubrique « excipients », afin que l’on n’y prête pas trop attention !
Ils sont officiellement considérés comme « INDISPENSABLES mais DANGEREUX » (Science, novembre 1993, n° 1993, spécial Immunité).
Ces adjuvants sont en fait redoutables en tant que poisons et allergènes.
Les plus fréquemment utilisés sont l’HYDROXYDE d’ALUMINIUM, l’ACIDE PHéNIQUE, certaines SAPONINES, le FORMOL...
1. Leur action est simple à expliquer : ils modifient le terrain BIO-ELECTRONIQUE du patient, l’éloignant de celui qui correspond à la maladie dont on veut le protéger par le vaccin... Les maladies étant par essence un problème de terrain, et non d’inoculation extérieure, il est bien évident qu’elles ne peuvent se développer dans ces conditions. (Il serait tellement plus simple de se contenter de modifier ce terrain bio-électronique par la prise de vitamine C, par exemple ! Mais ce n’est pas toxique, et insuffisamment rentable, même si c’est encore bien cher à mon sens...)
2. Le vaccin est, nous l’avons vu suffisamment, totalement inefficace la plupart du temps pour assurer une réelle protection. Ce qui explique que l’efficacité d’un vaccin ‑ si elle existe ‑ n’est jamais très durable, puisqu’elle repose essentiellement sur l’inoculation de ce poison. Ce qui explique la nécessité des rappels : fréquents... et rentables, bien sûr !
Tout cela est bel et bon, en apparence... Sauf que...
1. Sauf que l’hydroxyde d’aluminium, le plus utilisé de nos jours, correspond au terrain bio-électronique de la FOLIE, de l’AUTISME et des névroses profondes...
2. Sauf que ce poison ‑ à la dose de 60 microgrammes par litre de sang, commence à nécroser le tissu nerveux noble, le transformant progressivement en « éponge », avec des lésions strictement comparable, sur le plan anatomique, à ce que l’on observe dans les encéphalites dites à prions.
3. Sauf que chaque dose vaccinante renferme environ 1250 microgrammes d’aluminium.
4. Sauf que personne ne tient jamais compte de l’état rénal du patient, qui permettrait éventuellement une élimination plus ou moins complète de ce poison.
5. Sauf que même sur un individu dont la fonction rénale serait en excellent état, ce poison se comporte comme un leurre du FER, indispensable à l’intérieur de l’hémoglobine des globules rouges pour le transport de l’oxygène. Ce qui fait que la plus grande partie de l’ALUMINIUM inoculé vient prendre momentanément la place du FER dans les globules rouges, ce qui lui permet de transiter en toute impunité vers le cerveau... Où il va pouvoir commencer les lésions de nécrose irréversibles...
Mais qu’à cela ne tienne, il suffira d’inventer un nouvel agent causal, le PRION, pour expliciter la flambée de ces encéphalites. Il suffira d’inventer un nouveau syndrome, celui de Alzheimer, pour justifier la flambée des cas de démences séniles précoces. Il suffira d’inventer quelques nouveaux noms à donner à telle ou telle maladie, scléroses en plaques, syndromes de West (sclérose en plaque de l’enfant agrémenté de crises d’épilepsie), pour redorer le blason du dogme de la Médecine Officielle...
Oui mais...
La communauté scientifique ne se résume plus aujourd’hui aux seuls membres du Prestigieux Institut Pasteur.
Alors, les vérités indésirables fusent un peu partout... Prouvant que les catastrophes étaient prévisibles depuis bien des années déjà.
Prouvant que le fameux PRION ne risque pas de tout expliciter...
En conclusion :
La pratique des vaccinations pourrait bien être responsable de l’empoisonnement de la population animale et humaine de la planète. Et elle pourrait être à l’origine, en particulier :
1. de l’éclosion des encéphalites et autres dégénérescences,
2. de la plupart des cancers et autres maladies dites de civilisation,
3. des cas de tératogenèse (monstruosités) des enfants nés d’individus vaccinés,
4. de la montée du stress et de la violence.
Le scandale du sang contaminé et de l’hormone de croissance sont de faux scandales.
Le seul vrai scandale, ce sont les vaccins, outils générateurs de mort et de maladie, véritable pactole financier tant pour les trusts pharmaceutiques et vaccinaux que pour le corps médical dans son ensemble. Ce qui explique aisément la pérennité du dogme pasteurien, pourtant sans le moindre fondement scientifique sérieux. Et les prétendus mécanismes de contagion s’expliquent bien facilement par la présence systématique de poisons dans les aliments animaux, par la montée du stress, par les inoculation des horreurs vaccinales.
Dan