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 affaire due petit ACHRAF...INTERVENTION DE...Mme FOURCAS

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dan
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dan


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MessageSujet: affaire due petit ACHRAF...INTERVENTION DE...Mme FOURCAS   affaire due petit ACHRAF...INTERVENTION DE...Mme FOURCAS EmptyVen 10 Fév - 22:04



Lucienne Foucras <foucras.lucienne@neuf.fr> a écrit :

Messieurs les Sénateurs,



Je vous adresse des informations importantes.



Je ne suis mandatée par personne. Je suis allée à mes frais à Casablanca soutenir la famille du petit Achraf. Je ne fais partie d’aucune ligue ni d’aucune secte. Je suis seulement l’auteur du Dossier Noir du vaccin contre l’hépatite B et j’en ai assez des mensonges et des manipulations.



Pourquoi Casablanca ? Parce qu’en ce moment s’y déroule un procès qui fait extrêmement peur à l’industrie pharmaceutique concernant le vaccin contre l’hépatite B. Il s’agit d’un enfant, un beau petit (voir les photos en PJ), sans aucun antécédent personnel ni familial, vacciné à 19 mois le 4 février 2000 par Engérix B (Smithkline Beecham, aujourdhui Glaxo), sans autre raison que le respect du calendrier vaccinal (sa mère n’était pas porteuse du virus HB pendant sa grossesse. Elle ne l’est pas davantage aujourd’hui où elle attend un autre enfant). Le 6 février, soit 48 heures après, pendant lesquelles l’enfant n’a cessé de se plaindre et de pleurer, c’est la descente aux enfers : « Il souffre. On le croirait rongé de l’intérieur ». Le premier médecin consulté établit une relation avec le vaccin. Tous les autres ensuite confirmeront. En attendant le petit (Achraf DIWANE) sombre dans un coma qui dure 3 mois. On le met sous respiration artificielle. Ses bras, ses mains s’atrophient, se recroquevillent, se retournent. Quand il sort du coma, il est tétraplégique, avec une incapacité reconnue de 100%. C’est à peine s’il peut émettre des gémissements à peine audibles. Le cerveau est gravement lésé, le système périphérique aussi : leuco-encéphalopathie télencéphalique séquellaire, polyradiculonévrite, gliose profonde bilatérale, atrophie cortico-sous-corticale fronto-temporale bilatérale, épilepsie. Il a tout. Je l’ai vu. C’est un enfant TOTALEMENT DETRUIT. J’ai vu, jadis, des individus atteints de lèpre. Cela m’avait impressionnée. Mais ce n’est rien en comparaison de l’état de cet enfant. Il a 7 ans aujourd’hui, un corps squelettique, disloqué, qui a cependant grandi sans atteindre une taille normale pour son âge, des mains inertes recourbées au-dessus d’un poignet minuscule (donc pas dans le prolongement du bras), des pieds qui pendent sans plus aucune innervation. Souffrance cérébrale signalée dans les expertises. Pas de parole. Déglutition presque impossible. Dents dans un état épouvantable. On les voit d’autant mieux que la bouche reste en permanence crispée, grande ouverte, et tendue au maximum des muscles maxillaires. Des yeux dilatés. Il semble reconnaître ses parents et ceux qui le soignent mais donne l’impression d’avoir peur des autres. Au point de dégradation où il est, je ne vois pas ce qu’on pourrait faire pour le sortir de là. On parle de trachéotomie et de gastrotomie pour le faire survivre. Pour l’instant les parents n’en veulent pas. Ils rêvent d’une amélioration grâce à des soins qui seraient dispensés par des équipes très spécialisées, mais ils n’ont pas (et de loin !) les moyens de payer. Je n’ai jamais vu un être humain dans un état pareil, pas même un animal….



