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 Rapport James J. Tuite du 18 mars 1997 au Sénat américain

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dan
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MessageSujet: Rapport James J. Tuite du 18 mars 1997 au Sénat américain   Rapport James J. Tuite du 18 mars 1997 au Sénat américain EmptyJeu 16 Fév - 18:27

Rapport James J. Tuite du 18 mars 1997 au Sénat américain

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Développements internationaux dans la reconnaissance des effets des expositions à des produits chimiques de faibles niveaux Nicholas A. Ashford, Ph.D., J.D.

Le Dr Ashford félicite tout d’abord le gouvernement canadien d’avoir organisé ce symposium et tient à dire que la façon dont les États-Unis ont traité leurs anciens combattants est une « honte nationale ». Après avoir pris 20 ans pour reconnaître l’agent orange, tout ce que la Commission de la guerre du golfe a réussi à faire est de dire « que l’on ne peut éliminer avec certitude la possibilité d’un problème ».

Le Dr Ashford fait remarquer que la chimosensibilité compte pour environ 3 p. 100 de ses travaux. On lui demande souvent s’il croit en la PSC. Il ne s’agit pas, dit-il, d’une question de croyance, mais plutôt de devinette et d’essai. Son intention est non pas de persuader quiconque que la PSC existe bien, mais plutôt de la mettre dans un certain contexte, de discuter comment on peut en traiter de façon empirique, et de préciser où en sont les choses au niveau international.

Le Dr Ashford s’est tout d’abord intéressé à ce domaine en tant que consultant auprès du New Jersey Department of Environmental Health and Protection. Après avoir évalué le domaine auquel il était affecté, il a remis un devis de consultation de deux semaines pour le travail anticipé. Son collègue, le Dr Claudia Miller, une allergologiste-immunologiste, et lui ont passé les deux années suivantes à faire de la recherche sans recevoir pour autant une autre aide financière. « Ce domaine nous a véritablement ouvert les yeux sur des problèmes émergents en santé publique », tient-il à préciser.

En tant qu’avocat et scientifique à la fois, il croit en la divulgation totale. Sa collègue, le Dr Claudia Miller, et lui n’ont pas accepté d’argent ni n’ont témoigné pour un patient, ce qui leur permet ainsi « de pouvoir librement changer d’avis et de dire ce qui nous plaît ».

Il y a de plus en plus de preuves que l’exposition des êtres humains à des produits chimiques à de faibles niveaux, que l’on considérait à une époque sans danger, est dorénavant liée à des effets biologiques contraires, notamment des perturbations du système endocrinien, la chimosensibilité et le cancer. Ces répercussions sur la santé pourraient être reliées. La perturbation du système endocrinien peut rendre le foetus davantage susceptible au cancer. Ces effets découlent fort probablement d’un processus sous-jacent de perte de tolérance induite par produits chimiques (TILT) qui entraîne un certain nombre de maladies différentes, dont la PSC. De plus, mieux nous comprenons le cancer et mieux nous comprenons aussi les répercussions des expositions à de faibles doses. Le Dr Ashford fait notamment remarquer qu’une révision moderne de la théorie de Paracelse « C’est la dose qui fait le poison » pourrait être « l’hôte plus la dose font le poison ». Les êtres humains dans leur développement méritent une considération particulière.

Bien qu’une science émergente associée à une exposition à de faibles niveaux change la façon dont nous voyons les produits chimiques et la santé, de nouvelles théories voient le jour, avec difficulté toutefois. Il n’y a pas si longtemps encore, les chercheurs scientifiques étaient convaincus que l’acide causait des ulcères de l’estomac. Par la suite, une origine bactérielle a été trouvée, ce qui répond à un cours de deux semaines d’antibiotique. Il a fallu à peu près 20 ans depuis le moment où la cause a été suggérée pour la première fois pour que ceci émerge. « Si nous ne pouvons faire face à un problème d’ulcère, imaginez comment nous allons débattre de cette question », ajoute le Dr Ashford.

De plus en plus, des preuves font le lien entre les produits chimiques et les maladies auto-immunes (notamment lupus, sclérodermie, et arthrite rhumatoïde), trouble d’hyperactivité avec déficit de l’attention (THADA), autisme (un enfant sur six aux États-Unis est atteint d’autisme, d’agression ou de THADA), dépression, asthme dont le nombre a doublé au cours des dix dernières années), et enfin chimosensibilité, de même que le syndrome des bâtiments malsains (SBM), le syndrome de fatigue chronique (SFC), la fibromyalgie (FM), l’encéphalopathie toxique, le Syndrome de la guerre du golfe (SGG), etc.