Toutes les expertises concluent au lien de causalité entre la maladie (un syndrome de Guillain Barré, maladie démyélinisante) et la vaccination. C’est ce qui a entraîné la condamnation du laboratoire le 7 novembre 2005. L’appel devait être jugé le 23 janvier 2006. L’audience a été reportée au 20 mars 2006. Les laboratoires ont peur, car ce cas-là infirme toute leur stratégie de vaccination des nourrissons censés ne courir aucun risque.



Depuis cette date, on assiste à toutes les manipulations possibles de la part des firmes et de leurs alliés : Un conclave de pédiatres réuni, comme par hasard, à Casablanca le 9 janvier 2006 (si ma mémoire est bonne), faisant intervenir le Professeur SIEGRIST (la vedette du conclave) venue exprès de Genève où elle occupe la chaire de vaccinologie à l’Université pour le compte de la Fondation Mérieux (Pasteur-Mérieux, autre fabricant des vaccins contre l’hépatite B (groupe Sanofi-Aventis). Elle a aussi fondé et dirige toujours avec les finances de la Fondation INFOVAC Suisse, une banque d’informations sur l’utilité des vaccins. Comme conflit d’intérêt, on ne peut pas faire mieux. Deuxième participant à ce conclave, venu avec Mme Siegrist : le docteur Emmanuel GRIMPEL qui a été expert auprès de l’AFSSAPS et a fait partie des groupes de travail sur les médicaments anti-infectieux et l’antibiothérapie en pratique courante. Il a été également expert pour la Commission d’AMM de certains médicaments. Il n’a jamais déclaré ses liens d’intérêt, à ce jour du moins. Troisième participant : le docteur Dominique GENDREL, venu aussi avec Mme Siegrist. Il est beaucoup intervenu en Afrique. Sans doute a-t-il beaucoup vacciné, mais je n’ai pas d’informations sur lui.



Ce conclave n’a pas eu lieu aux Seychelles, mais à Casablanca, à l’improviste, une dizaine de jours avant l’appel. Aucun invité d’avis contraire. Aucun débat.

Répétition exacte de la Conférence de Consensus tenue à l’hôpital Bichat les 10 et 11 septembre 2003, une dizaine de jours avant la Cour de Cassation (pour faire pression sur les juges ?) Cette fois-là aussi cette conférence avait été réunie hors les règles qui président à ce type de réunion. Aucun expert réservé sur ce vaccin n’avait été invité. Donc aucun débat contradictoire. L’objectif poursuivi a été atteint : les deux jugements rendus le 2 mai 2001 par la cour d’appel de Versailles, favorables aux victimes, ont été cassés le 23 septembre suivant. On attend, depuis, que la Cour d’appel de Paris se prononce à son tour. Dans toutes ces affaires, on attend beaucoup !



Le 21 janvier dernier a été une journée consacrée aux hépatites. Je n’y vois aucun inconvénient, mais est-ce par hasard ? Et a-t-on donné la parole à ceux qui dénoncent la dangerosité de ce vaccin ? Enfin j’ai cru comprendre que les responsables des secteurs maladies infectieuses dans les CHU (qui fonctionnent avec les crédits des fabricants de vaccins) étaient sollicités pour des interventions grand public depuis 2 ou 3 semaines.



Le conclave de Casablanca a fait chou blanc. J’ai pu mesurer de visu le scepticisme des Marocains vis-à-vis de gens qui viennent de l’étranger (l’OMS ne les impressionne pas du tout !) et qu’ils ont parfaitement identifiés comme des manipulateurs. La population est entièrement soudée autour de la famille du petit garçon : le lien de causalité est tellement évident ! La presse est avide d’informations. Ce n’est pas comme en France ! Mais il n’y a pas d’industrie pharmaceutique au Maroc … Sauf si les laboratoires arrivent (ce qui est toujours possible avec eux) à étendre leur influence ou leur corruption aux tribunaux, ce qui est loin d’être acquis en ce cas, ils seront condamnés car les preuves sont solidement étayées. Et la population marocaine sera fière d’avoir aidé à faire la vérité, à faire cesser le caractère obligatoire de cette vaccination dans des populations d’enfants pauvres, de familles souvent analphabètes et donc des proies faciles. Les journalistes que j’ai rencontrés m’ont assuré qu’il y avait beaucoup d’autres cas au Maroc, et dans d’autres pays arabes, mais comme en France (et sans doute plus encore), peu de familles portent plainte, pour des raisons que je n’ai pas besoin d’énumérer. Et pourtant les neurologues considèrent qu’en général seules les populations caucasiennes (blanches, celles de l’occident) sont vraiment sensibles sur le plan neurologique ! Que serait-ce si les autres l’étaient !