Six caractéristiques communes donnent une nouvelle perspective de la maladie. Tout d’abord, la nature de la maladie constitue quelque chose de nouveau par rapport à la maladie classique (p. ex., tuberculose, problèmes cardiaques, etc.) en ce sens que les systèmes ou réseaux de communications sont la cible, plutôt que certains organes (bien que ceux-ci soient au bout du compte touchés). Ces réseaux comprennent les systèmes endocrinien, immunitaire et neurologique, lesquels sont tous influencés par le cerveau.

Deuxièmement, aucune cause unique n’a été identifiée, de même qu’il n’y a pas de biomarqueurs évidents pour l’exposition ou la maladie. Sans de tels biomarqueurs, l’épidémiologique classique n’est pas capable d’identifier des sous-groupes sensibles.

Troisièmement, ces nouvelles maladies sont caractérisées par un processus comportant plusieurs étapes, qui se manifestent après la présence de deux ou plusieurs étapes. À l’instar du cancer ou des maladies infectieuses, « il n’y a aucune preuve d’une maladie unique » pour la PSC. Nous en sommes arrivés à croire, selon le Dr Ashford, que la PSC est une catégorie de maladies. La distinction entre une maladie unique et une catégorie de maladies est extrêmement importante. Imaginons d’essayer de faire la distinction entre la diphtérie et le SIDA avant de comprendre les maladies infectieuses. Les médecins de l’époque auraient très bien pu facilement, et avec raison, dire « il n’y a aucune preuve d’une maladie unique ».

Dans de nombreux cancers, poursuit-il, la mise au point et la modification de la structure de base ADN/ARN est suivie par une promotion vers un cancer reconnu. De même, TILT comporte deux étapes : l’exposition originale à des niveaux élevés (ou exposition répétée à des niveaux plus faibles) d’un agent déclencheur, suivie par une série de symptômes provoqués par des produits chimiques à des niveaux quotidiens qui ne touchent pas la plupart des gens. Sans savoir que la première étape a eu lieu, on pourrait penser que la cause est par exemple le parfum. « Avec la PSC, nous avons malheureusement été concernés par les déclencheurs », de dire le Dr Ashford. « Si nous nous concentrions sur la cause du déclenchement, nous pourrions alors éliminer la plupart des problèmes. »

Le quatrième fil commun est celui du temps et du moment. Dans le cas du cancer, le temps depuis le déclenchement de la cause jusqu’à la maladie se mesure en décennies. Comme cela est le cas pour l’amiante, seul le temps révèle au bout du compte la relation entre la cause et la maladie. Le fait que nous ne pouvons trouver une relation sans équivoque de cause à effet entre les expositions à des produits chimiques et la PSC ne signifie pour autant qu’il n’en existe pas. Une partie du problème peut être une concentration sur les déclencheurs plutôt que les initiateurs. Par ailleurs, la période des doses initiales est importante. De petites doses à des périodes stratégiques peuvent déboucher sur une perte pathologique de la tolérance. Il existe des modèles animaux chez lesquels cela est très clair, dans le travail sur la sensibilisation chronologique, toujours selon le Dr Ashford.
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MessageSujet: suite   Rapport James J. Tuite du 18 mars 1997 au Sénat américain EmptyJeu 16 Fév - 18:27

Le changement apparent par rapport aux explications classiques de la maladie est le cinquième fil. Traditionnellement, on s’attendrait à une relation lumière entre la dose et la réaction. Les modèles toxicologiques et épidémiologiques reposent sur des agents simples causant des niveaux plus élevés de maladie de façon régulière, ce qui n’explique pas ces maladies. Il n’y a pas de relation monotonique entre la dose et la réaction.

Le dernier fil est le processus sous-jacent de la maladie qui semble différent par rapport aux maladies classiques sous-jacentes. La perturbation du système endocrinien se produit à des niveaux trois à six fois moins élevés que ceux que nous associons traditionnellement aux effets toxiques. En outre, les processus morbides sous-jacents à ces nouvelles maladies peuvent être interreliés. La perturbation du système endocrinien mène à des problèmes du système immunitaire, ce qui débouche sur le cancer. Cela ne veut pas dire que les perturbateurs du système endocrinien causent directement le cancer, mais s’ils permettent à davantage de récepteurs de se constituer dans le sein ou la prostate, par exemple, des personnes pourraient être davantage susceptibles à un cancer.