L’erreur est pardonnable mais le mensonge est insupportable surtout quand il sert à couvrir des pratiques criminelles. Cette mauvaise fois se manifeste à tout propos, dernièrement dans la demande d’annulation, par Aventis-Pasteur et Glaxo, soudés par la peur, devant la Chambre de l’accusation du TGI de Paris, actuellement en cours d’examen, de toutes les expertises qui ne leur plaisent pas. Personne n’a le droit de penser autrement qu’eux : discrédit porté au Dr Hernan et à son étude sur les SEP post-vaccinales, silence imposé aux autres, représailles effarantes contre le Dr Girard, procès intenté contre son avocate et la nôtre etc….Et que penser de leurs pressions sur le juge d’instruction ? Et de leurs ruses pour faire durer les procédures 10, voire 20 ans, dans toutes les affaires de santé publique ? Que penser aussi de ces pseudo-scientifiques qui affirment sans rire que les nourrissons sont une population à part, qui ne risque pas les maladies des adultes ? Si c’était vrai autrefois, ils nous auront fourni la preuve que ce n’est plus le cas aujourd’hui (Cf. démyélinisations, leucémies, diabète etc. en expansion continuelle chez les enfants sans qu’on ait fait la moindre étude indépendante sur les causes de cette expansion, malgré les demandes qui en ont été faites).



Quand on pense qu’on guérit sans aucune médication de l’hépatite B dans 90% des cas et qu’on en meurt rarement ! Que ce vaccin a fait beaucoup plus de victimes que la maladie elle-même n’en a fait dans le même temps ! Mais il est facile de fausser les statistiques ou de les considérer comme non significatives parce qu’on n’a jamais cherché à recenser sérieusement les cas, et d’abandonner aux victimes la charge de la preuve tout en refusant à la justice les pièces compromettantes (les rapports périodiques de tolérance, entre autres) ! Mais il faut gagner beaucoup d’argent, et il faut que ça continue le plus longtemps possible.



J’ai honte pour mon pays. J’ai honte pour certains médecins, hélas trop nombreux. J’ai honte pour notre presse nationale et pour certains de ses journalistes qui sont parfaitement informés et désinforment systématiquement. Puisqu’ils font de l’information médicale grand public, quand les contraindra-t-on, eux aussi, à déclarer leurs conflits d’intérêts ? J’ai honte aussi pour certains de nos élus et pour ceux qui dirigent notre pays. Faudra-t-il donc que la vérité vienne de pays moins développés que le nôtre, simplement parce qu’ils n’ont pas à défendre une industrie qui n’est pas installée chez eux et qui peut se permettre n’importe quoi partout dans le monde ?



La vérité éclatera forcément, mais combien faudra-t-il encore de petits Achraf pour y parvenir ?



J’espère que la Commission sénatoriale n’aboutira pas à un enterrement du problème. Vous vous rappelez le mot de Clémenceau ? J’espère, contre vents et marées, que vous ne vous ferez pas neutraliser, et je vous souhaite bon courage. La Commission endosse une lourde responsabilité.



Veuillez agréer, Messieurs les Sénateurs, l’expression de ma respectueuse considération.



Lucienne FOUCRAS

34 avenue Jean Perrot

Tél :fax : 04 76 00 10 60

Courriel : foucras.lucienne@neuf.fr



PS : Puis-je obtenir un avis de réception de ce courrier ?



Je me tiens à votre disposition pour toute information complémentaire.



Je vous envoie photos (avant et après la vaccination) du petit Achraf. Voir PJ.



J’envoie copie de ce courrier au REVAHB, principale association des victimes (2600 adhérents) et à quelques autres associations de victimes..
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dan
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MessageSujet: procès de la famille DIWANE contre les labos   affaire due petit ACHRAF...INTERVENTION DE...Mme FOURCAS EmptyLun 15 Mai - 23:25


Bonsoir à tous,

je viens d'avoir des nouvelles du procès d'Achraf, la prochaine audience est le 29 mai.

Les labos ont trouvé 5 médecins pour témoigner que le vaccin HB n'est pas en cause...

Françoise Joët a apporté son témoignage aux journalistes, deux quotidiens.

D'après l'ami d'Abdellah, la balle serait dans le camp d'Achraf.

Voilà les infos pour ce soir

Bonne soirée

Patricia GOUY
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lexparigot
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MessageSujet: Re: affaire due petit ACHRAF...INTERVENTION DE...Mme FOURCAS   affaire due petit ACHRAF...INTERVENTION DE...Mme FOURCAS EmptyMar 16 Mai - 18:15

Que pourrais-je rajouter : tout est dit !
si ce n'est confirmer mon écoeurement. pukel


geek salut
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dan
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MessageSujet: compte rendu de l audience du petit Achraf   affaire due petit ACHRAF...INTERVENTION DE...Mme FOURCAS EmptyMer 17 Mai - 13:52

Procès Achraf contre le laboratoire Smithkline Beecham : Le tribunal prononcera son jugement le 29 mai

16.05.2006 | 14h29

La énième audience du procès qui oppose la famille Diwane au laboratoire Smithkline Beecham a eu lieu lundi 15 mai. Elle est censée être la dernière d'une longue série d'audiences qui durent depuis bientôt six ans. Le 29 du mois courant, le tribunal rendra sa dernière sentence.

Lundi, les avocats de la victime ont tenté de prouver, encore une fois, l'évidence de la causalité entre le vaccin Engerix-B, (anti hépatite B) et l'état de l'enfant Achraf Diwane, aujourd'hui invalide à 100%. «La société doit assumer sa responsabilité», tel est le leitmotiv qui ne cessait de revenir. «Il faut mettre fin à ce laisser-aller.», martèle un avocat.

Le dossier est aujourd'hui soumis aux délibérations. Pour les avocats de la victime, la faute médicale est confirmée. Les documents et les preuves qu'ils ont présentés vont dans ce sens pour montrer la relation de cause à effet qui existe entre le vaccin et l'état de santé de la victime.

Autre cheval de bataille des représentants de la défense de la victime : prouver que le petit Achraf a été victime de négligence. «Toutes les dispositions de l'article 433 ont été bafouées», affirme maître Omar Alouizari. Et d'ajouter que «Nous avons soumis au juge des documents extraits de l'encyclopédie Vidal où le laboratoire publie ses prospectus.

Nous avons montré comment ces prospectus changent selon les années. Tantôt, les effets indésirables n'incluent pas le syndrome de Guilain Barré, tantôt ils l'évoquent. Et quand il est mentionné, le laboratoire précise qu'aucune expertise n'a prouvé la relation de cause à effet entre les deux. Ce qui parait paradoxal et qui relève, à mon sens, d'un double discours qui cache une volonté de se protéger de la part du laboratoire.