Le Dr Ashford précise ensuite qu’en compagnie du Dr Miller il a étudié la documentation psychogénique, psychologique et physiologique. La principale différence entre la deuxième édition de leur livre (1998) et la première (1991) est qu’au cours des sept années qui se sont écoulées on a publié plus de deux fois le nombre de documents et autres rapports sur la question, ainsi que dans des publications approuvées par des collègues, qu’au cours des 50 années précédentes. La science classique se penche maintenant sérieusement sur toutes les pièces du casse-tête.

Toutefois, selon le Dr Ashford, les trois dimensions de la maladie — causes (physiologiques ou psychogéniques), symptômes et succès ou échec des interventions — ne sont pas clires dans la documentation. Il ajoute qu’il espère que sa voix se fera toujours entendre dans la tête des participants, leur soufflant : « Cet auteur mélange-t-il le succès de l’intervention psychologique avec la cause psychogénique? » Même si les femmes atteintes d’un cancer du sein vivent deux fois plus longtemps si elles font partie d’un groupe de soutien psychologique, ajoute-t-il, cela ne veut pas dire pour autant que la maladie est psychogénique. Dans le même ordre d’idée, une maladie psychologique peut réagir à un traitement chimique. « Les défenseurs de l’origine psychogénique de la PSC obscurcissent parfois délibérément ces trois dimensions de la maladie », de préciser le Dr Ashford.

TILT suggère une étape causant la perte de tolérance, les manifestations étant étiquetées de différentes manières, notamment la PSC, les THADA, la dépression ou les problèmes mastocytaires. Le Dr Mark Cullen, qui a été le premier à définir la PSC, a éliminé certains diagnostics tels que l’asthme et le coryza de la catégorie de la PSC. « Si on supprime ces ensembles de maladies parce qu’ils peuvent être décrits par une étiquette d’identification, tout ce qu’il vous reste à la fin sont les quelques mots que vous pouvez mettre sur une étiquette », de préciser le Dr Ashford. « Ensuite vous avez les patients les plus compliqués, ceux ayant des problèmes physiologiques et psychologiques. »

Le Dr Ashford reconnaît que non seulement les produits chimiques peuvent modifier le cerveau — et qu’il en va de même d’un événement traumatisant comme un accident automobile. Toutefois, un examen étroit des données des huit dernières années révèle un rejet écrasant des déclencheurs psychogéniques, et un appui lui aussi écrasant pour les déclencheurs chimiques. S’il y avait une origine psychogénique, tous les efforts consacrés pour la découvrir auraient débouché sur un succès. Le Dr Ashford fait ensuite remarquer que la PSC peut probablement se produire de façon psychogénique, « ceux qui le voient ainsi peuvent arriver à une telle conclusion par une autosélection des patients et une partialité du médecin, de la même manière que les allergologistes sont autosélectionnés comme observateurs de certains patients ».

Il serait relativement simple de répondre à la question suivante : « Les personnes sont-elles extrêmement sensibles de façon reproductibles? » Des études en double aveugle peuvent être entreprises afin d’éliminer le risque de conditionnement nasal et de détecter les réponses qui pourraient se produire à des niveaux très nettement inférieurs à des niveaux classiquement reconnus, selon le Dr Ashford, mais il est difficile d’obtenir le financement d’un tel travail. Les observations de médecins sont utiles s’il y a un indice quant à l’origine; si toutes les personnes d’un groupe partagent une expérience (p. ex., le même quartier ou lieu de travail), ou bien chez des patients de spécialistes ayant des problèmes non caractéristiques d’une maladie générale.

En tant que chimiste, le Dr Ashford ajoute qu’il respecte les corrélations. Dans le cas de flambées de maladie, ou d’un nouvel édifice ou de nouveaux produits de consommation, les personnes qui partagent la même expérience peuvent être suivies de façon opportune. Il existe un consensus important sur le plan statistique dans le classement chronologique des symptômes par les anciens combattants de la guerre du Golfe et par les personnes qui prétendent être devenues sensibles à des produits chimiques à la suite soit d’expositions à des pesticides ou bien à des travaux de transformation à la maison. Le fait de caractériser la PSC comme psychosomatique n’explique pas pour autant ce classement cohérent dans trois groupes divers. À des fins de découverte, il vaut mieux suivre des personnes qui ont vécu le même événement plutôt que d’étudier des patients ayant des symptômes semblables. « Vous pouvez y parvenir en regardant qui est assis dans votre salle d’attente », de dire le Dr Ashford. Vous devez suivre des cohortes auparavant exposées (c.-à-d. procéder à des recherches axées sur des événements) ou bien vous occuper de personnes choisies dans un environnement commun.