Même quand les prospectus mettent en garde contre les effets indésirables, ils omettent d'expliquer dans quels cas il faut éviter le vaccin.
Si on prend le cas de Achraf, on ne sait pas ce qu'il avait et qui a occasionné cette intolérance dont il a été victime». Pour sa part, la défense du laboratoire s'est évertuée à affirmer qu'aucune expertise n'affirme que Guilain Barré est occasionné par le vaccin. Elle a décidé de son propre chef d'apporter une expertise médicale qui n'était demandée ni par le tribunal ni par le procureur du Roi.

A ce propos, le père et l'oncle de la victime se demandent comment le laboratoire a pu effectuer cette expertise en l'absence de l'enfant.
Les deux hommes se réfèrent, en fait, à la démarche du professeur Louahlia qui, lui, a suivi l'enfant pendant trois mois avant de publier son rapport. «On s'interroge sur les circonstances et le pourquoi de cette expertise.
Mais, de toutes les manières, elle n'a aucune valeur judiciaire.

Celle du professeur Louahlia affirme la relation de cause à effet entre le vaccin et la maladie du petit», renchérie maître Alouizari, qui, avec ses collègues, ont fourni les preuves qui corroborent cette thèse en vue de conforter leur demande d'augmentation du montant de l'indemnisation à 20 millions de dirhams. «Nous avons mis en garde le tribunal contre une tentative de demande de contre-expertise parce que cette requête répond exactement à la demande de la partie adverse», conclut l'avocat de la victime.

A l'issue de cette audience, l'oncle de Achraf Diwane a déploré l'absence des médias audiovisuels au procès.

Il se demande, par la même, si la déclaration de l'avocat du laboratoire concernant l'influence du juge de première instance par ce qui a été diffusé par nos télévisons locales, n'est pas en rapport avec cette absence.
Kenza Alaoui | LE MATIN
Françoise Joët : «L'Afrique est, pour les laboratoires, un vaste terrain d'expérimentation»

16.05.2006 | 14h30
Entretien avec la présidente de l'association «ALIS, Liberté Information Santé»
Creee depuis une quinzaine d'années en France, l'association « ALIS Liberté Information Santé » tente de diffuser une information critique sur les effets du vaccin sur la santé des citoyens. Elle revendique la liberté de vaccination en France. Sa présidente, Françoise Joët s'est rendue au Maroc pour soutenir la famille Diwane lors de l'audience du procès qui l'oppose au laboratoire SmithKline Beecham. Nous l'avons rencontrée au tribunal. Entretien.

Le Matin du Sahara : Pourquoi êtes-vous aujourd'hui au Maroc ?
Françoise Joët : Je suis ici pour soutenir la famille Diwane. Je voudrais que la population sache que les vaccins ont beaucoup d'effets secondaires graves qui peuvent se produire tout de suite après la vaccination ou longtemps après. Toutefois l'absence de recensement de ces effets constitue un véritable problème. On ne procède pas à des examens avant la vaccination des enfants ni à un suivi après.

De même qu'il n'existe pas vraiment de documents sérieux sur l'efficacité des vaccinations. Il faudrait, donc, que tout cela change. Concernant l'hépatite B, il existe en France, une autre association qui regroupe les victimes de ce vaccin. Ils ont rassemblé à peu près 3.000 dossiers de victimes parmi lesquels 400 ont porté plainte. Sur ces 400, il y'en a 123 qui ont constitué des dossiers instruits et qui ont eu gain de cause.

Ce qui n'est pas négligeable.

Il faut savoir aussi qu'il y a eu récemment, dans les services officiels de médecine, une audition publique sur l'hépatite B. D'éminents professeurs ont reconnu que les effets démyélinisants atteignaient les enfants.
Chose que les laboratoires ont toujours nié jusqu'à présent alors qu'il y a eu à peu près une augmentation de 4,4 % d'atteintes démyélinisantes chez les enfants de moins de 15 ans. Ces chercheurs, dont le professeur Tardieu, ont reconnu qu'il s'agit d'un problème inquiétant vue qu'en l'espace de quelques années, le nombre de personnes atteintes a augmenté de manière alarmante.

Quel genre de soutien comptez-vous apporter au petit Achraf ?

J'espère faire œuvre utile en venant au Maroc parce que ce procès est exemplaire à plusieurs points de vue. Il montre que les problèmes engendrés par la vaccination ne sont pas spécifiques à la France.

On a toujours pensé que ce n'est que dans notre pays que sévissent ces victimes «hypothétiques». Le procès d'Achraf réfute cette hypothèse. Il donne la preuve que la vaccination n'est pas inoffensive et qu'il y a des problèmes qui peuvent en résulter. Il s'agit, en quelque sorte, d'une roulette russe. On ne sait jamais sur qui ça peut tomber.
C'est dommage qu'un laboratoire mette sur le marché des produits qui sont potentiellement dangereux.

Si le produit en question présente un risque minimum potentiel, le lien de causalité ne doit pas être écarté mais reconnu. Ce procès est important parce qu'il montre, justement, que des enfants peuvent être atteints de problèmes neurologiques très graves à cause du vaccin Angerix-B.

C'est pour cela que j'espère qu'il sera retentissant au-delà du Maroc. Pour ma part, je compte bien en informer toutes les associations et toutes les personnes qui travaillent partout dans le monde. Ce n'est qu'un début pour dénoncer la dangerosité de ce vaccin.

Comment avez-vous établi le contact avec la famille Diwane ?

Cette affaire est assez particulière. Ce sont des victimes du vaccin anti-hépatite B en France qui sont entrés en contact, par amitié, avec la famille Diwane. Et ce sont eux qui m'ont proposé de leur apporter de l'aide. Et quand j'ai su que le procès en appel allait avoir lieu, je suis venue pour représenter la France et les victimes du vaccin.

Est-ce que vous avez pu témoigner devant le tribunal ?

On ne m'a rien demandé. Les avocats n'ont pas souhaité que j'intervienne. Ils ont cité mon nom pour montrer la présence de la France et des associations de victimes françaises. Des documents de notre association ont été remis au juge pour apporter les preuves des effets secondaires des vaccins. Nous faisons partie d'un réseau de 8 pays européens et nous avons, pendant 6 ans, rassemblé des témoignages de victimes qui ont raconté leurs histoires.

Nous avons constitué un dossier assez important que nous avons remis au Parlement européen. C'est un début et l'affaire Achraf Diwane est une suite à ce travail.

Pourquoi les affaires éclatent en France et beaucoup moins en Afrique malgré le nombre important de victimes ?

La situation est un peu spéciale en France. Entre 1994 et 1996, la moitié de la population française a été vaccinée d'un seul coup. Les effets secondaires sont apparus massivement. A ce moment, des victimes ont intenté des procès qui ont donné de l'ampleur à cette affaire de vaccination. Mais il n'en reste pas moins que l'Afrique est, pour les laboratoires, un vaste terrain d'expérimentation.

On vaccine plusieurs fois les enfants sans recensement sérieux. C'est notamment le cas de l'Afrique Noire où on inocule le vaccin de la polio à des doses non calculées. Récemment, des enfants sont morts après 10 doses de polio. Un grand nombre de victimes du sida ont contracté cette maladie à cause de l'accumulation de vaccinations qui ont fini par avoir raison de leurs systèmes immunitaires.

Est-ce que votre association fait des recherches dans ce sens ?

Bien entendu. Il faut savoir qu'il y a énormément de chercheurs qui travaillent sur les problèmes du vaccin. Ils sont pour la plupart des médecins dans le monde entier. Nous avons effectué une recherche bibliographique et avons recueillis presque 1.800 références documentées dans la littérature médicale internationale.

Ces documents mettent en évidence les effets secondaires et les accidents engendrés par les vaccins. Il y a des gens très courageux qui remettent en question le bien fondé de la vaccination.
Propos recueillis par K.A. | LE MATIN
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