Le Dr Ashford ajoute qu’il faut aussi procéder à des traitements avant et après. « J’accepte que les patients atteints de PSC aient des cerveaux anormaux », de préciser. « Mais à quoi ressemblait la scintigraphie de leur cerveau auparavant? »

Enfin, les modèles animaux peuvent clarifier les mécanismes pour la sensibilité à des produits chimiques. « Les gens ne lisent pas la documentation », d’ajouter le Dr Ashford. « Quand on dit « la science n’existe pas », cela signifie « je ne l’ai pas lu ». »

Au plan de la prévention, on ne peut se permettre d’attendre. Le nombre de substances pouvant causer le conditionnement et la sensibilisation initiales est beaucoup plus petit que celui des substances qui par la suite agissent comme déclencheurs. « Allez plutôt à la source du problème », conseille-t-il.

Le Dr Ashford fait ensuite référence au rapport Thomson de 1985 (« toujours bon à lire »), à son propre rapport du New Jersey qui a été conçu pour être une évaluation objective de la recherche d’alors, et à une étude européenne qui a trouvé peu de cas de PSC dans le sud du Danemark, mais beaucoup dans une région avoisinante du nord de l’Allemagne où on utilise un produit de préservation du bois, le pentachlorophénol, et où un trouble a été qualifié de « syndrome du produit de préservation du bois ».

Un rapport de hauts dirigeants du milieu de la santé du Royaume-Uni, datant de 1999, en arrive à la conclusion que bien qu’il n’y ait pas de preuve épidémiologique sans équivoque, « les données recueillies laissent entendre que la PSC existe vraiment ». Ce rapport ajoute par ailleurs que « les preuves disponibles semblent appuyer fortement un mécanisme physique entraînant la sensibilisation d’une partie du mésencéphale connue comme le système limbique ». Le rapport américain tout récemment publié, par contraste, n’examine pas la documentation postérieure à 1995 et dans son ensemble, ne critique pas les documents qu’il a examinés.

Les Néerlandais ont eux aussi publié un rapport sur la PSC, mais leur expérience des problèmes neurotoxiques découlant d’un écrasement d’avion bien connu en Hollande a été supprimé. Le rapport conclut qu’il n’existe aucune preuve objective liée à l’exposition et à la maladie. « Bien sûr », précise le Dr Ashford, « personne n’a procédé aux études! » On ne peut regarder la PSC par la lornière de la toxicologie traditionnelle. Il faut absolument procéder à un examen approuvés par des pairs.

Les preuves d’un fondement physiologique ont été renforcées au cours des dix dernières années, alors que celles d’une cause psychogénique ne l’ont pas été. La structure des preuves confirme ce qui est évident, tout comme dans le cas du réchauffement de la terre et de la maladie de la vache folle (encéphalopathie spongiforme, ou EBS). Il faut une approche prudente. « On n’a pas besoin de preuves coulées dans le béton lorsque plusieurs indices pointent tous dans la même direction. Au cours des 30 années que j’ai passées dans le domaine de la santé environnementale, je peux dire que dans aucun cas nous nous sommes trompés quant aux problèmes environnementaux. Soit le problème devient pire, ou bien les preuves sont de plus en plus fortes. Seuls les problèmes environnementaux et professionnels les plus robustes se font remarquer : « C’est pourquoi nous ne nous sommes jamais trompés, » de conclure le Dr Ashford.

Questions et commentaires

Un participant de l’Institute of Molecular Medicine parle de l’écrasement de Bijl-mer en Hollande. « Nous avons examiné trois groupes de patients », dit-il — ceux vivant dans la région, le personnel d’urgence, et un groupe de personnes n’ayant rien à voir avec le lieu de l’écrasement qui travaillaient dans le hangar où les pièces de l’avion ont été réassemblées. Toutes ces personnes ont eu les mêmes types de maladie. Quarante tonnes de marchandises, qui n’ont jamais été identifiées, se trouvaient en route vers un centre de guerre chimique du gouvernement israélien. Sur le nombre de patients, 67 p. 100 avaient des infections chroniques et répondaient au profil du SFC, tout comme un groupe se trouvant à quelques kilomètres de là. Bien que l’on ait trouvé différents types d’infections dans le groupe témoin, seule une infection a été relevée dans les trois groupes de Bijl-mer. Parallèlement, le pourcentage d’anciens combattants de la guerre du Golfe qui ont testé positifs à l’infection est semblable à celui des civils ayant le SFC et la PSC, où vous trouvez de multiples espèces d’infections. Toutefois, 80 p. 100 des anciens combattants de la guerre du Golfe avaient la même infection. Un grand nombre de données sont supprimées. Cela cause d’énormes problèmes pour identifier ce qui a provoqué la maladie.
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